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miércoles, 24 de marzo de 2010

OLIGARQUÍA RUSA PROVIENE DE LA MAFIA OPOSITORA Y NO DEL PARTIDO COMUNISTA

La oligarquía rusa no proviene del Partido Comunista sino de la mafia opositora

Se repite el lugar común de que los antiguos jefes comunistas se apropiaron de la economía pública, del Estado y de los recursos naturales sobre los que construyeron su fortuna.

No es cierto: La mayoría inmensa y determinante de ellos son anticomunistas mafiosos, agentes de la CIA y otras Cuerpos de Espionaje y Desestabilización y Conspiración Occidentales contra la URSS

La gran mayoría de los oligarcas rusos son anticomunistas, mafiosos y burgueses opositores a los que los ministros del agente de la CIA y dictador anticomunista Yeltsin (cuyo abuelo fue sancionado en la época de Stalin por su anticomunismo activo) Chubais y Gaidar entregaron las principales fábricas, minas, empresas de hidrocarburos, edificios y tierras de Rusia para construir un capitalismo mafioso y criminal.

Las excepciones son muy pocas: Mijail Jodorkovsky militó un tiempito en el Komsomol a ver qué podía robar pero aprovechó la contrarrevolución para fundar el banco Menatep que se apropió por 350 millones de dólares de la petrolera Yukos que a los dos años valía 9 mil millones.El grueso de los oligarcas siempre han sido anticomunistas: Oleg Deripaska amasó su fortuna como agente de bolsa y se casó con la hija del ex jefe del gabinete del borracho Yeltsin. Es un hombre cercano a Putin.

Boris Berezovsky estudió ingeniería de sistemas, simpatiza con el sionismo y se convierte en jefe de mafias. Vladimir Potanin asesoró en el fraude electoral de 1996 que permitió a Yeltsin seguir en el poder y robarle su victoria a los comunistas.

Vladimir Gusinsky era en los años 70 un mafiosillo y cambista del mercado negro y un taxista sin licencia. Acumuló su fortuna con una empresa de construcción al servicio del alcalde burgués de Moscú. Yury Luzhkov.Alexander Smolensky siempre fue un enemigo del Socialismo y en la contrarrevolución se alió con Berezovsky.

Mijail Prójorov hizo su fortuna con el fondo de inversiones ONEKSIM, extrayendo oro y se dedica también a la trata de blancas. Mijail Fridman es un judío de Lvov aliado a Pyotr Aven ministro de comercio en el gobierno de Gaidar en 1992. Ambos fueron dueños del grupo Alfa y el banco Alfa.

Gusinsky se asoció a capital norteamericano creando una empresa mixta de asesoría que con el tiempo se convirtió en el grupo Most que le permitió comprar medios de comunicación.Y así los demás.

A finales de los años 80 la cúpula gorbachoviana del Partido Comunista en el Politburó y al frente de cada Partido republicano (con heroicas y gloriosas excepciones) traicionaron abiertamente al Partido, al Estado y al Pueblo y se pasaron al capitalismo.

Desmovilizaron al pueblo, claudicaron ante el imperialismo y derribaron el Socialismo en el Este europeo. Pero una vez que esa banda de traidores pierde el poder central y lo toma una mafia criminal abiertamente ultraderechista al servicio de la CIA con Yeltsin a la cabeza, los gorbachovianos se quedan en la calle y algunos se atrincheran en repúblicas como Azerbaiyán, Turkmenistán, Uzbekistán y Kazajstán donde ahí siguen vendiendo sus servicios o a la CIA o a Rusia según quién pague mas.

Es Yeltsin el que crea la oligarquía mafiosa rusa que destruye la propiedad socialista del Pueblo soviético.Un sector de la nueva burguesía en torno a Putin se niega a convertirse en una república bananera e intenta salvar a Rusia. La primera oligarquía pro imperialista es derrotada, exiliada y encarcelada y se consolida una nueva gran burguesía.

La parte intermedia del Partido Comunista y las bases comunistas se lanzan al contraataque con un éxito mediano: son masacrados en el Soviet Supremo de Rusia en 1993, les roban descaradamente las elecciones en Ucrania en 1999, son masacrados en Tayikistán, van a la cárcel y a la clandestinidad en Letonia, Estonia, Lituania y Georgia.

