jueves, 17 de septiembre de 2009

ELECTIONS ANTICÌPÈES EN GRÈCE: REINFORCER LE KKE, POUR REINFORCER LE POUVOIR DU PEUPLE

Conférence de Presse d'Aleka Papariga, secrétaire-général du Parti Communiste Grec (KKE)

Traducción del Griego a Francés por Solidarite Internationale-Partido Comunista Francés

Le Secrétaire-Général du Comité Central du KKE a donné une conférence de presse sur la campagne des élections législatives anticipées qui se dérouleront le 4 octobre.

Pendant la Conférence de Presse Aleka Papariga a insisté sur les éléments suivants:

« Nous lançons un appel:

--à tous les travailleurs, en particulier ceux qui ont participé aux luttes des derniers temps

--aux employés, aux petits paysans, aux indépendants, à la jeunesse, aux femmes des couches populaires, aux travailleurs du secteur de l'art et de la culture

--à tous ceux qui, subissant l'influence d'une vague abstentionniste montée de toutes pièces, ne votent pas pour le KKE bien qu'ils aient eu l'intention de le faire.

--aux radicaux, à la gauche qui, peu importe s'ils sont complètement d'accord avec nos positions, sont révoltés par la politique de la « voie à sens unique Européenne » et la déliquescence du système politique bourgeois.

--aux couches populaires qui ont voté pour le PASOK (sociaux-démocrates) pendant toutes ces années et voient la direction de ce parti trahir non seulement leur rêves mais aussi leurs mots d'ordre historiques, anti-impérialistes et anti-monopolistes

--aux travailleurs qui ont cru au gouvernement de la ND et qui voient qu'ils ont été trompés.

Entre autres, les gens seront confrontés à quatre types de mensonges/duperies:

Premièrement: il y a deux politiques, deux points de vue qui entrent en conflit au cours de cette campagne électorale; une est incarnée par la ND et l'autre par le PASOK. C'est un gros mensonge.

Deuxièmement: Il n'est pas possible de suivre la stratégie de l'UE, la stratégie des monopoles, de la ploutocratie et une politique en faveur du peuple dans le même temps. Il n'est pas non plus possible de suivre cette stratégie et qu'elle profite à la fois aux monopoles et au peuple, tout comme il n'est pas possible que le peuple et la ploutocratie se partagent équitablement les pertes et fassent les mêmes sacrifices.

Troisièmement: les mesures d'austérité imposées désormais, au vu de la crise et dans un contexte de crise, afin de cadrer avec le déficit et les objectifs de l'UE ne dureront que deux ans comme l'extension de deux ans de la date butoir accordée par Almunia1. C'est un mensonge. Ces meures étaient mises en œuvre tant quand le taux de croissance était au-dessus du taux de croissance moyen au sein de l'UE que maintenant pendant la crise.

Quatrièmement: tout le problème en Grèce réside dans le fait que les caisses sont vides. La ND rejette la faute sur le PASOK, le PASOK sur la ND. Les caisses ont été vidées à cause de la politique qui a favorisé l'accumulation de capital et la recherche de profits illimités. Cette politique a vidé les caisses.

Après tout, peu importe que les caisses soient vides ou non, la plus grande partie du revenu de l'État part dans les poches de la ploutocratie, créant les conditions pour la recherche de profits illimités. Donc le problème ce n'est pas de remplir les coffres, mais de savoir qui va payer pour les remplir et qui va en profiter.

Le LAOS (nationalistes) et les Écologistes-Verts ont clarifié les choses. Ils disent: « Nous voulons accroître notre force au Parlement pour pouvoir participer à une coalition gouvernementale; nous discuterons avec les différents partis et si nous parvenons à un accord... » Soyons sérieux. Est-ce que la ND et le PASOK changeront après les élections? La réponse est non. Ils ne peuvent pas changer. Ils ont été créés pour servir la ploutocratie.

SYRIZA/SYNAPSISMOS est une force politique sur laquelle on ne peut pas compter. Nous voyons que les déchirements actuels au sein du parti ne sont pas que des querelles de personne. Ils illustrent l'impasse que constitue un parti qui cherche à se présenter comme une force politique de gauche mais qui offre en réalité par ses positions soi-disant de gauche une aide importante à la restauration et à la modernisation du système politique bourgeois.

L'unité des forces de gauche – soi-disant son atout – s'est révélé être son grand point faible. Maintenant tout cela s'est écroulé. Donc quels choix la gauche, les radicaux et les progressistes ont, ceux qui comprennent que le PASOK et la ND et la logique d'alternance ne causent pas seulement des dégâts mais sont aussi un danger dans un contexte de crise?

La réponse est: le KKE. Aujourd'hui, nous pouvons former une opposition populaire forte, un mouvement fort de contre-attaque, de rupture, et révolutionnaire, en renforçant le KKE et en affaiblissant le PASOK et la ND.

Pourquoi le KKE?

Parce que nous avons un stratégie en faveur des intérêts des travailleurs et contre ceux des monopoles; parce que nous sommes capables de combiner de manière juste la lutte sur les problèmes quotidiens afin d'empêcher le pire et l'organisation de la contre-attaque.

Nous avons une proposition pour un autre pouvoir, le Pouvoir Populaire.

Nous avons une politique fiable de coopérations qui est la politique des front unifiés des travailleurs, des paysans, des étudiants, des indépendants, des femmes et des jeunes qui appartiennent à ces classes sociales.

Site du Parti Communiste Grec: INTER KKE

1le Commissaire aux Affaires Economiques a rappelé la Grèce à l'ordre, au vu de son déficit budgétaire dépassant les 3% prévus par le Traité d'Amsterdam, et a prévu pour elle une série de « réformes structurelles », des mesures d'austérité et de privatisations, à adopter dans les deux ans

Fuente:Inter_KKE Grec/Solidarite Internationale_PCF/Edición de: PrensaPopularSolidaria_ComunistasMiranda

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TRIBUNAL INTERNACIONAL SOBRE LA INFANCIA PIDE DETENER EL GENOCIDIO CONTRA LOS NIÑOS EN GUATEMALA

Un genocidio a cuenta gotas viene sufriendo la niñez guatemalteca, silenciada por el hambre, los crímenes de lesa humanidad y la impunidad

El Tribunal Internacional sobre la Infancia afectada por la Guerra y la Pobreza de la Mission Diplomatica Internacional Humanitaria RWANDA 1994, a través de su Presidente Internacional, el argentino Sergio Tapia y Fiscal Internacional de Derechos Humanos del tribunal internacional de conciencia, pide a la comunidad internacional detener el Genocidio a cuenta gotas contra la infancia guatematelca, que viene sufriendo la niñez desde hace mas de 25 años, desde los métodos más crueles contra la vida durante los gobiernos genocidas: donde les partían el cráneo, los aplastaban contra la pared o los quemaron vivos.

Los niños y niñas, en su mayoría mayas, fueron torturados y sometidos a todo tipo de vejaciones por parte del Ejercito Guatemalteco y las fuerzas de seguridad, donde los responsables de estas matanzas siguen viviendo normalmente con total impunidad, hasta los miles de niños y niñas que han muerto y mueren antes de cumplir los 5 años, por falta de nutrientes y alimentos basicos, donde el hambre es tambien un crimen de lesa humanidad, señala el Fiscal Internacional Sergio Tapia

El Genocidio del Ejercito Guatemalteco entre los 80 y los 90

En Guatemala, los niños mayas fueron el blanco del terror del genocidio El 93% de estos crímenes fueron perpetrados por agentes del Estado guatemalteco. El 83% de las víctimas eran mayas, mientras que el 17% restante eran ladinos. En su conjunto, pese al tiempo transcurrido, esos hechos no han sido investigados por las autoridades guatemaltecas y los delitos siguen impunes.

La mayoría de los niños fueron asesinados en el marco de la política de "tierra quemada", de 1980 a 1983. Veinte por ciento fueron menores y 88.3 por ciento de las víctimas fueron mayas.Muchos niños y niñas guatemaltecas fueron quemados vivos ante los ojos de sus padres o sus cuerpos fueron partidos a machetazos.

Para el ejército, las fuerzas de seguridad y los grupos paramilitares , la violación de mujeres, jóvenes y niñas era un arma más de una guerra sin ley. Un tercio de las víctimas de abusos sexuales eran menores de diecisiete años y el treinta y cinco por ciento sólo tenía once años, con la complicidad y apoyo de sectores empresariales guatemaltecos, racistas y esclavistas.

