Por: Jerónimo Carrera
Así es como mejor se puede calificar –en buen lenguaje criollo, del que empleábamos todos los venezolanos antes de ser invadidos por los modismos del norte que exhiben ahora aquí los cada día más abundantes pitiyanquis- la muy delicada situación por la que atraviesa actualmente la ya algo vetusta Organización de las Naciones Unidas.
Efectivamente, esta primera semana de sesiones plenarias de la 64ª Asamblea anual de la ONU, en su sede de Nueva York, nos ha demostrado de manera muy clara que tan importante organismo se encuentra gravemente enfermo, y en riesgo si no de desaparición sí de caer en un estado de paralización.
Algo así como ya antes le sucedió, en los años ’30 del pasado siglo, a su predecesora en el papel de organización internacional fundamental, o sea la denominada Sociedad o Liga de las Naciones, desaparecida de un modo gradual y en forma definitiva al estallar en 1939 la que se conoce como II Guerra Mundial.
En la actual tanda de sesiones, prácticamente todos los jefes de Estado o de gobierno que han intervenido han expuesto lo que bien podemos denominar un rosario de quejas y propuestas sobre el funcionamiento de la ONU. Casi podemos deducir de ello que dicha organización no sirve para nada, que está muerta y sólo falta que se le entierre oficialmente.
Es cierto que el mundo ha cambiado bastante desde aquel histórico 26 de junio de 1945, cuando en la ciudad yanqui de San Francisco la Carta fue firmada por los representantes de todos los países que de un modo u otro aparecieron del lado vencedor en esa terrible guerra, y entre ellos nuestra Venezuela, que se sumó a última hora conminada al igual que muchos otros países por el gobierno de Estados Unidos, interesado en contar con una aplastante mayoría frente a los cuatro o cinco votos que estaban al lado de Unión Soviética entonces.
De allí que el papel fundamental de la ONU haya sido el de evitar que la confrontación natural entre Estados Unidos y la URSS, o sea entre el capitalismo y el cada día más fuerte socialismo, llevara al mundo a una nueva hecatombe, que se hizo más peligrosa con las armas nucleares. Y nadie podría negar hoy que ese papel tan vital para el conjunto de la humanidad lo cumplió a cabalidad.
Tanto Estados Unidos como la URSS cayeron en la falacia de creer que el mundo se había hecho bipolar, sin darse cuenta que en la lejana Asia había despertado un gran dragón con el triunfo magnífico de la Revolución China, triunfo que todos deberíamos celebrar, el Primero de Octubre de 1949.
De inmediato surgió entonces un nuevo y poderoso polo, el del movimiento de países no alineados, inspirado por el genial estadista chino Zhou Enlai, con la cooperación de Sukarno, Nehru, Nasser y Tito, de Indonesia, India, Egipto y Yugoslavia respectivamente, que así confirmaron la multipolaridad mundial que siempre ha existido.
Debería tenerse en cuenta que los gobernantes de Estados Unidos nunca han respetado el Derecho Internacional, y por eso ellos no se dejan atar por organismos internacionales. No entraron en la Sociedad de Naciones, y en la ONU lo hicieron para controlarla.
Hoy la ONU ya no les sirve, y serían los primeros en celebrar su desaparición, para quedar con las manos libres y poder iniciar guerras por todas partes del mundo, ya que viven de las guerras y de la producción de armamento de toda clase, empezando por las llamadas armas cortas o menores.
P.S.- Primero de Octubre, día de la fundación de la República Popular China.- Como admirador que soy de esta república y del Partido Comunista de China, no puedo estar de acuerdo con quienes califican a China de país capitalista. Sucia labor en la cual están empeñados, entre otros, los trotskystas de la divisionista columna periodística Un Grano de Maíz, bajo la firma de un tal Antonio Aponte (Diario VEA, Caracas, 25-9-09, pág
Fuente: PrensaPopularSoplidaria_ComunistasMiranda http://prensapopular-comunistasmiranda.blogspot.com Correo: pcvmirandasrp@gmail.com
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sábado, 26 de septiembre de 2009
POURSUIVRE,ÉLARGIR, ENRACINER LE FRON DE GAUCHE
Poursuivre, élargir, enraciner le Front de Gauche
Par : Bureau de presse, Mis en ligne : 26 septembre
Réunis le 23 septembre, les formations constitutives du Front de Gauche ont tenu à réaffirmer leur volonté de poursuivre, élargir, et enraciner le Front de Gauche dans la durée, dans les luttes et dans les urnes.