Pero recuperan el poder en Belarus, Pridnestrovie y Moldavia y construyen fuertes partidos en Rusia. Los dirigentes comunistas y pro comunistas que vienen de las niveles medio y bajo del PCUS y que dan la batalla contra el imperialismo son Lukashenko de Belarús; Smirnov de Pridnestrovie; Voronin de Moldavia; Ziuganov, Nina Andreyeva y Víctor Anpilov de Rusia; Goradze de Georgia; Alfred Rubiks de Letonia y muchos otros.

La reconstrucción del socialismo requiere aclarar responsabilidades, ubicar a los enemigos del pueblo y reforzar las vanguardias comunistas de los pueblos trabajadores soviéticos

Fuente: La Conquista de la Revolución Socialista/ PrensaPopularSolidaria http://prensapopular-comunistasmiranda.blogspot.com/ Correo: pcvmirandasrp@gmail.com

DECLARATION DE MARIE-GEORGE BUFFET ET PIERRE LAURENT

Le deuxième tour des élections régionales confirme la défaite de la droite présidentielle.

La droite et Nicolas Sarkozy sont au pied du mur, ils doivent abandonner purement et simplement tous leurs projets régressifs à commencer par celui mettant en cause la retraite à soixante ans.

Les listes de la gauche rassemblée et des écologistes remportent une belle victoire : 21 régions dont la Guadeloupe sont gagnées. Le Front de gauche compte nombre d’élu-e-s qui dès demain vont s’employer sans compter au service de l’intérêt général.

L’inquiétant résultat du Front National est d’abord la conséquence du travail de son meilleur agent électoral, le ministre Besson. Le PCF exige à nouveau la suppression du ministère de l’identité nationale. Ce résultat de l’extrême droite rend plus nécessaire que jamais la construction d’une véritable politique sociale et solidaire sans laquelle sa propagande haineuse continuera de tromper une partie de l’électorat.

Dans le même temps, l’abstention reste forte.

Pour une part, elle est le fruit du désaveu de l’électorat traditionnel de la droite à l’égard des ribambelles de ministres-candidats et des irruptions continuelles du Président en tout domaine sans que ses interventions ne soient suivies de la moindre concrétisation positive pour le monde du travail et pour le pays.

Mais plus fondamentalement cette abstention massive est le signe du discrédit durable des discours politiques dominants jugés inefficaces ; la traduction d’un manque d’alternative crédible à la politique impitoyable de ceux qui dominent.

Les femmes et les hommes qui s’abstiennent – notamment dans les quartiers populaires – ne le font pas par indifférence. Ils et elles se sont constitués peu à peu des raisons de ne pas aller voter. C’est un défi que la gauche se doit de relever. Rétablir la confiance appelle des actes politiques et des choix budgétaires qui permettent de redonner confiance dans l’intervention publique.

Nous voulons tout de suite remercier les militantes et les militants de toute la gauche, avec ou sans carte, qui se sont dépensés sans compter pour faire fructifier cette semaine les résultats de dimanche dernier. Parmi eux les militants du Parti communiste et du Front de Gauche ne se sont pas épargnés. Ils et elles méritent d’être salués.

Cette victoire, c’est la victoire de toute la gauche, c’est la victoire de tous à gauche.

Le Front de Gauche a contribué à ce résultat. Il constitue aujourd’hui sans conteste une des trois forces qui, ensemble, ont permis le succès.
Cette victoire donne avant tout de grandes responsabilités à celles et ceux qui demain vont animer les politiques régionales.

Il s’agit tout à la fois de développer des politiques utiles à nos concitoyen-ne-s et de leur redonner espoir dans une gauche de combat capable de donner à voir des politiques différentes des logiques dominantes appliquées depuis des années à la tête du pays. Les succès futurs de la gauche dépendent pour une large part de cette démonstration.

Nous entendons bien être de ce combat.
Nous devons être aux côtés de celles et ceux qui luttent.

Dès mardi prochain, 23 mars, nous manifesterons avec les salariés du privé et du public qui seront dans la rue, unis syndicalement autour d’exigences fortes sur les retraites, les salaires, l’emploi, les conditions de travail et le service public.