“Hacían tres filas y empezaban a matar a la gente pobre. A los niños de dos años los ataban en grupos y los prendían fuego", según testimonios.
Entre cien mil y ciento cincuenta mil niños sobrevivientes se quedaron sin sus padres y, otros miles fueron robados y vendidos a familias adoptivas con un nombre falso por parte del Ejercito Guatemalteca.

En Guatemala hubo más de 250.000 víctimas y antes de morir, fueron previamente torturadas, más de 45.000 siguen desaparecidas, donde el 20% son infantes.

Los soldados separaban a los habitantes de la comunidad y luego se llevaban a las mujeres y niñas al colegio o la iglesia para violarlas, practica de violación contra las niñas mayas que aun siguen practicando las fuerzas de seguridad, como lo siguen denunciando las comunidades
Ademas en muchos homicidios participaron miembros de las fuerzas de seguridad, tanto de servicio como fuera de él.

En enero, en el borde de una carretera al sur de la ciudad de Guatemala, se encontraron los cadáveres de dos hombres de 17 y 23 años. Tras estrangularlos con unas cuerdas, les habían disparado en la cabeza desde corta distancia. Según los informes, había algunos indicios de que los habían matado miembros de las fuerzas de seguridad como 687 mujeres fueron víctima de homicidios en 2008; sus cadáveres solían mostrar signos de violación y otros tipos de tortura.

Hay secuestros, asesinatos, violaciones prácticas que aplicaron el ejercito y las fuerzas de seguridad durante la guerra y que se que aplican hoy a la luz de la impunidad contra las mujeres y la infancia guatemalteca.

El hambre, la desnutrición un Crimen de Lesa Humanidad contra la Infancia

En la ultima década han muerto miles de niños y niñas guatemaltecas antes de cumplir los 5 años por falta de seguridad alimentaria, nutricional, sanitaria

Un genocidio silencioso, que hoy se profundiza por la crisis humanitaria, y que evidencia la exclusión social, el apartheid racista y el olvido que ha sufrido la infancia guatemalteca por parte de los sucesivos gobiernos, y sectores económicos de la sociedad cómplices de estos crímenes contra la vida.

Como Tribunal Internacional de Conciencia en defensa de la Infancia, llamamos a la comunidad internacional a denunciar estos Crimenes de Lesa Humanidad contra la Infancia Guatemalteca, y llevar a los responsables del Genocidio contra los niños y niñas mayas durante los 80 y los 90 ante la Corte Penal Internacional, bajo el cargo de culpables de Genocidio contra la Humanidad, sentencio el Fiscal Internacional del Tribunal Internacional sobre la Infancia afectada por la Guerra y la Pobreza, el argentino Sergio Tapia.

Fuente: Bellaciao.Org/ Edición de: PrensaPopularSolidaria_ComunistasMiranda

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CIEN AÑOS DE LA VIDA DE LOS OBREROS_REFLEXIONES DE VALÉRE STARASELSKI

Cien años de la vida de los obreros

Las reflexiones de Valère Staraselski, escritor.

Valère Staraselsky y Denis Cohen han escrito “Un siglo de Vida Obrera” “para que el movimiento obrero y popular recupere su propia historia”.

Este libro original recorre a través de 100 años de publicaciones de “La Vida Obrera”, la historia social, económica, política y cultural de Francia, con más de 700 ilustraciones y fotografías. Un testimonio esencial.

“La Vida Obrera” periódico de la CGT, festeja sus 100 en octubre. En sus orígenes, una idea básica: “Nos gustaría que esta revista sirva a los militantes en el transcurso de sus luchas, que les dote de materiales útiles en la batalla y en la propaganda y que de esta manera la acción gane en intensidad y en amplitud”, explicaba su fundador, Pierre Monatte.
¡Propósito logrado!

De la pequeña revista bimensual que aparece el 5 de octubre de 1909, cuyo objetivo anunciado es “dar al obrero la ciencia de su malestar” a “la Nueva Vida Obrera” de 2009, esta obra es un saludable recordatorio de un punto de vista que se impone en nuestra actualidad: el del combate multiforme e incesante por la emancipación económica y social.

¡También por la dignidad!

¡Cuántas cosas en sus páginas! En 1911, por ejemplo, Julien Symian, ministro radical de Correos y Telecomunicaciones, grita, a las telefonistas en huelga, en la calle del Louvre de Paris: “¡Hatajo de putas, volved al trabajo!” En 1974, durante la huelga más grande de carteros del país, el ministro que había hablado del “trabajo estúpido en los centros de clasificación” será cesado tiempo después..

De los 15 000 abonados en mayo de 1936 a más de 200 000 en 1937, “La Vida obrera” alcanzará records de difusión en la Liberación para, en los años siguientes, aventajar a “Paris Match”. Durante la guerra, junto a las llamadas al sabotaje, a la lucha armada y de lemas tales como “la venganza es un deber sagrado”, la “VO” ahora clandestina, no olvida el abastecimiento.

En 1946, los ministros obreros – todos sindicalistas de la CGT – son encargados por el gobierno de De Gaulle de poner en práctica el programa del Consejo nacional de la Resistencia, que les debe lo esencial.

De los acontecimientos de mayo del 68 durante los cuales “la Vida Obrera” aparecerá regularmente, pasando por la esperanza suscitada con la elección de François Mitterrand (“Nada está cerrado. Todo dependerá de la intervención lucida, constante y responsable de los trabajadores”, escribe la “VO”), de la caída del muro de Berlín a la demoledora victoria planetaria de los neoliberales, del lento descenso a los infiernos de los asalariados hasta a la manifestación unitaria del 1º de mayo de 2009, “la Vida Obrera” propondrá siempre la iniciativa contra la espera pasiva.

En un periodo en el que la base de las garantías colectivas es atacada para ser destruida, nuestra sociedad, huérfana de la dinámica que conoció durante el Frente Popular, la Liberación, los Treinta Gloriosos, no puede ignorar ni prescindir de organizaciones de unan el mundo del trabajo en su diversidad y aquello de la “cooperativa intelectual”, según palabras de Monatte

“Tenemos tendencia unos y otros a recurrir más a los reflejos que a la reflexión, ahora vivimos tales cambios radicales que los reflejos de ayer ya no funcionan y nos ponen a la defensiva” afirma Maryse Dumas.

A través de esta obra, hemos querido con Denis Cohen que el movimiento obrero y popular recupere y recurra a su propia historia, y testimoniar de cuánto ha sido capaz para construir y retomar su lugar en la historia.

“Un siècle de Vie ouvrière, 1909-2009” de Denis Cohen y Valère Staraselski. Prólogo de Bernard Thibault. Éditions Le Cherche-Midi.

Fuente: L´Humanité en español/Bellaciao.Org/ Edición de: PrensaPopularSolidaria_ComunistasMiranda

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LOS COMUNISTAS DE AFGANISTÁN

Después de que Gorbachov traicionó en 1989 a la República Democrática de Afganistán (RDA) y a su presidente Mohammed Najibullah, ésta resistió en solitario 3 años mas hasta que Boris Yeltsin le cortó el petróleo y la CIA ordenó a las bandas contrarrevolucionarias que tomaran Kabul , lo que hicieron el 18 de abril de 1992.

El general Dostum se pasó a la contrarrevolución y contribuyó a la derrota. Hoy es uno de los mas sanguinarios "señores de la guerra".

Las Fuerzas Armadas, las milicias de autodefensa y las organizaciones socioprofesionales agrupaban a 500 mil personas, el partido Watan, heredero del Partido democrático Popular (PDPA), tenía 150 mil miembros. Los feudales disolvieron el Watan, asesinaron a numerosos comunistas y miles de ellos hubieron de exiliarse para no seguir la misma suerte.

El ex ministro de recursos en agua y regadio, profesor Mahmad Mansur Hashemi, el ex comandante de Kabul Mahmad Dost, el ex ministro del Plan Sher Mohamad Shahan, el ex presidente de la Corte Suprema Karim Shadan vilmente masacrados.

500 milicianos secuestrados en Helmand y 20 oficiales de seguridad fueron asesinados en abril 1994. Numerosos soldados fueron masacrados en el Sur y este del país en 1992.