Ils souhaitent tout d’abord contribuer aux mobilisations nécessaires contre la politique de Nicolas Sarkozy, politique de casse de l’emploi et des services publics, de régression du pouvoir d’achat, de chasse aux migrants, de remise en cause des droits démocratiques et d’alignement sur les politiques libérales et sociales libérales qui dans le monde, tournent le dos aux besoins humains et aux équilibres écologiques.
Ils ambitionnent de proposer un autre choix résolument à gauche. Le résultat du Front de Gauche aux Elections européennes confirme qu’il y a une attente dans notre peuple pour cela et que c’est possible. Rien ne peut détourner de la nécessaire construction, la plus rapide possible, d’une alternative réelle aux politiques libérales et capitalistes, d’une véritable proposition de gauche ayant vocation à construire des majorités d’alternative à la droite dans notre pays.
Ils condamnent les tentatives de recomposition au centre autour d’alliances avec le MODEM qui sont vouées à l’échec, fondées sur la seule idée d’un front anti Sarkozy, incapables de proposer un programme alternatif à la politique de la droite et faisant, de fait, disparaître la gauche.
Ils condamnent tout autant l’organisation de primaires en vue des élections présidentielles qui nient la richesse de la diversité à gauche, enferme celle-ci dans une concurrence des egos bien loin des préoccupations de la majorité de la population en butte aux conséquences de la crise économique, en particulier des licenciements.
Ces constructions politiques délétères ont pour issue la victoire durable, électorale et idéologique, de la droite comme le prouve amplement la situation en Italie. Elles sont l’aboutissement logique du glissement progressif des politiques libérales et sociales-libérales suivies toutes ces dernières années en Europe et en France.
Il y a urgence à construire de véritables réponses à la hauteur de la situation !
Les organisations du Front de Gauche, le PCF, le PG et la GU sont déterminées à mettre toutes leurs forces dans la construction des mobilisations sociales face à Nicolas Sarkozy et au MEDEF, à prendre toutes les initiatives pour construire une véritable alternative de rupture avec le capitalisme libéral.
Elles décident déjà, en conséquence :
la création d’un « Comité de Liaison Permanent » du Front de Gauche permettant une coordination suivie de son activité au service d’un travail consistant à ancrer sa démarche dans les luttes et dans les urnes, pour poursuivre ce qui a été engagé au moment des élections européennes
de contribuer activement à la votation citoyenne du 3 octobre sur l’avenir de la Poste
d’organiser de grandes campagnes publiques sur les urgences sociales et écologiques de l’heure, à partir des trois propositions de lois des parlementaires du PCF et du PG et de l’affirmation d’une réponse écologique et sociale conséquente lors du sommet de Copenhague sur le changement climatique
d’ouvrir immédiatement un chantier pour élaborer une plate forme partagée du Front de Gauche, contenant les grands axes de l’alternative de rupture nécessaire face à la droite et des propositions d’urgence permettant de répondre aux exigences populaire, aux dégâts de la crise capitaliste et du productivisme.
Les trois partis conviennent d’une première réunion de ce Comité de liaison dès la semaine prochaine afin de détailler, préciser et mettre concrètement en place ces premières décisions.
Bien sur, ils devront prendre au cours des réunions à venir du comité de liaison toutes autres initiatives nécessaires aux objectifs du Front de Gauche ; en particulier sur les moyens de porter leur plate forme partagée dans les luttes et les débats publics.
Paris, le 25 septembre 2009.
Fuente: l" Humanité/ Edición de PrensaPopularSolidaria-ComunistasMiranda http://prensapopular-comunistasmiranda.blogspot.com Correo: pcvmirandasrp@gmail.com
Par : Bureau de presse, Mis en ligne : 26 septembre
Réunis le 23 septembre, les formations constitutives du Front de Gauche ont tenu à réaffirmer leur volonté de poursuivre, élargir, et enraciner le Front de Gauche dans la durée, dans les luttes et dans les urnes.
Ils souhaitent tout d’abord contribuer aux mobilisations nécessaires contre la politique de Nicolas Sarkozy, politique de casse de l’emploi et des services publics, de régression du pouvoir d’achat, de chasse aux migrants, de remise en cause des droits démocratiques et d’alignement sur les politiques libérales et sociales libérales qui dans le monde, tournent le dos aux besoins humains et aux équilibres écologiques.