Nous serons aux côtés des salarié-e-s de la poste, des hôpitaux et de l’APHP, aux côtés des associations de locataires et du droit au logement contre les expulsions, solidaires des maires qui ont pris des arrêtés anti- expulsions.

Et la semaine prochaine, le 29 mars, nous défilerons avec les organisations des salariés et des employeurs de la culture, avec les artistes et les acteurs de ce champ d’activité pour exiger une réévaluation de l’intervention publique en faveur des arts et de la culture et de façon indissociable le respect du droit d’autonomie d’action des collectivités territoriales en ce domaine.

Nous voulons construire des politiques régionales qui répondent aux aspirations et aux exigences qui ont marqué la campagne : des politiques qui sollicitent l’intervention des citoyennes et des citoyens dans l’élaboration des choix des politiques qui permettent de combattre les discriminations sociales et territoriales des politiques qui construisent des actions publiques en faveur de droits nouveaux pour les citoyens, les salariés, les usagers ; en faveur de l’égalité Hommes/Femmes et respectueuses de la diversité des politiques qui contribuent à la satisfaction des besoins en matière d’emploi, de transport, de santé, de logement, de culture...

Nous voulons que la victoire de la gauche dans les régions permette une véritable coordination de leur action contre la politique de ce pouvoir et de Nicolas Sarkozy, notamment en matière de réduction de l’intervention publique et de casse du service public.

C’est en combinant ces trois volontés : lutter, construire et rassembler toutes les régions à gauche que nous contribuerons à faire de la victoire des régionales un appel vers d’autres victoires.

Ce travail doit se construire en s’appuyant sur la diversité des approches des trois composantes politiques qui ont permis la victoire.

Le parti communiste français entend bien faire vivre cette diversité qui constitue la chance de toute la gauche.

Au sein du Front de Gauche, il prendra les initiatives nécessaires pour l’élaboration d’un projet partagé de transformation de notre société au bénéfice de toutes et de tous.

Ce chemin suppose de poursuivre la confrontation des points de vue sur les objectifs, sur les méthodes et le courage nécessaire pour sortir des logiques dominantes.

C’est un chantier qui doit être ouvert à toute la gauche, à toutes ses composantes mais aussi à toutes celles et tous ceux qui dans leurs engagements syndicaux ou social cherchent dans cet engagement les voies d’une action collective en faveur de l’intérêt général, d’un nouveau monde, d’une nouvelle Europe.

Pensons ensemble, les formes d’un nouveau front populaire du 21ème siècle.

Marie-George Buffet et Pierre Laurent,
Parti Communiste Français,
Paris, le 21 mars 2010

Fuente:Parti Communiste Français/ PrensaPopularSolidaria http://prensapopular-comunistasmiranda.blogspot.com/ Correo: pcvmirandasrp@gmail.com

TERCERA OLA DE MEDIDAS ANTIPOPULARES NEOLIBERALES DEL GOBIERNO PAPANDREAU COMBATE EL PUEBLO GRIEGO CON SEGUNDA OLA DE HUELGAS MASIVAS EN ATENAS

"Papandreu y Sarkozy. Un bonito apretón de manos y un acuerdo : los pueblos pagarán la factura de la crisis"
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Es la gota que ha colmado el vaso
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Por: Fabien Perrier

El 3 de marzo de 2010, el gobierno griego conducido por el socialdemócrata Georges Papandreu anunció una tercera ola de medidas de austeridad : reducción de los salarios de los funcionarios, subida de impuestos (incluido el IVA), recortes en los gastos públicos (especialmente en educación).

La población protesta casi todos los días en las calles contra estos planes de austeridad a los que se oponen el 60% de los griegos.Y aunque los medios helenos muestren algunos actos de violencia que salpican las manifestaciones para intentar desacreditarlas, no sirve para nada : los griegos rechazan pagar para reembolsar una deuda (275 miles de millones de euros a fines de 2009) agrandada esencialmente al tapar los agujeros provocados por los especuladores.

Georges Papandreu, elegido en octubre, ha comprendido claramente que su periodo de gracia tocaba inexorablemente a su fin.Ha realizado una gira europea para conseguir el apoyo de la canciller alemana, Ángela Merkel, y del presidente francés Nicolás Sarkozy.

En Grecia, dos convocatorias a la huelga han sido lanzadas por los sindicatos los días 11 y 16 de marzo.