En 1996 los talibanes, aplaudidos por la secretaria de Estado yanqui Madelein Albright, masacraron al ex presidente Najibullah por el que hoy muchos habitantes de Kabul, Kandahar, Gardez y otras ciudades sienten mucho cariño.

Los comunistas fueron retornando a partir del 2001 y con un perfil bajo han organizado varios partidos que se reivindican del PDPA.

El general Nur al-Haq Ulumi, antiguo jefe del cuerpo de ejército de Kandahar y diputado, dirige el Partido Nacional Unificado que agrupa a comunistas y antiguos dirigentes del gobierno Najibullah que en las elecciones de 2005 presentó 68 candidatos en 30 provincias.

En 2006 Ulumi y el ex ministro del Interior comunista Sayyid Mohamad Golabzoi formaron un Frente Nacional con antiguos jihadistas y diversos grupos sociales y étnicos.

Los comunistas mantienen redes clandestinas en la administración y en los niveles locales de los servicios de seguridad.Los imperialistas vigilan para que los comunistas no puedan recuperar el poder. Prefieren un Afganistán devastado y brutal a un Afganistán moderno, socialista y democrático como lo intentó ser la RDA con apoyo soviético.

El pueblo afgano no olvida: la emisora de radio Watandar ha realizado una encuesta en 4 provincias. El 93,2 % de los encuestados considera que el gobierno de Najibullah(Comunista) fue el que mejor respondió a sus intereses.

Fuente:La Conquista de la Revolución Socialista

Edición de PrensaPopularSolidaria_ComunistasMiranda

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LA INICIATIVA MÉRIDA, ESTADOS FALLIDOS Y FALSAS INDEPENDENCIAS

Por>: OFRANEH



El día 15 de septiembre los países centroamericanos y México celebraron sus 188 años de independencia de España. El ambiente enrarecido que se vive en nuestro país nos obliga a reflexionar sobre el rumbo político y económico que determinará el futuro de la región.



La inducción exógena a estados fallidos que hemos vivido en los últimos años, forma parte de una estrategia de dominación practicada por los Estados Unidos, en donde el narcotráfico se ha convertido en la disculpa para promover la intervención.



Los deslucidos desfiles militares acompañados por un pueblo con hambre y sed de justicia, no logró servir de catarsis para el pueblo que cada día ven a sus gobernantes convertirse aún más en vasallos de los intereses transnacionales. En el caso de Honduras es aún más vergonzoso, pues el ejercito cipayo y los títeres de Washington cada día pisotean más los derechos humanos del pueblo hondureño.



El narcotráfico es la excusa de los Estados Unidos para las conjuras y la represión que se aplica a lo largo del istmo, en persecución de un negocio made in usa, que le ha servido para el control social interno en ese país a través de la drogadicción al mismo tiempo que justifica la militarización al sur de la frontera.



La Iniciativa Mérida, réplica del Plan Colombia, es una maniobra más para crear las situaciones propensas a una intervención directa acompañando a nuestros ejércitos nacionales, a los cuales les queda imposible disfrazar su rol de ejércitos de ocupación.



La fabricación mediática de falacias que vienen efectuando los medios de comunicación locales afines a la SIP (Sociedad Interamericana de Prensa), distorsionan la realidad y se dan el lujo de engañar a pueblos que sufren de un severo analfabetismo político, como consecuencias de las guerras fratricidas de los años 80 y del menguado acceso a los beneficios de la educación formal.



La guerra en contra de las drogas, de donde deriva tanto el plan Colombia y la Iniciativa Mérida no son más que parte de un drama singular en donde los Estados Unidos pone el mercado, los precursores químicos, las armas y el blanqueo de las ganancias de las drogas; al mismo tiempo que estampa un sello de represión en toda la región, acompañado en los últimos años de una proliferación de bases para supuestamente desde ahí controlar el flujo de estupefacientes.



Es interesante además como surgen bandas de militares organizados, entre ellas los zetas y kaibiles, que posteriormente de participar en las fuerzas represivas pasan a conformar las huestes de sicarios de los carteles de las drogas. Al igual que las bandas juveniles conocidas como maras, originadas en las cárceles de los Estados Unidos donde son recluidos los jóvenes centroamericanos. La Iniciativa Mérida incluye a las maras como uno de sus objetivos militares, sin tener en cuenta el origen socioeconómico de la problemática y el papel jugado por las políticas económicas neoliberales y el desplazamiento poblacional causado por las guerras locales de los años 80.



El golpe de Estado en Honduras, intervención directa de los Estados Unidos, que sus afines trataron de maquillar como sucesión constitucional, siendo este un ejemplo más de la inducción a crear estados fallidos promovidas tanto por la administración Bush como la Obama. En la actualidad en Honduras existe un gobierno de facto que según sus medios de comunicación nada inusual está sucediendo en el país, mientras la realidad demuestra una ingorbernabilidad que a pesar de la represión es altamente palpable y debilitante.



La construcción de una base militar en la Moskitia Hondureña (Caratasca) se suma a las siete bases que Estados Unidos logró obtener de la administración de Álvaro Uribe, con el supuesto objetivo de afianzar el Plan Colombia, pero que muchos interpretan como una ofensiva para desestabilizar al gobierno de la república Bolivariana de Venezuela.



El choque de bloques comerciales y políticos ALCA (Área de Libre Comercio para las Américas) y el ALBA (Alternativa Bolivariana para los Pueblos de las Américas) ha intensificado en forma abrumadora la intervención por parte de los Estados Unidos que quedó demostrada con el golpe militar del 28 de junio. Es indudable el rol jugado por los servicios de inteligencia de ese país, los que no vislumbraron la heroica resistencia que ha demostrado el pueblo hondureño y su rechazo a la intervención yankee.



Las empresas telefónicas extranjeras, fruteras internacionales, consorcios petroleros y la oligarquía local, participaron en financiar la defenestración de Manuel Zelaya, que al pretender efectuar una encuesta no vinculante recibió los ataques virulentos por parte de los medios de comunicación locales que comenzaron una guerra mediática en su contra, acompañada por interpretaciones venenosas sobre la encuesta.



Es importante reflexionar sobre el papel jugado por el diario Wall Sreet Journal (WSJ), propiedad del ultraconservador Rupert Murdoch. Desde el primer día del golpe el WSJ ha venido apoyando a los transgresores de la ley, al mismo tiempo que inició una campaña de satanización de la izquierda hondureña con vista a calificarla de estar asociada a grupos terroristas. Murdoch y sus medios son equiparables al trabajo de conversión de Honduras en estado fallido que ha venido realizando el Sr. Jorge Canahuati, propietario de los periódicos El Heraldo y La Prensa, destacados como especialista en distorsión de la información y azuzamiento.



México y Honduras en la actualidad ostentan el calificativo de estados fallidos, como producto de las intervenciones directas de los Estados Unidos que ha comprobado la utilidad de derruir la instituciones locales para justificar intervenciones. El efecto dominó se hará sentir en los próximos meses y Guatemala se encuentra en la lisa de espera. Para el imperio la apropiación de los recursos naturales es un objetivo inminente, en especial los recursos energéticos que son esenciales para poder proseguir en el derroche de combustibles fósiles que caracteriza al país más depredador del planeta.



A los 188 años de lo que fue la supuesta independencia de España, manipulada por los criollos y el clero, es objeto de "festividades" que siempre han servido para sacar a relucir las oxidas y obsoletas armas, la sensación que prevalece entre nuestros pueblos - a excepción de las exiguas elites dominantes- es de estar ocupados militarmente por ejércitos cipayos al servicio del mejor postor. La independencia económica nunca existió y la política ha sido una larga lista de traiciones incubadas en Washington y de guerras fratricidas donde siempre los victoriosos son los intereses de los Estados Unidos.



Nuestros pueblos reaccionan en este momento a la fatalidad impuesta por el imperio. El golpe militar en Honduras ha sido una enorme escuela política para los hondureños, que ya no retrocederemos en la conquista de una patria para todos a través de una Asamblea Constituyente que redactará una constitución que reflejará los intereses del pueblo y no sólo la elite adepta al Tio Sam, sus cañoneras, bananeras y sus geoestrategias militares.

La Ceiba, 16 de Septiembre del 2009.

Fuente:Organización Fraternal Negra Hondureña_OFRANEH/Bellaciao.Org/ Edición de: PrensaPopularSolidaria_ComunistasMiranda

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miércoles, 16 de septiembre de 2009

DIVIDIR...¿PARA QUÉ?