Ils ambitionnent de proposer un autre choix résolument à gauche. Le résultat du Front de Gauche aux Elections européennes confirme qu’il y a une attente dans notre peuple pour cela et que c’est possible. Rien ne peut détourner de la nécessaire construction, la plus rapide possible, d’une alternative réelle aux politiques libérales et capitalistes, d’une véritable proposition de gauche ayant vocation à construire des majorités d’alternative à la droite dans notre pays.
Ils condamnent les tentatives de recomposition au centre autour d’alliances avec le MODEM qui sont vouées à l’échec, fondées sur la seule idée d’un front anti Sarkozy, incapables de proposer un programme alternatif à la politique de la droite et faisant, de fait, disparaître la gauche.
Ils condamnent tout autant l’organisation de primaires en vue des élections présidentielles qui nient la richesse de la diversité à gauche, enferme celle-ci dans une concurrence des egos bien loin des préoccupations de la majorité de la population en butte aux conséquences de la crise économique, en particulier des licenciements.
Ces constructions politiques délétères ont pour issue la victoire durable, électorale et idéologique, de la droite comme le prouve amplement la situation en Italie. Elles sont l’aboutissement logique du glissement progressif des politiques libérales et sociales-libérales suivies toutes ces dernières années en Europe et en France.
Il y a urgence à construire de véritables réponses à la hauteur de la situation !
Les organisations du Front de Gauche, le PCF, le PG et la GU sont déterminées à mettre toutes leurs forces dans la construction des mobilisations sociales face à Nicolas Sarkozy et au MEDEF, à prendre toutes les initiatives pour construire une véritable alternative de rupture avec le capitalisme libéral.
Elles décident déjà, en conséquence :
la création d’un « Comité de Liaison Permanent » du Front de Gauche permettant une coordination suivie de son activité au service d’un travail consistant à ancrer sa démarche dans les luttes et dans les urnes, pour poursuivre ce qui a été engagé au moment des élections européennes
de contribuer activement à la votation citoyenne du 3 octobre sur l’avenir de la Poste
d’organiser de grandes campagnes publiques sur les urgences sociales et écologiques de l’heure, à partir des trois propositions de lois des parlementaires du PCF et du PG et de l’affirmation d’une réponse écologique et sociale conséquente lors du sommet de Copenhague sur le changement climatique
d’ouvrir immédiatement un chantier pour élaborer une plate forme partagée du Front de Gauche, contenant les grands axes de l’alternative de rupture nécessaire face à la droite et des propositions d’urgence permettant de répondre aux exigences populaire, aux dégâts de la crise capitaliste et du productivisme.
Les trois partis conviennent d’une première réunion de ce Comité de liaison dès la semaine prochaine afin de détailler, préciser et mettre concrètement en place ces premières décisions.
Bien sur, ils devront prendre au cours des réunions à venir du comité de liaison toutes autres initiatives nécessaires aux objectifs du Front de Gauche ; en particulier sur les moyens de porter leur plate forme partagée dans les luttes et les débats publics.
Paris, le 25 septembre 2009.
Fuente: l" Humanité/ Edición de PrensaPopularSolidaria-ComunistasMiranda http://prensapopular-comunistasmiranda.blogspot.com Correo: pcvmirandasrp@gmail.com
UNA REFLEXIÓN SOBRE LA REPRESIÓN DESATADA POR LA DICTADURA CON MOTIVO DEL REGRESO DEL PRESIDENTE ZELAYA
Honduras: Una reflexión sobre la represión desatada por el retorno del Presidente Zelaya
Militares y policías: instrumentos golpistas de represión
Leticia Salomón
25/09/2009.- Teóricamente, las Fuerzas Armadas son una institución del Estado, creada y diseñada para la defensa de la soberanía e integridad territorial, en tanto la Policía es una institución orientada a mantener el orden público y la seguridad de las personas y sus bienes. Teóricamente también, la misión de las Fuerzas Armadas es la defensa del territorio ante una amenaza externa y la misión de la Policía es la protección de la ciudadanía ante la amenaza de la delincuencia común y organizada.