Traducción de J.A.

Fuente: L´Humanité/Bellaciao.Org/ PrensaPopularSolidaria http://prensapopular-comunistasmiranda.blogspot.com
Correo: pcvmirandasrp@gmail.com

EL PROLETARIADO DE KAZAJSTÁN LUCHA POR EL SOCIALISMO

Desde el 4 hasta el 19 de marzo decenas de miles de obreros de las refinerías de KazMunaiGaz y su privatizada filial OzenMunaigaz han protagonizado una huelga para exigir su nacionalización y mejoras materiales.

OzenMunaigaz ha pasado a manos de Timur Kulibaiev, yerno del dictador Nursultán Nazarbaiev, un gorbachoviano traidor que fue secretario del Partido Comunista de la república y que al caer la URSS se pasó al capitalismo.

La dirección de OzenMunaigaz ha comprado un viejo equipo de segunda mano pero a efectos fiscales lo ha considerado "material nuevo". Los obreros no quieren negociar con esa dirección corrupta y exige negociar directamente con el gobierno kazajo.

La ciudad de Zhanozen que parece el epicentro de la huelga está tomada por la policía anti motines.

Viva la restauración del Socialismo en Kazajstán!

Viva la clase obrera kazaja!

Fuente: La Conquista de la Civilización Socialista/ PrensaPopularSolidaria http://prensapopular-comunistasmiranda.blogspot.com/ Correo: pcvmirandasrp@gmail.com

JORNADA POR LOS DERECHOS DE LOS PUEBLOS A LA REBELIÓN ARMADA

Convoca Movimiento Continental Bolivariano

Jornadas por el Derecho de los Pueblos a la Rebelión Armada

Caracas, 24 mar, 2010, Tribuna Popular.-

El próximo viernes 26 de marzo, se cumple un nuevo aniversario de la desaparición física del Comandante Manuel Marulanda (Tirofijo), en homenaje a este legendario héroe guerrillero colombiano, el Movimiento Continental Bolivariano (MCB), Capitulo Venezuela, está convocando a la Jornada por el Derechos de los Pueblos a la Rebelión Armada con actividades que se realizarán los días 25 y 26.

“Las formas de lucha obedecen a las condiciones reales que vive una sociedad en un momento determinado de su historia. Así pues la lucha armada no es una opción caprichosa, es más bien la última opción de los pueblos que luchan contra explotación capitalista, desde Colombia hasta Afganistán, desde Filipinas hasta Palestina, desde Euskal Herria hasta Iraq, los pueblos resisten con armas ante el avasallamiento sangriento del imperialismo”, señalan en su convocatoria el MCB.

Calendario:
Jueves 25 marzo: FORO-DEBATE
El Derecho a la Rebelión Armada de los Pueblos


Este foro-debate, que contará con la presencia de Narciso Isa Conde y otros ponentes, tratará el legítimo derecho de los pueblos a la rebelión armada, que no es ni una moda ni algo del pasado, sino el último camino que toman los pueblos cuando el enemigo no deja alternativa.

El Foro-Debate se realizará desde la 09 AM, en el Edif. Cantaclaro (Sede PCV), cerca del Metro Capuchinos. Calle Jesús Faría, Esquina de San Pedro, Parroquia San Juan, Caracas

Viernes 26 marzo: ACTO POLÍTICO-CULTURAL

Día del Derecho Universal de los Pueblos a las Rebelión Armada
El 26 de Marzo se conmemora el Día del Derecho Universal de los Pueblos a las Rebelión Armada, en homenaje al comandante Manuel Marulanda, el legendario héroe guerrillero, y en reivindicación del derecho de los pueblos a las distintas formas de lucha, incluyendo la rebelión armada.

Esta actividad organizada por el Movimiento Continental Bolivariano (MCB), Capítulo Venezuela, será un acto político-cultural que se desarrollará en la Plaza Manuel Marulanda en Caracas, el 26 de Marzo a partir de las 4pm.

El acto contará con la presencia de grupos de danza y música como Dame Pa'Matala.