Por: Jerónimo Carrera

Bien se sabe que la aplicación, con gran astucia, de esta muy vieja máxima –al igual que ya mucho antes lo habían hecho los romanos- de dividir para reinar, fue lo que permitió a los ingleses extenderse e imperar durante más de un siglo en casi todo el mundo.

Y yo utilizo el vocablo imperar a sabiendas de que ellos mismos en verdad todavía no eran imperialistas, puesto que el imperialismo es propiamente un fenómeno originado por el desarrollo industrial en la segunda mitad del siglo XIX, siendo también Inglaterra el primer país que entró en esa fase del desarrollo económico.

Luego, siguiendo los pasos de Inglaterra, también por la vía de la industrialización capitalista, se transformaron asimismo en países imperialistas Alemania y Francia en ese siglo, seguidos después por Estados Unidos con su triunfo en la guerra con España de 1898. Cosa que logró Japón al triunfar sobre Rusia en 1905.

Y con su Revolución de Octubre, de 1917, por primera vez por una vía no capitalista sino de una industrialización socialista, realizada en muy pocos años, los pueblos que formaron parte de la Unión Soviética, pese a enormes obstáculos, evitaron caer en el vicio imperialista.

Todo esto significa que los países imperialistas siempre buscan dividir para reinar en las regiones que pretenden dominar, para lo cual ponen a pelear a los países más débiles, una contra otro. Y eso precisamente es lo que Estados Unidos ahora mismo trata de hacer aquí con Venezuela y Colombia, llevarnos a un así sea breve pero sangriento choque armado al menos.

Ahora bien, debemos preguntarnos si nos conviene a venezolanos y colombianos hacerles el juego a los yanquis. Más aún, qué hacemos venezolanos y colombianos para que tal tragedia no ocurra, para no complacer al imperialismo y sus agentes pitiyanquis.

Lamento mucho tener que decir lo siguiente, al respecto, que en mi opinión nada o muy poco es lo que se hace de modo concreto, tanto de un lado como del otro, y que en este asunto hay una culpa compartida.
Lo cierto es que en Colombia siempre ha existido algún sector de fuerte tendencia santanderista, que fue el que derrotó allá a Bolívar, igual que acá ha habido y hay el sector paecista, el cual también contribuyó en forma decisiva a esa derrota.

Ahora mismo, son muchos los que acá dicen y proclaman que son bolivarianos pero siempre fueron y siguen siendo anti-colombianos, aunque ahora lo oculten un poco, esa es la verdad, pura y simple.

Naturalmente, la política de Washington ha sido siempre clara en esto de mantener a todos nuestros países, de lo que consideran ellos su traspatio, lo más divididos posible. Y tienen razón desde su punto de vista, para poder dominarnos y reinar ellos. Pero ya deberíamos haber entendido tal política suya y saber que la vía para evitarlo es la de nuestra unión, como la quiso Bolívar.

No es con una política exterior “de micrófono”, de discursos que van y vienen con toda clase de acusaciones mutuas, la vía correcta para contrarrestar estos siniestros planes de Washington.

En el caso venezolano actual, esos planes yanquis tienen objetivos muy diversos pero concretos. Buscan llevarnos a una situación cuando nuestras fuerzas armadas se vean en la necesidad de promover un cambio en su alto mando o ir a una guerra que puede ser toda una tragedia mayor para nosotros.

Debemos recordar que ya por los años cuarenta del pasado siglo, eso fue lo que nos sucedió, al verse obligado el presidente General Eleazar López Contreras, el presidente nuestro de entonces, a cederle a Colombia un buen pedazo del territorio venezolano y así evitar que a él lo tumbaran nuestras propias fuerzas armadas. Esa es toda una lección histórica.

Fuente: PrensaPopularSolidaria_ComunistasMiranda

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ATAQUE DIRECTO A EXCLUSIVA ZONA VERDE DE BAGDAD "SANTUARIO SEGURO YANQUI" A LA LLEGADA DEL VICEPRESIDENTE GRINGO BIDEN

Ataque a la Zona Verde a la llegada del Vicepresidente Biden a Bagdad

El vicepresidente de EEUU, Joe Biden, llega a Irak en una visita sorpresa hace 2 horas 16 minutoss
Por: AFP

El vicepresidente de Estados Unidos, Joe Biden, llegó a Irak este martes en una visita sorpresa, para reunirse con líderes de ese país y militares estadounidenses, informó la Casa Blanca. Se trata de la tercera visita de Biden a Irak este año, después de las de enero y julio de 2009, recordó un comunicado.

El presidente norteamericano, Barack Obama, encargó a Biden ocuparse del proceso para que Estados Unidos pueda retirar sus tropas del país del Golfo para agosto de 2010. Biden tiene previsto reunirse con el presidente de Irak, Jalal Talabani, el primer ministro, Nuri al-Maliki, y otros líderes iraquíes en Bagdad, informó la Casa Blanca en el comunicado.

"También se reunirá con representantes de la misión de Naciones Unidas en Irak."

Fuente: AFP/Es.Noticias.yahoo/Irakwar.ru/Edición:PrensaPopularSolidaria_ComunistasMiranda

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HONDURAS.. LA RESISTENCIA

Por:Rebeca Becerra

16 de septiembre

La resistencia forma parte inevitable de las relaciones de poder que a través de la historia hemos heredado; marcaron nuestro pasado, están marcando nuestro presente y afectarán de manera predictiva el futuro de los seres humanos. Estas se pueden dar a nivel político, económico, cultural, militar y moral, inclusive psicológico, pero también pueden ser de identidad en cualquiera de sus niveles.

Esta oposición poder/resistencia es inherente a la praxis humana en todos los ámbitos como el familiar, el trabajo, y lo que nos interesa el Estado; podríamos decir que fuera de los intereses impuestos y de los ámbitos en que se dé, la resistencia ha sido parte de nuestra naturaleza humana, pues nacemos resistiendo.

Hoy se dice que Honduras está en resistencia, la verdad es que los países de Latinoamérica han estado en resistencia desde las primeras concesiones cedidas al imperio norteamericano, pero si queremos hurgar en nuestra historia podríamos decir que resistimos desde la conquista y la colonización.

En nuestro país las concesiones comienzan a darse durante la Reforma Liberal en el año de 1876, pensando que atrayendo inversionistas norteamericanos se traía consigo la civilización a un pueblo que venía sufriendo las crueldades dadas durante la conquista y la colonia española, y los intentos sangrientos de lograr una independencia y unión con los países del istmo centroamericano, y luego las luchas civiles por el poder.

Para consolidar el monopolio estadounidense y el surgimiento de la clase burguesa y terrateniente se organizan los partidos políticos tradicionales el Liberal y el Nacional en el año de 1891 y 1913 respectivamente. Estos han gobernado alternamente el país por 118 años; partidos que han minado durante todo este período, utilizando alianzas entre ellos mismos y artimañas como la traición, los golpes de Estado, autogolpes, cualquier intento de levantamientos populares y/o de grupos guerrilleros en el país, cuando ven o huelen que por cualquier escollo peligran sus intereses economicos.

¿Cuánto tiempo llevamos resistiendo entonces comparado con lo que hoy estamos viviendo?

Baste con mencionar como ejemplo de resistencia la encabezada contra los españoles por el cacique lenca Lempira, la gesta heroica de Francisco Morazán por unir a los países de istmo centroamericano, la huelga de los mineros de San Juancito en 1909, huelga de los obreros bananeros de 1916, 1920 y la gran huelga de 1954. El levantamiento Armado de Miguel Yánez y el cura Idelfonso Orellana.

Los 20 años de dictadura de Tiburcio Carías Andino ¿acaso no es una gran acto de resistencia 20 años de dictadura?, el levantamiento de 1963 contra el auto golpe de Estado de Ramón Villeda Morales que mina la resistencia armada con el hecho sangriento de la matanza de los guerrilleros de El Jute y desarticulando el movimiento guerrillero Francisco Morazán, la matanza de los campesinos de La Talanquera en 1972 por la recuperación de tierras, la matanza de Santa Clara y “Los Horcones” por la liberación de 25 campesinos presos y el derecho a obtener un pedazo de tierra.

Posteriormente resistimos la llamada “década perdida” en los años 80’ con la guerra de baja intensidad, la instalación de bases militares estadounidenses, represión, desaparecimiento, tortura y asesinatos, el intento guerrillero fallido del Dr. José María Reyes Mata. La represión de los 80’ fue extendida hasta la década de los años 90 de una manera clandestina.