El golpe de Estado del 28 de junio puso en evidencia el carácter instrumental de ambas instituciones como cómplices del poder político y económico que produjo, sostuvo y sostiene el gobierno golpista, situación que se ha intensificado con el retorno del presidente Zelaya, lo que se ha puesto de manifiesto en diversos hechos que se detallan a continuación:
1. Participación decisiva en el golpe de Estado
Sin la intervención de las Fuerzas Armadas, el Golpe de Estado no se hubiera producido. El elemento determinante del golpe fue el control directo sobre las dos instituciones represivas del Estado, lo que permitió ver a militares y policías en las calles, cumpliendo su papel de contenedores y represores de la movilización social en contra del golpe de Estado. Ambas instituciones se definieron por el golpe de Estado, lo que significa que se definieron también en contra de todos los sector es que se opusieran al mismo, creando una situación compleja en la que estas instituciones del Estado, llamadas a defender los intereses generales de la sociedad, se convirtieron en instrumento represivo de un grupo golpista que llegó a controlar directa e indirectamente, los poderes del Estado.
2. Ideologización del discurso
En las causas que provocaron el golpe de Estado se entretejen zafios intereses personales, políticos y económicos que intentaron disfrazar como defensa del sistema ante la amenaza de Chávez. Los viejos fantasmas, articulados con nuevos y viejos temores, fue un recurso utilizado por los militares, asimilado por los policías, manipulado por los líderes religiosos y enarbolado por el discurso golpista para asustar a la ciudadanía y atraer la simpatía de los Estados Unidos ante la aventura golpista. Todos ellos coincidieron en la identificación del enemigo y del mal, y en la justificación de todos los recursos para combatirlo.
3. Protección privada a los golpistas
La reacción masiva contra el golpe de Estado y la identificación pública de los autores intelectuales y materiales del golpe de Estado, con sus residencias y sus empresas, provocó una mayor identificación de las instituciones represivas con los intereses de los golpistas y aparecieron de día y de noche, y con más intensidad cuando la resistencia salía a las calles, cuidando sus pertenencias, acompañando a sus familias y sirviendo de guardaespaldas privados del poder golpista.
4. Protección a los grupos de apoyo a los golpistas
La creciente presencia de la resistencia en las calles obligó a los golpistas a organizar su propio grupo de apoyo, del que formaban parte feligreses arrastrados por las iglesias; empleados públicos presionados por quienes les pagaban; trabajadores de la empresa privada obligados y estimulados monetariamente para participar; parientes de golpistas en su diversidad política, económica, mediática y religiosas, y más de algún ciudadano manipulado por los medios de comunicación al servicio del golpe de Estado. Las instituciones represivas de la resistencia contra el golpe de Estado, se convirtieron en instituciones protectoras de esos grupos con sus marchas blancas, impregnadas de un patriotismo trasnochado, de una democracia deformada, de una paz etérea y de una santidad saturada de malos presagios.
Mientras militares y policías acosaban y acosan a la resistencia esperando el momento adecuado para reprimirlos, acompañan a las marchas blancas en su recorrido, les abren paso, las protegen de cerca, eliminan obstáculos a su ruta, previenen peligros desde lugares estratégicos y cumplen con su papel instrumental al servicio del poder.
5. Estigmatización de la resistencia como delincuente
El posicionamiento de militares y policías al lado del gobierno de facto y la asociación de toda resistencia al golpe de Estado como el enemigo que hay que combatir, hace que todos ellos, militares, policías y demás golpistas, uniformen su discurso acusando a la resistencia de delincuente y asociando su condición delictiva con su condición de seguidores del presidente constitucional de la república. De ello participa la Policía que no ha terminado de aprender que los únicos llamados e emitir fallos de culpabilidad son los jueces, luego de una minuciosa valoración de los casos presentados por los fiscales del Ministerio Público. Anunciar en boletines públicos, como el del 23 de septiembre, que los seguidores del presidente Zelaya son delincuentes, es un posicionamiento parcializado, politizado, ilegal y éticamente cuestionable.
6. Exceso de fuerza en la represión de la resistencia
La represión que ha sufrido la resistencia en su larga lucha contra el golpe de Estado es sorprendente, por la furia desatada, el odio manifiesto y la violencia implícita: golpean con tubos de metal que han sustituido los tradicionales toletes de madera, utilizan palos con clavos para que los golpes sean más certeros, atacan en grupos, arrasan con mujeres, jóvenes y niños, se ensañan con los más indefensos, arrastran por el suelo a los jóvenes que detienen y se los llevan con rumbo desconocido. Esta situación se ha intensificado con la llegada del presidente Zelaya porque se han sumado los miedos de los golpistas con la vergüenza de las instituciones represivas por la llegada no detectada, la euforia de la resistencia y las tácticas de respuesta social focalizada en barrios y colonias, que los ha dejado en evidencia como incompetentes ante propios y extraños e incapaces de contener la respuesta social con los métodos represivos tradicionales.