Fuente: Tribuna Popular/ PrensaPopularSolidaria http://prensapopular-comunistasmiranda.blogspot.com/ Correo: pcvmirandasrp@gmail.com

PARTIDO COMUNISTA DE ESPAÑA..UN PARTIDO EN PLENO AVANCE LIGADO A LAS LUCHAS DEL PUEBLO ESPAÑOL

"Un Partido vivo en la calle al servicio de la clase trabajadora"

Mariscal: “Hablar de política, tomar la calle, hacer programa y construir Partido”

El Secretario General del Partido Comunista de Andalucía José Manuel Mariscal y el Vicesecretario General Juan de Dios Villanueva anuncian en rueda de prensa el compromiso de la nueva dirección del PCA para construir un Partido vivo en la calle al servicio de la clase trabajadora.
00:18h. del Jueves, 25 de marzo

El pasado 21 de Marzo, el Partido Comunista de Andalucía salía del X Congreso andaluz más reforzado y cohesionado que nunca, y con una nueva dirección al frente que reflejaba esa unidad. A diferencia del último congreso en el que José Luis Centella fue elegido como Secretario General, en esta ocasión los comunistas andaluces han optado por una dirección bicéfala, con José Manuel Mariscal como Secretario General y Juan de Dios Villanueva como Vicesecretario General.

Desde la salida del X Congreso todos los movimientos ejercidos por la nueva dirección han sido una declaración de intenciones. El primer acto público fue una ofrenda floral a la tumba del histórico dirigente del PCE José Díaz en el sevillano cementerio de San Fernando, donde yacen sus restos desde que en 2005 la dirección provincial del PCA y las JCA repratiaran sus restos desde Tiflis, Georgia.

El siguiente movimiento, va en la línea que el Secretario General marcara en su discurso al ser elegido como líder de los comunistas andaluces cuando decía “el Partido Comunista, junto con los trabajadores, volverá a tomar la calle” y fue la participación el pasado 23 de marzo en una movilización sindical convocada por CCOO y UGT en defensa los derechos laborales frente a la Consejería de Empleo provincial de Sevilla, donde los dirigentes se reunieron con los líderes sindicales de las empresas presentes como Roca, Astilleros o los mineros de Boliden, entre otros.

En la mañana de hoy miércoles 24 de marzo, Juan de Dios Villanueva y José Manuel Mariscal han convocado una rueda de prensa en la sede andaluza del PCA, donde ambos han comparecido y han marcado una dura línea argumental.

Juan de Dios Villanueva ha destacado la hegemonía histórica y la presencia en cientos de municipios del PCA argumentando que ese capital humano “ha hecho imposible lo que algunos venían hablando como de algo que iba a ocurrir en poco tiempo, que es la desaparición del PCA”.

En relación al papel que jugará la actual dirección al frente del Partido, Villanueva ha declarado que “el PCA y el PCE han sido durante demasiado tiempo un partido semi-clandestino en función de que habían entendido mal su relación con Izquierda Unida, en el último congreso del PCE hemos llegado a la conclusión que el Partido tiene que crecer, tener más presencia pública, estar más activo, mas visualizado y que debe entrar por lo tanto, ahora de verdad en política, un Partido que sólo renuncia a presentarse como tal a las elecciones, porque hemos decidido hacerlo con otros y otras dentro de Izquierda Unida”.

Por su parte, José Manuel Mariscal ha destacado las cuatro consignas que el nuevo Secretario General entiende como eje fundamental de trabajo para los próximos años, que son según sus propias palabras “hablar de política, tomar la calle, hacer programa y construir Partido”. En relación a las últimas noticias aparecidas en la prensa donde se plantea la posibilidad de un futuro pacto de gobierno entre Izquierda Unida y el PSOE a nivel andaluz, Mariscal ha señalado que “no es momento de hablar de pactos, nuestros pactos son con el millón de trabajadores en desempleo en Andalucía, con los más de doscientos mil parados y paradas sin subsidio o con aquellos que reivindican la ley de renta básica que el PSOE se niega a aplicar” subrayó.

Sobre las recientes encuestas donde IU sube en intención de voto, Mariscal ha expresado que “lo que expresan esas encuestas no es que Izquierda Unida sea una fuerza determinante, lo que dicen esas encuestas es que los obreros y las obreras, fruto del hartazgo de tantos años de gobierno del PSOE, están dispuestos a votar al PP y eso supone una amenaza contra la que hay que luchar” para ello, Mariscal ha expresado que “vamos a ir tajo a tajo, casa a casa, pueblo a pueblo y comarca a comarca, porque es la única manera de hacerle llegar a la ciudadanía que el Partido Popular, por mucho que se llame popular, no va a solucionar al pueblo sus necesidades básicas y que por lo tanto la única manera de cambiar las cosas es con un apoyo fuerte y decidido a las candidaturas de Izquierda Unida”.