Este escueto recorrido nos dice que no hemos dejado de sufrir y que sobrevivir y seguir viviendo de cualquier forma es parte de resistir. Los hechos históricos nos demuestran que hemos estado sometidos y que la resistencia la ha provoca el poder político cuando pierde legitimidad, cuando se dan golpes y auto golpes de Estado porque peligran los intereses de la clase oligárquica o cuando no se incumple con los pactos sociales establecidos.

Lo repetitivo a lo largo de nuestra historia ha provocado una forma de dominio y hemos aprehendido la resistencia inconscientemente hasta el punto de vivir el día a día sin saber que estamos en resistencia y nos han impuesto una conducta a seguir, aunque algunos sabemos que no es la correcta; la resistencia se personalizó por lo tanto se personalizaron las conquistas sociales reducidas a gremios, sindicatos y otros grupos.

No hemos aprendido a analizar los hechos cotidianos, los discursos políticos que emanan del poder y hemos dejado de condenar las acciones cotidianas que con el correr del tiempo, al juntarlas desbocan en aquellas, que sí consideramos importantes, como el Golpe de Estado que estamos viviendo.

Ahora la resistencia actual se ha despersonalizado, para tomar forma en el pueblo hondureño. Es indudable que el levantamiento popular con el “no hacer”, es decir el no decidirse por una lucha armada es un hecho poco común y diría yo, casi único a nivel de Latinoamérica, que amerita análisis desde varios puntos de vista (histórico, antropológico, sociológico, etc).

Si bien Mahatma Gandhi luchó de manera pacífica y simbólica y logró desestabilizar y sacar de la India a los ingleses, al final no logró unir al pueblo separado por la religión. Los judíos durante la segunda guerra mundial optaron por el no actuar, y si bien hubo rebeliones aisladas la mayoría se entregó a morir en los campos de concentración, el resultado, el genocidio más grande que ha sufrido la humanidad.

¿Ahora, la resistencia pacífica es el inicio de una verdadera revolución o solamente se trata de impulsar pequeños cambios que no afectarán las estructuras políticas-económicas que en Honduras no han evolucionado como deberían por el bipartidismo que nos ha dominado?

¿Hay una consciencia de cambio profundo en la población hondureña o es una consciencia que todavía permanece en la superficie, la cual también amerita de análisis?

Quiero ejemplificar lo de la consciencia profunda y superficial con un hecho que para muchos parecerá trivial: durante las marchas más grandes que ha tenido el país, los manifestantes de Tegucigalpa abarrotan los negocios de comidas rápidas símbolos del imperialismo, después de gritar consignas, llevar la bandera con la imagen del Che Guevara, cantar canciones, etc.

A mi parecer solamente un proceso de ideologización profunda podrá transformar la estructura profunda de la consciencia del pueblo hondureño y esto presupone un trabajo de años, por el momento la lucha permanece en una estructura superficial emotiva y no ideológica.

Si bien el ejercicio del poder está sujeto a cambios, es decir que no se mantiene indefinidamente, los sometidos un día podrán tener en sus manos el control para poder cambiar su rumbo. Las relaciones de poder son peleas constantes entre los que someten y los sometidos, en estas luchas surgen diferentes respuestas de ambas partes, que pueden convertirse en una violencia directa, revueltas populares y hasta guerras; sin embargo las respuestas de ambas partes siempre están en un constante crear para dar respuestas a las agresiones de los otros.

La respuesta del pueblo hondureño ha sido inesperada, ha sido creativa, ha sido pacífica, ha sido espontánea, ha sido y esto es lo extraño como si viviéramos una fiesta cada día, a pesar de las vidas afectadas. Entonces los dominadores se han quedado rezagados en cuanto al ser creativos en la lucha, en un momento optaron por la represión y la violencia, sin embargo no tuvo la respuesta negativa que ellos esperaban obtener, al contrario la respuesta fue positiva y por eso se encuentran desorientados.

O su estrategia, porque sí la tienen, obedece a la llamada guerra irregular (IW) ¿podrá el pueblo hondureño luchar contra la IW , guerra de larga duración que cuenta con un poder aéreo, espacial y ciberespacial? Es decir que nos enfrentamos a una guerra de alta tecnología.

“La resistencia pasiva parece un contrasentido, pues resistencia significa una acción, y pasiva una no-acción, pero en esta perspectiva lo pasivo pierde toda su connotación negativa, y desde esa negatividad, la no-acción entre toda su positividad, el no-hacer se convierte en un hacer.”(Gracia Canal: 2005)

Ahora entender que hemos optado por una lucha pacífica significa que no hemos optado por una lucha armada la cual no es descartable, pues no sabemos cuáles son los senderos por donde se bifurcará el camino.

La resistencia..

Fuente: Por Honduras Libre/ Edición de: PrensaPopularSolidaria_ComunistasMiranda

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HONDURAS.. MARCHAS MULTITUDINARIAS ESTREMECEN A LOS GOLPISTAS

PERIODISTA ALEJANDRO CASCO
16 de Septiembre 2009

Las multitudinarias marchas a nivel nacional, en ocasión de celebrarse el 15 de Septiembre el 188 aniversario de la Independencia Patria, realizadas en apoyo de la Resistencia Nacional indica el repudio general en contra de los golpistas que usurparon el gobierno de la República el pasado 28 de junio.

Sólo en la capital la apoteósica manifestación conglomeró a más de 400 mil personas que no importando su posición social y política desfilaron reclamando el retorno del Presidente Constitucional de la República, Manuel Zelaya Rosales, y exigiendo la instalación de la Asamblea Nacional Constituyente para redactar una nueva Constitución de la República, que permita tener mayor participación popular en organismos con decisión política, social y económica.

Aunque la repulsa a nivel internacional es unánime contra los golpistas encabezados por goriletti (Roberto Micheletti) y Romeo Vásquez, jefe del Estado Mayor Conjunto de las Fuerzas Armadas, lo acontecido en la Celebración de la Independencia del país, dio el puntillazo en el país para indicar a los usurpadores del poder que son repudiados por todos los estratos sociales del país.

En lo que se refiere a Tegucigalpa, donde el sector popular inició su congregación a finales del boulevard Morazán desde las 7 de la mañana, podía observarse como la gente fluía de diversas colonias de la capital, desde las más populares, como de los sectores medios y de zonas residenciales.

Otro aspecto importante en esta cita multitudinaria fue la incorporación masiva de jóvenes, quienes nunca han tenido oportunidad de participar en un proceso electoral como el programado para el próximo 29 de noviembre.

El rechazo de la juventud contra las elecciones de los candidatos de la oligarquía fue tan manifiesta que en el recorrido realizado por la gigantesca manifestación quitó toda la propaganda a cargos de elección popular, es decir del Partido Nacional, Partido Liberal, Democracia Cristiana y de Innovación y Unidad (PINU).

En la medida que el Boulevard iba llenándose la gente portaba cartelones que expresaban la exigencia de devolver el orden institucional y el retorno al Presidente Constitucional de la República, Manuel Zelaya Rosales, en tanto, muñecos representando a monos y gorilas, para compararlos con los militares, eran tirados al suelo y los marchistas les pegaban puntapiés en el pavimento.

Mientras esto sucedía con el sector popular, la oligarquía rectora del Golpe de Estado del 28 de junio participaba en otra marcha, que resultó deslucida porque lo que representó fue un desfile militar con unos cuantos de sus adláteres de la mal llamada élite política y algunos de empleados de la municipalidad de la Capital e instituciones gubernamentales.

Qué lectura podemos realizar a ambos escenarios, en primera instancia que los golpistas no sólo están aislados internacionalmente, sino que están huérfanos de apoyo del pueblo en el campo interno.

Con lo acontecido nos revela que los golpistas sólo se mantienen en el poder por los fusiles y demás armamento de los militares y se han quedando aullando como lobos desesperados en la loma.