7. Presión sicológica sobre el Presidente de la República
El presidente y las personas que se encuentran en la Embajada de Brasil se han convertido en blanco de la irracionalidad golpista, situación que se expresa en la intensificación de sonidos, ruidos intensos asociados con activación constante de fusiles, marchas de pelotones, iluminación intensa dirigida a la embajada. Este comportamiento irracional es indicativo de la desesperación asociada con la etapa final de un proceso en el que ellos han salido perdedores, pero también es una evidencia de los extremos a los que pueden llegar como instituciones represivas, cuando actúan sin ninguna ética y sin ningún respeto a las normas internacionales que regulan su papel ante la población civil.
8. Represión, intimidación y derroche de barbarie
Los militares y policías, obedeciendo de forma entusiasta las órdenes del presidente de facto de “mantener el orden, tranquilidad y seguridad en toda la geografía nacional”, reforzados por militares del interior del país y amparados por el toque de queda que deja en el desamparo y la indefensión a la ciudadanía en general y a la resistencia en particular, se dedicaron la noche del 23 de septiembre a visitar los barrios y colonias de la capital de la república, disparar balas de verdad, lanzar bombas lacrimógenas y gas pimienta, entrar por la fuerza a las casas de habitación, golpear con tubos y sacar a los jóvenes de sus hogares. Todo ello representa un ataque feroz contra la resistencia, una intimidación agresiva y una presión sicológica y física para impedir que la misma siga en las calles haciendo demostraciones de fuerza como la que se produjo el día de hoy. El saldo de heridos, golpeados y apresados en esa noche fue muy alto, provocando confusión por desconocer el lugar a donde condujeron a los detenidos sin ninguna garantía a su seguridad personal, en el mismo estilo de la seguridad nacional aplicado en nuestro país en la década de los ochenta. La violencia e irracionalidad del comportamiento militar y policial hizo pensar a la ciudadanía que estos se encontraban bajo los efectos de las drogas, situación que fue percibida en distintos puntos del país pero con más intensidad en la capital. Estos actos constituyen la antesala y la preparación de condiciones para que el gobierno golpista haga una demostración de apoyo popular artificialmente construido, sin una resistencia que empañe las imágenes que quieren lanzarle al mundo, particularmente a los que están reunidos en la Asamblea de la ONU. Los militares y policías se preparan también para facilitar y garantizar la llegada de la fuerza de apoyo al gobierno de facto a lugares estratégicos como la Casa de las Naciones Unidas o la misma Embajada de Brasil en donde se encuentra el presidente constitucional de la república.
La llegada del presidente Zelaya no provocó la confrontación de sus seguidores con los grupos golpistas, como vaticinaban algunos analistas internacionales que intentaron impedir el retorno del presidente Zelaya. Pero sí ocurrió lo contrario: un incremento de la represión del régimen golpista contra las actividades pacíficas de la resistencia, imposición de un toque de queda de 50 horas continuas en todo el país, que impedía el derecho ciudadano a la libre movilización, situación que llevó al límite la paciencia de la ciudadanía y obligó al gobierno de facto a interrumpir por siete horas el toque de queda, para evitar la amenaza de saqueo generalizado de supermercados y bodegas por parte de una población desesperada por el agua, las medicinas y los productos alimenticios básicos.
Reflexión final
Estamos en presencia de una clara politización de las Fuerzas Armadas y de una reconfirmación de la militarización de la Policía en su concepción, metodología y prácticas cotidianas. La agresividad, irracionalidad e impunidad con que actúan las instituciones represivas del Estado, evidencian la misma actitud demencial de quienes los dirigen y apoyan, los cuales han traspasado el límite de lo aceptable. No pueden colocarse dos grupos en igualdad de condiciones, si uno de ellos tiene el monopolio del uso de la fuerza (militar y policial), el control de instituciones clave del Estado y la impunidad asociada a la complicidad de los otros poderes del Estado, y el otro se encuentra desarmado, indefenso y a merced de las instituciones del Estado que controlan la represión, la justicia y el presupuesto nacional.
Leticia Salomón es Socióloga y economista hondureña, investigadora asociada del Centro de Documentación de Honduras (CEDOH).