Para finalizar, en relación a la pregunta de un periodista sobre el subsidio agrario, Juan de Dios Villanueva ha afirmado que “en el año 2002, Aznar cerró el subsidio de desempleo agrario, Zapatero dijo que si el Partido Socialista ganaba las elecciones derogaría el decretazo en el campo andaluz; eso lo dijo en 2002, ganó las elecciones en el año 2004, volvió a ganar en 2008, estamos en 2010 y todavía no a derogado el decretazo de Aznar”, además ha recordado que el próximo 14 de abril, los trabajadores de la Sierra Sur sevillana están llamados a una huelga general.

Fuente: La República.es/PrensaPopularSolidaria http://prensapopular-comunistasmiranda.blogspot.com/ Correo: pcvmirandasrp@gmail.com

""LA TERCERA REPÚBLICA SERÁ LA GRAN VICTORIA DEL PARTIDFO COMUNISTA DE ESPAÑA EN ÉSTE PRIMER CUARTO DEL SIGLO XXI

LA REPÚBLICA entrevista al nuevo Secretario Provincial del PCA en Málaga, quien releva en el cargo a Antonio Romero

Efraín Campos: "la Tercera República será la gran victoria del PCE en éste primer cuarto de siglo"

Entrevista de LA REPÚBLICA a Efraín Campos, nuevo Secretario Provincial del PCA en Málaga, quien releva en el cargo a Antonio Romero

Javier Parra / laRepublica.es

¿Como se ha desarrolló el Congreso Provincial del PCA en Málaga?

Pues el marco provincial se ha desarrollado con normalidad, sobre todo porque el proceso se inició con tiempo y cuando llegamos a la conferencia provincial se había hablado con todas las comarcas y agrupaciones. Se les planteo una línea política a desarrollar en los cuatro próximos años y se fueron realizando aportaciones, igual se hizo con los miembros que han formado parte de la lista que ha sido elegida: a partir de ponernos de acuerdo en la política hemos elegido a los y las camaradas más adecuadas para llevarla a cabo. Y no podemos olvidar que este clima de normalidad ha sido posible en gran medida la percepción que han tenido los y las camaradas del desarrollo del XVIII congreso del PCE, que les ha llenado de ilusión y de ganas de trabajar. Muchos de los camaradas con los que hablé para conformar la lista me dijeron textualmente: "si es para trabajar para el Partido, cuenta conmigo".

¿Cuales consideras que deben ser las prioridades del Partido en la provincia durante los próximos años?

Básicamente entiendo que la provincia tiene que desarrollar en su ámbito la política aprobada en el XVIII Congreso del PCE y el X del PCA: recuperar una relación estable con el mundo sindical, en especial CC.OO., y con los movimientos sociales. En Málaga tenemos multitud de camaradas trabajando en estas organizaciones, desde Ecologistas en Acción, FACUA, HOAC, COAG, ASECOP, en los distintos movimientos republicanos, en los de recuperación de la Memoria Histórica, la Asociación de Amistad Hispano Cubana, asociaciones de vecinos..., y podría llenar hojas y hojas con todas las que se me pasa nombrar.

Nuestra tarea es organizar a estos comunistas para que todo el trabajo que están realizando también tenga su reflejo en el Partido. Se tiene que notar cuando un comunista está militando en algún movimiento, porque tiene que ser el más activo de ese movimiento y además ser capaz de trasladar la política de nuestra organización allá donde esté. Esta claro que esto no se cumple por escribirlo, es necesario que desarrollemos en Málaga una política dinámica de formación de cuadros y de activistas que lo haga posible.

Considero también como prioritario trabajar por el fortalecimiento de la UJCE en la provincia, ya que nuestras juventudes son la cantera de cuadros del Partido, por lo que si siguen en la situación de debilidad, el recambio será mucho más complicado. Y te lo digo despues de haber encabezado una lista con una media de edad bajisima, y con varios camaradas que se han comprometido a estar en primera línea política que tienen menos de 30 años, pero eso no podemos plantearnoslo dentro de 20 años, hay que trabajarlo desde ya.