Por tal razón, sólo nos queda recordar aquél refrán árabe cuando dice: “Hay que esperar en las gradas que pase el cadáver”, y eso, es lo que sigue, ya los golpistas no pueden salir del país porque Estados Unidos les quitó las visas y otros países, como España y Brasil, han adoptado similares medidas, ahora falta que les congelen sus cuentas en el exterior, también la comunidad internacional no reconocerá las elecciones fraudulentas de noviembre si no es restituido el Orden Constitucional, o sea que, a los aprendices a dictadores lo único que les queda son las bayonetas, pero LA RESISTENCIA NACIONAL pondrá el mate con su movilización nacional, una vez que concluya o no el Acuerdo de San José, con la participación del Presidente de Costa Rica, Oscar Arias.

ADELANTE RESISTENCIA NACIONAL, EL TRIUNFO ESTA PROXIMO, VAMOS POR LA ASAMBLEA NACIONAL CONSTITUYENTE PARA OPONERNOS A LOS CANDIDATOS GOLPISTAS DE LA OLIGARQUÍA HONDUREÑA.

Fuente: Por Honduras Libre/ Edición de PrensaPopularSolidaria_ComunistasMiranda

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EN AMÉRIQUE LATINE...COUP D·ETAT, DICTATURE, ASSASSINATS ET VIOLENCES AU HONDURAS

Par PCF Paris 5e - Publié dans : Internationalisme - Communauté : Parti Communiste Français

On connaît – mal sans doute - le rôle joué par les antifascistes et démocrates argentins dans la solidarité avec les réfugiés antifascistes, juifs et non, quand l’Europe était sous la menace d’une domination totale de la part du nazisme allemand et de ses alliés, avant que les soldats et les citoyens soviétiques n’inversent cette tendance avec les batailles de Stalingrad et de Moscou.

Des générations plus récentes se souviennent peut-être mieux de la période des dictatures fascistes en Amérique du sud dans les années 70/80, période ouverte par le coup d’Etat (11 septembre 1973) de Pinochet, appuyé par la United fruit and Co, au Chili, renforcé par celui de Videla (24 mars 1976) en Argentine, qui, grâce à l’Opération Condor, étendra son activité de domination et d’assassinats, conduite conjointement par les services secrets du Chili, de l’Argentine, de la Bolivie, du Brésil, du Paraguay et de l’Uruguay.

On s’en souvient peut-être un peu trop comme d’un mauvais cauchemar qui aurait fait place à des transformations des Etats et des sociétés, des types nouveaux d’initiative et de gestion, ouverts par des forces révolutionnaires, donnant la parole aux forces populaires et aux riches traditions révolutionnaires de ces pays.

Il ne faudrait pas pourtant que ces réalités nouvelles en occultent une autre, pas nouvelle du tout, celle-là : le combat permanent de l’oligarchie économique de ces pays, y compris dans ses formes de domination mafieuse ; quant au Chili, c’est l’armée, qui n’a sans doute pas perdu ses habitudes et assassine les Mapuches en lutte pour la récupération de leurs terres.

Pour ce qui est de la Colombie, on a beaucoup parlé des FARC à l’occasion de la libération d’Ingrid Betancourt, mais, à part « l’Humanité », qui parle de la dictature du président Uribe, actuellement en train de préparer une modification de la Constitution afin d’être autorisé à se présenter pour la 3è fois à l’élection présidentielle?

Au Honduras, un front nouveau s’est ouvert avec le coup d’Etat militaire du 28 juin dernier, qui a contraint le président élu Zelaya, bien que soutenu pacifiquement par une large partie de la population, à quitter le pays. Il bénéficie pourtant du soutien de composantes très diverses de la communauté internationale (l'ONU, l'OEA, le Venezuela, la Colombie, les États-Unis), qui condamnent la rupture de la légalité.

Plusieurs pays, dont les Etats-Unis, ont réduit ou stoppé leur aide au Honduras. Fin juillet, une mission internationale comportant des représentants de la Fédération internationale des ligues des droits de l’homme conclut à des violations graves et systématiques des droits de l’homme de la part du gouvernement de facto (comme on l’appelle dans la presse, pour ne pas dire : gouvernement de coup d’Etat) de Roberto Micheletti.

La Commission interaméricaine des droits de l'homme a également dénoncé le 21 août des arrestations arbitraires (entre 3 500 et 4 000 personnes, dans un pays de moins de huit millions d'habitants), le recours arbitraire au couvre-feu (décidé le 1er juillet), des traitements inhumains et dégradants, des actes de répression violente.

Le cauchemar n’est jamais conjuré définitivement. A leur tour, les démocrates honduriens ont besoin de notre vigilance et de notre solidarité : il y a déjà des prisonniers et des morts en ce pays.

Fuente: Par PCF Paris 5e - Publié dans : Internationalisme - Communauté : Parti Communiste Français/Edición de PrensaPopularSolidaria/ComunistasMiranda

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PROCLAMA EN EL DIA DE LA INDEPENDENCIA CENTROAMERICANA

DEL FRENTE NACIONAL CONTRA EL GOLPE DE ESTADO EN HONDURAS

Al pueblo hondureño y a todos los pueblos del mundo

Nuestra Patria está en insurrección no violenta contra el régimen usurpador que asaltó con las armas las instituciones del Estado el 28 de junio, por lo que ninguna conmemoración independentista bajo esa infame y opresora dictadura golpista puede ser considerada. Hoy padecemos la misma opresión del imperio español, que por 300 años impuso cruz y espada a los heroicos pueblos, que sobrevivimos a la barbarie.

El pueblo de Honduras está en pie de lucha. Hoy celebramos ochenta días de incansable resistencia en todo el país por la restauración de la democracia, el retorno del Presidente Constitucional Manuel Zelaya Rosales y la convocatoria a la Asamblea Nacional Constituyente.

El Frente Nacional de Resistencia contra el Golpe de Estado constituye la expresión organizada del pueblo hondureño para el ejercicio del derecho a la desobediencia a un régimen despótico surgido de la fuerza de las armas, consagrado en el Artículo 3 de la actual Constitución.

La resistencia al golpe de Estado Militar sigue creciendo en forma imparable, a pesar del asesinato, torturas, apresamientos ilegales e innumerables vejámenes impuestos a diario por la dictadura

Proclamamos que nuestra lucha comienza con la restitución del Presidente Zelaya Rosales en el poder, seguida de la convocatoria a una Asamblea Constituyente democrática, incluyente y popular, que emita una nueva Constitución para sentar las bases de nuestra verdadera independencia económica y social, haciendo que la oligarquía junto con la cúpula política-militar jamás vuelvan a romper el Orden Constitucional sin recibir su merecido.

El pueblo hondureño en resistencia contra la violencia de los usurpadores proclama, una vez más, el desconocimiento del proceso electoral militarizado con que pretenden legalizar la barbarie del 28 de junio pasado y convoca a la Nación a continuar rechazando en forma activa esa farsa del Tribunal Supremo Electoral

En esta fecha, expresamos nuestro profundo agradecimiento a todos los pueblos del Mundo sus invaluables demostraciones de solidaridad en respaldo a nuestra causa. Mientras nuestra lucha se agiganta, los usurpadores se desploman cercados por la humanidad; el triunfo está próximo.

Frente Nacional Contra el Golpe de Estado
15 de septiembre de 2009

Fuente: Frente Nacional Contra el Golpe de Estado en Honduras/Edición de: PrensaPopularSolidaria_ComunistasMiranda

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PUEBLO HONDUREÑO RECHAZA BURDA PANTOMIMA DE MIERDELETTI

Micheletti y la burda pantomima de la celebración `por la independencia contrasta con la reacción popular

Por:Ricardo Arturo Salgado

Hoy 15 de septiembre el dictador de utilería y su cohorte de payasos montaron un número bochornoso que se llevo a cabo entre mariachis, caballos, aviones de combate y, muchos pero muchos gorilas. El escenario, el Estadio Nacional de Tegucigalpa, al cual trataron de llenar con gente obligada, lució vacio, hueco, muerto. Cerca, marchando por el boulevard Morazán, una enorme multitud se vestía de revolución para rechazar la dictadura.

Los famosos desfiles, parte del folklore que nos ha dado la derecha cada año para recordar una independencia que nunca se dio, y una soberanía que radica en los intereses de un puñado de mercaderes, cambiaron de apariencia y de contenido radicalmente este año.

Tegucigalpa es una ciudad mal organizada, con una población estimada en 1.2 millones de habitantes. El tamaño de la marcha se calcula, según periodistas afines a la resistencia, en cerca de medio millón de personas. La prensa extorsionadora golpista dijo que se trataba de unos 15 mil vagos. En cualquier caso la muchedumbre revela la creciente movilización de la gente.