Fuente: CEDOH/ Por Honduras Libre/ Edición de: PrensaPopularSolidaria_ComunistasMiranda http://prensapopular-comunistasmiranda.blogspot.com/ Correo: pcvmirandasrp@gmail.com
Militares y policías: instrumentos golpistas de represión
Leticia Salomón
25/09/2009.- Teóricamente, las Fuerzas Armadas son una institución del Estado, creada y diseñada para la defensa de la soberanía e integridad territorial, en tanto la Policía es una institución orientada a mantener el orden público y la seguridad de las personas y sus bienes. Teóricamente también, la misión de las Fuerzas Armadas es la defensa del territorio ante una amenaza externa y la misión de la Policía es la protección de la ciudadanía ante la amenaza de la delincuencia común y organizada.
El golpe de Estado del 28 de junio puso en evidencia el carácter instrumental de ambas instituciones como cómplices del poder político y económico que produjo, sostuvo y sostiene el gobierno golpista, situación que se ha intensificado con el retorno del presidente Zelaya, lo que se ha puesto de manifiesto en diversos hechos que se detallan a continuación:
1. Participación decisiva en el golpe de Estado
Sin la intervención de las Fuerzas Armadas, el Golpe de Estado no se hubiera producido. El elemento determinante del golpe fue el control directo sobre las dos instituciones represivas del Estado, lo que permitió ver a militares y policías en las calles, cumpliendo su papel de contenedores y represores de la movilización social en contra del golpe de Estado. Ambas instituciones se definieron por el golpe de Estado, lo que significa que se definieron también en contra de todos los sector es que se opusieran al mismo, creando una situación compleja en la que estas instituciones del Estado, llamadas a defender los intereses generales de la sociedad, se convirtieron en instrumento represivo de un grupo golpista que llegó a controlar directa e indirectamente, los poderes del Estado.
2. Ideologización del discurso
En las causas que provocaron el golpe de Estado se entretejen zafios intereses personales, políticos y económicos que intentaron disfrazar como defensa del sistema ante la amenaza de Chávez. Los viejos fantasmas, articulados con nuevos y viejos temores, fue un recurso utilizado por los militares, asimilado por los policías, manipulado por los líderes religiosos y enarbolado por el discurso golpista para asustar a la ciudadanía y atraer la simpatía de los Estados Unidos ante la aventura golpista. Todos ellos coincidieron en la identificación del enemigo y del mal, y en la justificación de todos los recursos para combatirlo.
3. Protección privada a los golpistas
La reacción masiva contra el golpe de Estado y la identificación pública de los autores intelectuales y materiales del golpe de Estado, con sus residencias y sus empresas, provocó una mayor identificación de las instituciones represivas con los intereses de los golpistas y aparecieron de día y de noche, y con más intensidad cuando la resistencia salía a las calles, cuidando sus pertenencias, acompañando a sus familias y sirviendo de guardaespaldas privados del poder golpista.
4. Protección a los grupos de apoyo a los golpistas
La creciente presencia de la resistencia en las calles obligó a los golpistas a organizar su propio grupo de apoyo, del que formaban parte feligreses arrastrados por las iglesias; empleados públicos presionados por quienes les pagaban; trabajadores de la empresa privada obligados y estimulados monetariamente para participar; parientes de golpistas en su diversidad política, económica, mediática y religiosas, y más de algún ciudadano manipulado por los medios de comunicación al servicio del golpe de Estado. Las instituciones represivas de la resistencia contra el golpe de Estado, se convirtieron en instituciones protectoras de esos grupos con sus marchas blancas, impregnadas de un patriotismo trasnochado, de una democracia deformada, de una paz etérea y de una santidad saturada de malos presagios.
Mientras militares y policías acosaban y acosan a la resistencia esperando el momento adecuado para reprimirlos, acompañan a las marchas blancas en su recorrido, les abren paso, las protegen de cerca, eliminan obstáculos a su ruta, previenen peligros desde lugares estratégicos y cumplen con su papel instrumental al servicio del poder.
5. Estigmatización de la resistencia como delincuente
El posicionamiento de militares y policías al lado del gobierno de facto y la asociación de toda resistencia al golpe de Estado como el enemigo que hay que combatir, hace que todos ellos, militares, policías y demás golpistas, uniformen su discurso acusando a la resistencia de delincuente y asociando su condición delictiva con su condición de seguidores del presidente constitucional de la república. De ello participa la Policía que no ha terminado de aprender que los únicos llamados e emitir fallos de culpabilidad son los jueces, luego de una minuciosa valoración de los casos presentados por los fiscales del Ministerio Público. Anunciar en boletines públicos, como el del 23 de septiembre, que los seguidores del presidente Zelaya son delincuentes, es un posicionamiento parcializado, politizado, ilegal y éticamente cuestionable.