Igual que el tema de la mujer: no podemos seguir con una organización provincial que tiene menos del 20% de afiliación femenina, y eso no lo vamos a resolver si solo pensamos en mujeres para llenar el 50% de la lista; también es necesaria una política activa en el tema de genero, plantearnos ¿Por qué las mujeres no se afilian al Partido? y si se afilian, ¿por qué no participan como sujetos activos salvo contadas excepciones? cuando tengamos esas respuestas popdremos empezar a superar nuestro deficit.

Por último, el tema de la cultura, recuperar el contacto con artistas e intelectuales de la provincia. Llevamos unos años en los que hemos perdido la relación con este mundo, y sabemos positivamente que muchos de ellos son gente de izquierdas, y algunos comunistas, que están en contra del sistema capitalista en el que nos encontramos.

La gente de la cultura es imprescindible para empezar a dar de nuevo la batalla de las ideas que perdimos hace tiempo, y que hoy podemos recuperar.

¿Qué valoración haces de cómo se desarrollaron el resto de Congresos Provinciales y finalmente el Congreso del PCA?

La sensación general ha sido buena, quitando casos puntuales como Córdoba donde se presentaron dos listas que acabaron prácticamente empatadas, pero hablando con los camaradas cordobeses detecto que la situación se normalizará en poco tiempo y todos y todas van a trabajar codo con codo en la línea del Partido.En el resto no ha habido problemas reseñables más allá de los normales en estos procesos, pero se ha alcanzado una unidad que hacía tiempo que no veiamos en el PCA.

El Congreso del PCA ha sido un ejemplo de trabajo por la unidad. La direccion encabezada por Mariscal, con Juan de Dios como vicesecretario, ha conseguido representar al 99,9% del sentir del Partido y, sobre todo, ha conseguido crear Ilusión, ganas de trabajar. Es cierto que se han dado algunas abstenciones en la votación (la lsta se ha votado por el 82% de los delegados y delegadas), pero han sido fruto de desacuerdo concretos que no afectarán al futuro, ya que en la linea política estamos la práctica totalidad de acuerdo.

Málaga es una de las provincias donde el movimiento republicano es más sólido, ¿qué papel está cumpliendo y debe cumplir en el futuro el Partido Comunista en esta cuestión?

Es cierto que el sentir republicano está muy presente en Málaga, y precisamente por ello desde el Comité Provincial se lleva años trabajando en él. El pasado mandato, con Antonio Romero como Secretario Político ha sido también un impulso, ya que hoy por hoy es la cara más visible del republicanismo español, siendo su secretario de organización hemos organizado jornadas por todo el estado con distintos colectivos y agrupaciones que quieren que Antonio acuda a explicar la política republicana.

Desde el provincial se impulsó la Red de Municipios por la 3ª República, en la que seguiremos trabajando y, de hecho, un camarada malagueño, Adolfo Mira en el pasado mandato fue el responsable andaluz del tema republicano en el Comité Central.

Es decir, el tema republicano no es que sea una prioridad para Málaga, es que va estar presente en todos los actos que hagamos en los próximos años, ya sea hablando de mujer, de medio ambiente o de economía, porque el republicanismo abarca todo; el concepto de República es un avance democrático básico, y eso es lo que le tenemos que trasmitir al ciudadano.

La consecución de la III República Española está ya en la agenda, y será la gran victoria del PCE en el primer cuarto de siglo.

¿Qué papel debe cumplir el Partido Comunista de Andalucía en el proceso de reconstrucción del PCE?

Andalucía es la federación más numerosa del PCE (no me gusta hablar de importancia, ya que para mi todas las federaciones comunistas son importantisimas) y por tanto tenemos una responsabilidad añadida con la dirección federal. Por simple estadística somos los que contamos con más cuadros en el estado y, además, el nuevo secretario General es andaluz (malagueño, aunque haya nacido en Córdoba).