Una señal también alentadora fue ver representantes de muchos barrios ya organizados en resistencia localmente. La movilización de masas ahora está coherentemente organizada, disciplinada y tiene fines más claros entre todos sus participantes.

Hoy pudimos confirmar que el juego de la derecha de ganar tiempo se esta volviendo en contra de sus intereses. La movilización nacional del día de hoy pudo, según cálculos de conocedores, haber movilizado hasta 3 millones de manifestantes en actividades diversas en todo el país. Si la cifra es correcta o no, no importa, lo que si importa es la incorporación masiva del pueblo en rechazo a la dictadura.

Otro acontecimiento relacionado fue la declaración de Hillary Clinton por la independencia de Honduras. En un comunicado rutinario el Departamento de Estado yankee emitió un comunicado para mencionar la “independencia” de nuestro país. En el mismo se menciona la división en la sociedad Hondureña (aunque no mencionan la desproporcionada diferencia entre los que estamos en resistencia y los golpistas).

En un intento claro por colocar a las autoridades ilegitimas al mismo nivel que las fuerzas en pro de la institucionalidad, el gobierno gringo apunta nuevamente hacia San José. Esta vez la situación es mas grave, y la solución debe ser mas rápida. Mañana 16 de septiembre Oscar Arias, después de un misterioso silencio, ha llamado a una reunión a los candidatos presidenciales hondureños para pedirles que presionen la firma del pacto.

Hasta el momento de escribir el presente trabajo, los dos candidatos de la izquierda Cesar Ham del Partido Unificación Democrática, y Carlos H. Reyes de la Candidatura Popular Independiente, no habían confirmado sobre su asistencia, y es que ambos están integrados en la resistencia y su posición es clara sobre las elecciones: no participar a menos que haya restitución constitucional, por lo que lo mas probable es que se abstengan de participar.

Los otros cuatro candidatos, ya confirmados, tienen muchas cosas en común, la mas notoria: todos apoyan el golpe de estado. De los cuatro, hay uno socialdemócrata (al menos nominalmente, no esta claro si tiene alguna formación ideológica), sin opciones de ganar nada en un proceso legítimo; el otro es Felicito Ávila, ex dirigente sindical, oportunista y parte del tristemente celebre partido demócrata cristiano. Este hombre, con poca formación y menos escrúpulos, es algo así como un voto adicional para los dos candidatos de los partidos tradicionales, y por tanto para los golpistas. Ha sido parte de las delegaciones golpistas a Estados Unidos.

Los dos participantes restantes son Porfirio Lobo Sosa del ultraderechista Partido Nacional de Honduras, parte activa del golpe, y con una gran cuota de poder en el actual régimen de facto; y Elvin Santos Ordoñez, personaje obscuro, de poco talento y claramente manipulado por Carlos Flores Facussé, ex presidente y arquitecto del golpe de estado.

De esta reunión lo único que puede esperarse es que se aliente a estos sujetos a que presionen a los golpistas a firmar la Capitulación de San José, una salida que les da a los golpistas muchas mas concesiones que las que podrían alcanzar en procesos legítimos. De hecho, el Pacto por si mismo representa un reconocimiento del golpe como una vía para alcanzar posiciones de negociación.

El único hecho que parece quedar sin discusión hasta ahora, es el delito mismo del Golpe. El pacto contempla una amnistía; con Micheletti de regreso al congreso y la Corte, la fiscalía y procuraduría golpistas intactas. Evidentemente, el trato este es un perdón a las fechorías del régimen durante dos meses y no contempla ninguna reconciliación. Aquí se presupone, que llegado el presidente Zelaya bajo el pacto, la resistencia se acaba.

Aquí también se incluye un adelantamiento de las elecciones, convirtiendo a Zelaya, según Arias y los gringos, prácticamente en una marioneta que solo servirá para que el mundo reabra las puertas y olvide el delito cometido el 28 de junio. Así lo han dispuesto los dioses de la Casa Blanca, del departamento de estado y otros entes que se olvidan que los países los hacemos los pueblos.

Casi todo ha salido como esperaban. Siguen haciendo tiempo, hasta que llegue el momento de traer a Mel de regreso. El presidente Zelaya lo sabe. También sabe que su apoyo interno es inmenso, y que su sola presencia es suficiente para impulsar al pueblo en una dirección distinta a la que planean los de San José. El presidente sabe que le pueden atar de pies y manos, pero no pueden callarlo, y como ciudadano puede hablar y dirigir a este pueblo en insurrección.

Las mediaciones normalmente han terminado en terribles traiciones a los pueblos; Oscar Arias es especialista en eso, esta vez la coyuntura nos enseña a ver que el futuro inmediato pretende deslegitimar la resistencia por medio de la reconciliación (no pretendo contradecir mi afirmación anterior sobre la falta de reconciliación, ya que en ese punto me refiero a un proceso verdadero).

Sin embargo, de la movilización de hoy, y de las 79 jornadas precedentes, podemos fijar nuestras expectativas en un nivel muy alto. La misión es la Asamblea Nacional Constituyente (palabras mas, palabras menos para no ofender a los que les gustan las definiciones mas claras), y el regreso del presidente, gracias o a pesar de la traición de San José, es solamente una de las etapas de nuestra lucha.

Mientras tanto el dictadorcillo y sus bufones, siguen haciendo eventos vacios y compartiendo entre animales. Los días que siguen son cruciales, pues la “cocina” del departamento de estado tiene listo el “tamal”* para terminar este bochornoso acto que ellos comenzaron.

Para nosotros, la misión sigue siendo la organización, la movilización permanente. Debemos estar alerta frente a las movidas imperiales en las horas y días que se nos vienen. Las estructuras organizadas avanzan y crecen, la consciencia que se ha ganado marchando no se compara con ningún otro proceso.

El presidente Zelaya puede estar seguro de que el tiempo ha corrido a favor nuestro, y puede contar con un gran apoyo popular, mucho mas grande que el que lo llevo al poder hace casi cuatro años.

Hace falta mucho camino por andar, pero ese es el único camino que hay para conquistar la independencia. Nuestra obligación es caminar por él, no importa lo que tengamos que hacer para lograrlo

Fuente: PrensaPopularSolidaria_ComunistasMiranda

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DÍA OCHENTA DE LA RESISTENCIA CONTRA LA DICTADURA EN HONDURAS Y ANIVERSARIO DE LA INDEPENDENCIA DE CENTROAMÉRICA

Día ochenta, quince de septiembre de 2009.
Por: Habla Honduras

El quince de septiembre se celebra la independencia de Centro América, una fiesta tradicionalmente protagonizada por las bandas de guerra, pelotones y palillonas de los colegios de secundaria, quienes compiten entre ellos para tener el primer lugar entre los muchos que marchan en las calles.

Desde siempre, ha sido una oportunidad para la población de ser espectadores del homenaje que los jóvenes le rinden a la patria. Junto con sus familias, miles de personas se instalan desde tempranas horas a orillas de las calles para ver pasar a los colegios y luego trasladarse al estadio nacional en donde termina el desfile. Ha sido, lo que los medios siempre han llamado, una fiesta cívica.

Pero este año fue distinto, este quince de septiembre cobró un significado especial, para unos, una oportunidad para exigir una independencia real de un país secuestrado por la oligarquía, resistir ante un golpe de Estado que amenaza las estructuras frágiles de la democracia y mostrar la fuerza del pueblo que se niega a aceptar a Micheletti Bain como presidente; para otros, una conmemoración de una independencia ideológica de la izquierda de Chavez -según lo explicara canal 8 en su transmisión del evento- y en ultima instancia del mundo, que se ha unido y condena a la clase gobernante y su “re-interpretación” de los principios básicos de la democracia. EN Honduras somos independientes, dijo Micheletti Baín, no dejaremos que ningún país nos influya. Hubo pues dos desfiles paralelos, conmemorando dos independencias, dos países profundamente diferentes.

Por un lado el gobierno de Micheletti organizó un desfile militar. Todos los batallones del ejercito en sus tres ramas desfilaron por las calles de Tegucigalpa reafirmando su poder bélico: helicópteros sobre volaron los cielos, aviones de combate haciendo alarde de complicadas maniobras, ágiles paracaidistas cayendo en el estadio acompañando a los civiles que sacaron sus camionetas Hummer, caballos de lujo y motocicletas Harley Davison para respaldar al Presidente de facto que desde el palco presidencial agradecía al borde de las lágrimas a SU pueblo por el apoyo mostrado.