6. Exceso de fuerza en la represión de la resistencia
La represión que ha sufrido la resistencia en su larga lucha contra el golpe de Estado es sorprendente, por la furia desatada, el odio manifiesto y la violencia implícita: golpean con tubos de metal que han sustituido los tradicionales toletes de madera, utilizan palos con clavos para que los golpes sean más certeros, atacan en grupos, arrasan con mujeres, jóvenes y niños, se ensañan con los más indefensos, arrastran por el suelo a los jóvenes que detienen y se los llevan con rumbo desconocido. Esta situación se ha intensificado con la llegada del presidente Zelaya porque se han sumado los miedos de los golpistas con la vergüenza de las instituciones represivas por la llegada no detectada, la euforia de la resistencia y las tácticas de respuesta social focalizada en barrios y colonias, que los ha dejado en evidencia como incompetentes ante propios y extraños e incapaces de contener la respuesta social con los métodos represivos tradicionales.
7. Presión sicológica sobre el Presidente de la República
El presidente y las personas que se encuentran en la Embajada de Brasil se han convertido en blanco de la irracionalidad golpista, situación que se expresa en la intensificación de sonidos, ruidos intensos asociados con activación constante de fusiles, marchas de pelotones, iluminación intensa dirigida a la embajada. Este comportamiento irracional es indicativo de la desesperación asociada con la etapa final de un proceso en el que ellos han salido perdedores, pero también es una evidencia de los extremos a los que pueden llegar como instituciones represivas, cuando actúan sin ninguna ética y sin ningún respeto a las normas internacionales que regulan su papel ante la población civil.
8. Represión, intimidación y derroche de barbarie
Los militares y policías, obedeciendo de forma entusiasta las órdenes del presidente de facto de “mantener el orden, tranquilidad y seguridad en toda la geografía nacional”, reforzados por militares del interior del país y amparados por el toque de queda que deja en el desamparo y la indefensión a la ciudadanía en general y a la resistencia en particular, se dedicaron la noche del 23 de septiembre a visitar los barrios y colonias de la capital de la república, disparar balas de verdad, lanzar bombas lacrimógenas y gas pimienta, entrar por la fuerza a las casas de habitación, golpear con tubos y sacar a los jóvenes de sus hogares. Todo ello representa un ataque feroz contra la resistencia, una intimidación agresiva y una presión sicológica y física para impedir que la misma siga en las calles haciendo demostraciones de fuerza como la que se produjo el día de hoy. El saldo de heridos, golpeados y apresados en esa noche fue muy alto, provocando confusión por desconocer el lugar a donde condujeron a los detenidos sin ninguna garantía a su seguridad personal, en el mismo estilo de la seguridad nacional aplicado en nuestro país en la década de los ochenta. La violencia e irracionalidad del comportamiento militar y policial hizo pensar a la ciudadanía que estos se encontraban bajo los efectos de las drogas, situación que fue percibida en distintos puntos del país pero con más intensidad en la capital. Estos actos constituyen la antesala y la preparación de condiciones para que el gobierno golpista haga una demostración de apoyo popular artificialmente construido, sin una resistencia que empañe las imágenes que quieren lanzarle al mundo, particularmente a los que están reunidos en la Asamblea de la ONU. Los militares y policías se preparan también para facilitar y garantizar la llegada de la fuerza de apoyo al gobierno de facto a lugares estratégicos como la Casa de las Naciones Unidas o la misma Embajada de Brasil en donde se encuentra el presidente constitucional de la república.
La llegada del presidente Zelaya no provocó la confrontación de sus seguidores con los grupos golpistas, como vaticinaban algunos analistas internacionales que intentaron impedir el retorno del presidente Zelaya. Pero sí ocurrió lo contrario: un incremento de la represión del régimen golpista contra las actividades pacíficas de la resistencia, imposición de un toque de queda de 50 horas continuas en todo el país, que impedía el derecho ciudadano a la libre movilización, situación que llevó al límite la paciencia de la ciudadanía y obligó al gobierno de facto a interrumpir por siete horas el toque de queda, para evitar la amenaza de saqueo generalizado de supermercados y bodegas por parte de una población desesperada por el agua, las medicinas y los productos alimenticios básicos.