Entiendo que Andalucía tiene que ser uno de los pilares donde pivote la reconstrucción del PCE y tiene que ser generosa en sus aportaciones al trabajo federal. Incluso aunque Andalucía llegase al nivel que nos hemos planteado en los congresos de federación, si no conseguimos también que el PCE desarrolle todo su potencial, el trabajo será en balde, ya que no comparto aquel viejo concepto de la Revolución en una sola región (pais). Creo que para alcanzar nuestros objetivos, tenemos que alcanzarlos todos y todas, y por tanto es un deber de Andalucía potenciar todo lo posible al resto del Estado

Accedes a la Secretaría Provincial del PCA de Málaga sustituyendo a Antonio Romero, ¿Qué valoración haces de la labor de Romero durante estos años?

Antonio Romero ha sido el mejor político que hemos tenido en España en los últimos 30 años, y que me perdone el resto de camaradas que también podían optar a ese título. La capacidad de comunicar, la sencillez de su leguaje a la hora de trasmitir las ideas del PCE y de IU, su coherencia ideológica y su capacidad de trabajo lo han hecho un camarada básico para el Partido. Yo he trabajado con el directamente los últimos cuatro años y ha sido una temporada que me ha hecho aprender muchisimo sobre política y organización, ojalá tengamos muchos más militantes como él.

Y también te digo que en ciertos momentos tengo vertigo por la tarea que se me viene encima, estar a la altura de lo que Antonio ha significado y significa en la provincia, mantener al Comité Provincial al nivel polítco que él lo ha puesto, se me hace muy difícil. Pero Antonio también se ha comprometido a ayudar siempre que sea posible y eso es una garantía para hacerlo bien.

¿Qué primer mensaje trasladarías a la militancia de Málaga como Secretario Provincial?

Pues que ya ha terminado todo el proceso congresual y que tenemos que trabajar, trabajar y trabajar: camaradas, a la calle que ya es hora de que digamos todo lo que tenemos que decir. Los retos que se nos avecinan son muchos y complicados, pero nosotros nos hemos fortalecidos en este proceso y hemos aumentado nuestra capacidad. Si cada uno ponemos nuestro graito de arena, nadie podrá pararnos.

Fuente: La República.es/PrensaPopularSolidaria http://prensapopular-comunistasmiranda.blogspot.com Correo: pcvmirandasrp@gmail.com

FRANCIA: AVANCE DE LA IZQUIERDA EN ELECCIONES REGIONALES, LA IZQUIERDA CON EL VIENTO A FAVOR

UN GRAN AVANCE PARA EL PUEBLO FRANCÉS SIGNIFICA EL RESULTADO TOTAL DE LAS ELECCIONES REGIONALES

El Partido Comunista Francés Plantea : ""...Construír la Alternativa para el 2.012 en las Luchas y Sobre un Proyecto"

Traducción, Mercredi 24 mars 2010, par J.A. Pina

La izquierda francesa ha infligido este domingo, una dura derrota a la derecha, en la segunda vuelta de las elecciones regionales.

La izquierda aglutina cerca del 55% de los sufragios expresados contra el 35% de votos de la derecha parlamentaria, alcanzando de esta forma uno de los mejores porcentajes de la historia de la V República. El PC de Valonia- Bruselas se alegra de este éxito al cual han contribuido ampliamente los militantes del PCF.

La izquierda unida, PS, Europa écologie, Front de Gauche (cuyos buenos resultados lo convierten en el debate político como una fuerza ineludible de cambio) confirma así su influencia sobre los gobiernos locales. Otros tantos lugares de contra-poder posibles frente a la derecha sarkozysta que pretende mantener su rumbo regresivo.

De estos resultados se obtienen importantes y ricas enseñanzas para toda Europa. Claramente, una de las versiones más agresivas del ultraliberalismo ha sido desautorizada.

Las formaciones de la izquierda francesa, no lo ignoran, deberán afrontar enormes desafíos, especialmente para superar la crisis democrática que se constata en el muy alto nivel de abstención y en el resurgimiento del Front nacional.

Como señala Marie George Buffet, del Partido Comunista Francés: “Hemos levantado un mensaje de esperanza. Para responder a esta expectativa, será necesario revivir las propuestas y construir la alternativa para el 2012 en las luchas y sobre un proyecto”.

Tal será la primera tarea de la izquierda.

Fuente: L' Humanitè en Español/ PrensaPopularSolidaria http://prensapopular-comunistasmiranda.blogspot.com/ Correo: pcvmirandasrp@gmail.com