Si bien hay que reconocer que la demostración de fuerza que el gobierno quiso dar al mundo no resultó muy convincente. El desfile fue corto, apenas duró unas horas y aunque el espectáculo habría sido de agrado para la población hondureña, (a quien siempre nos ha gustado esa clase de circo), lo cierto es que contó con muy poca presencia civil. Muchos de los marchantes eran veteranos de guerra y reservista del ejercito que apenas podían mantener el paso y el Estadio Nacional, que tiene capacidad para albergar a unos 35,000 espectadores, lució vacío, apenas unas cinco mil personas en graderías. Fue necesario hacer uso de los mismo militares que al salir de la pista se sumaban a las graderías para llenar el estadio. La gente simplemente no asistió a la convocatoria del Gobierno y como dijo Armida de López, no muy convencida, hay que celebrar que en Honduras la gente tiene la libertad de hacer lo que quiera. Porque el pueblo fue a la otra marcha.

A unos pocos kilómetros de distancia la resistencia organizó una marcha de independencia, un desfile popular al cual acudieron cientos de miles de personas de toda Tegucigalpa.

Paralelamente cada ciudad del país realizó un desfile similar, lleno de color, diversidad y optimismo por una victoria popular que se siente cada vez más cercana. No hubo incidentes en la marcha del pueblo, unos dicen que porque los infiltrados hoy estaban llenando el estadio nacional. De todos los barrios y colonias de la ciudad, llegaron grupos de personas, esta vez organizados a nivel de base, todos con ese espíritu colectivo que nos recuerda que unidos somos un pueblo fuerte, capaz de derrotar a la dictadura.

Vimos los aviones militares F5 que pasaban cerca de nuestras cabezas molestando nuestros oídos, alardeando, tratando de intimidarnos con su poderío. Pero lejos de darnos miedo nos parecieron desesperados y tristes. El rostro de los policías y soldados que impedían que la manifestación llegara al Estadio Nacional era desencajado, con la miraba baja y desmoralizados. El rostro de Micheletti y su séquito de piratas era igual. Parecía más una procesión fúnebre que una fiesta cívica. Y es que saben que el ejército podrá llenar el estadio para el gobierno golpista, y si bien en nuestro país las Fuerzas Armadas Botan presidentes, los soldados en Honduras no votan.

Entre el pueblo se celebra la decisión del gobierno de Estados Unidos de cancelar las visas a muchas de las figuras principales del golpismo, celebramos no por creer que con ello se resolverá el problema en donde nos encontramos que bien sabemos requiere aun mucho trabajo y sacrificio, sino porque les recordó a los burgueses oligarcas de Honduras, que aunque viven en un mundo paralelo al nuestro, no son sino desechables servidores del imperio y del capital internacional. La burla pública en este caso, se convierte en uno de los castigos más justos.

Desde siempre los ricos y famosos pudieron disfrutar de los precios bajos de la mano de obra nacional, tomar sus ganancias y trasladarse en primera clase a los lujosos centros comerciales de las ciudades norteamericanas. La visa, para ellos, era parte de su identidad. En el norte tienen sus casas, sus clubes, sus empresas y sus ahorros. En el norte estudian sus hijos, vacacionan, se relajan alejándose de las calles polvosas y bulliciosas de Honduras. Ahora que están condenados a compartir con los demás hondureños la suerte en que nos han metido, se llenan la boca diciendo que jamás les importó la visa y que están dispuesto a llegar hasta las últimas consecuencias.

Dos datos interesantes sobre las famosas visas. Quienes las perdieron, son figuras menores de la oligarquía. Los grandes señores dueños de Honduras, los grandes socios y amigos del capital extranjero aun se mueven con libertad por el mundo y hace pensar que los han dejado a un lado para que sean ellos quienes tomen la decisión final sobre el retorno de Mel. Es a ellos, y a los candidatos presidenciales de los partidos tradicionales que les tocará dirigir el proceso de transición para el retorno de Mel, convencer a Micheletti y Romeo Vasquez para que cedan en sus posturas en favor de sus intereses económicos. Por otro lado se supo que la visa le fue cancelada a catorce de los quince magistrados de la Corte Suprema de Justicia, la duda surge en el magistrado que aun cuenta con visa, ¿Quién es?

Surge ahora el famoso escándalo de corrupción de Latinnode, empresa norteamericana que fue condenada el 2008 en Estados Unidos por corrupción y la que vinculó a altos funcionarios de la administración Zelaya. Ya habían salido a la luz pública el nombre de los funcionaros B, C y D, Marcelo Chimirri entre ellos, ex gerente de Hondutel y quien en la actualidad guarda prisión, pero se guardó con sumo recelo el nombre del Funcionario A, supuertamente el más improtante y quien en su momento se dijo era Zelaya. Ahora se filtra en la prensa que dicho personaje podría ser el Ex Ministro de la Presidencia, hijo de Jaime Rossental, poderoso empresario de la costa norte, dueño de canal 11 y diario Tiempo críticos actuales del régimen y quien desde siempre ha contado con una cuota de poder dentro de los gobiernos liberales.

Rossental, desde el principio del golpe de estado y antes aún del mismo, ha mantenido una cierta distancia con el grupo protagonista del rompimiento constitucional, no porque difieran de los objetivos económicos con los mismos, o porque no se le considere parte de la oligarquía nacional. Sus razones no me son aún muy claras, imagino habrá cierto conflicto económico que lo empuja a un lado más que al otro. Pero llama sí la atención ver, que las familias más influyentes dentro del golpe de estado son palestino descendientes, algunos aún con fuerte vínculos con las Organización para la Liberación del Palestina (contradicciones históricas para hablar largo rato).

Los Rossental, son judío descendientes y no se me ocurre una familia judía matriculada de lleno con el golpe de la Oligarquía. La cosa es que con la aparición ahora del nombre de Yanny Rossental como el funcionario A de Latinnode, los Rossental podrían verse empujados a presentar una postura menos crítica con el gobierno de Micheletti.

La campaña de las elecciones de la Oligarquía sigue avanzando si bien con grandes dificultades. Elvin Santos se vio en la necesidad de militarizar la ciudad de la Ceiba para poder efectuar su concentración política, que luego anunció en la prensa nacional como un éxito indiscutible, muestra contundente que el pueblo hondureño apoya las futuras elecciones. Por otro lado Pepe Lobo, quien ha intentado desde el inicio separarse del golpe de estado, si bien su partido es uno de los principales garantes del mismo, denuncia ahora el sabotaje que sufre su material de campaña que aparece, por todos lados, con el cartel “golpista” bajo la foto de su cara.

Mañana los diferentes candidatos presidenciales asistirán a la reunión convocada por Oscar Arias en San José de Costa Rica, discutirán sobre los problemas que enfrentarán las elecciones generales de continuar el conflicto.

Carlos H Reyes ha dicho que no asistirá, dijo que tiene cita en el Seguro Social para revisar su fractura luego de la represión del El Durazno. Dijo además, que la resistencia no apoya el plan de San José porque desconoce a la Constituyente como la salida a la crisis social de Honduras. La resistencia no piensa abandonar la lucha por una nueva constitución, con o sin Zelaya. Esto era lo que intentaba Micheletti evitar con el golpe de Estado. Esto es lo que intenta evitar Washington con el Plan San José.

¡NO PASARÁN!

Fuente: Habla Honduras/http://www.hablahonduras.com
Edición de: PrensasPopularSolidaria_ComunistasMiranda

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ORGANIZACIÓN COMUNISTAS MIRANDA CENTRO INVITA A MILITANCIA Y AMIGOS A LOS ACTOS DEL 80 ANIVERSARIO

ORGANIZACIÓN COMUNISTAS MIRANDA CENTRO INVITA A MILITANCIA Y AMIGOS A LOS ACTOS DEL 80 ANIVERSARIO
La Organización Intermunicipal Miranda Centro del Partido Comunista de Venezuela invita a nuestra militancia, afiliados, amigos y simpatizantes a los Actos de Celebración del 80 Aniversario de nuestro Glorioso Partido Comunista de Venezuela, a realizarse según datos ubicados en la Gráfica. Los esperamos para nuestra celebración, con espíritu y combatividad comunista, revolucionario y patriótico!!! Asiste!!

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