Reflexión final
Estamos en presencia de una clara politización de las Fuerzas Armadas y de una reconfirmación de la militarización de la Policía en su concepción, metodología y prácticas cotidianas. La agresividad, irracionalidad e impunidad con que actúan las instituciones represivas del Estado, evidencian la misma actitud demencial de quienes los dirigen y apoyan, los cuales han traspasado el límite de lo aceptable. No pueden colocarse dos grupos en igualdad de condiciones, si uno de ellos tiene el monopolio del uso de la fuerza (militar y policial), el control de instituciones clave del Estado y la impunidad asociada a la complicidad de los otros poderes del Estado, y el otro se encuentra desarmado, indefenso y a merced de las instituciones del Estado que controlan la represión, la justicia y el presupuesto nacional.
Leticia Salomón es Socióloga y economista hondureña, investigadora asociada del Centro de Documentación de Honduras (CEDOH).
Fuente: CEDOH/ Por Honduras Libre/ Edición de: PrensaPopularSolidaria_ComunistasMiranda http://prensapopular-comunistasmiranda.blogspot.com/ Correo: pcvmirandasrp@gmail.com
HONDURAS. NOTICIAS DE HOY TOMADAS DE LA PAGINA DIGITAL DEL FRENTE NACIONAL CONTRA EL GOLPE DE ESTADO EN HONDURAS
Continua el toque de queda para reprimir la resistencia en todo el país excepto algunas comunidades desde las 8:00 pm a 5:00 am. about 14 hours ago
Ante la presencia de médicos en la embajada de Brasil, desaparecen aparatos y humidificador para enviar tóxicos colocados por golpistas. about 14 hours ago
El ejército ha cortado todas las comunicaciones con la embajada, se teme por la vida de las personas que están adentro. about 20 hours ago
El ejército está atacando con un neurotóxico a la embajada de Brasil en Tegucigalpa, hay varias personas sangrando y con nauseas. about 20 hours ago
El Frente Nacional Contra el Golpe de Estado convoca a que la resistencia se manifieste en sus barrios para evitar la confrontación 1 day ago
Ministros de facto obligan a los empleados públicos a marchar a favor del golpe de estado, amenazándolos con despedirlos si desobedecen. 1 day ago
Régimen golpista utiliza vehículos del Estado para transportar personas a la marcha de las camisas blancas a favor del golpe de estado. 1 day ago
La marcha de camisas blancas está pagando 300 lps para que las personas de los barrios para que participen. 1 day ago
La Corte Penal Interncional aceptó los juicios en contra de los violadores de los derechos humanos en Honduras. 2 days ago
Están reprimiendo manifestaciones en varios barrios de Tegucigalpa 2 days ago
Reprimen a vecinos del barrio Morazán de Tegucigalpa. 2 days ago
URGENTE: GRAVE REPRESIÓN CONTRA LA MOVILIACIÓN DE LA RESISTENCIA EN TEGUCIGALPA 2 days ago
Jairo López, Presidente el Sindicato de Trabajadores del INFOP, ha sido gravemente herido de un disparo en la cabeza de parte de la policía 2 days ago
Presidente del Sindicato del INFOP. Gravemente herido de bala militar en la cabeza al organizar pobladores de la Col. Arturo Quezada. 2 days ago
Dispositivo acústico de largo alcance que provoca daños irreparables en el oido fue el utilizado por golpistas contra la embajada de Brasil. 2 days ago
Fuente: Portavoz Digital del Frente Nacional Contra el Golpe de Estado en Honduras/Edición: PrensaPopularSolidaria_ComunistasMiranda http://pcvmiranda-comunistasmiranda.blogspot.com Correo: pcvmirandasrp@gmail.com
Ante la presencia de médicos en la embajada de Brasil, desaparecen aparatos y humidificador para enviar tóxicos colocados por golpistas. about 14 hours ago
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Ministros de facto obligan a los empleados públicos a marchar a favor del golpe de estado, amenazándolos con despedirlos si desobedecen. 1 day ago
Régimen golpista utiliza vehículos del Estado para transportar personas a la marcha de las camisas blancas a favor del golpe de estado. 1 day ago
La marcha de camisas blancas está pagando 300 lps para que las personas de los barrios para que participen. 1 day ago
La Corte Penal Interncional aceptó los juicios en contra de los violadores de los derechos humanos en Honduras. 2 days ago
Están reprimiendo manifestaciones en varios barrios de Tegucigalpa 2 days ago
Reprimen a vecinos del barrio Morazán de Tegucigalpa. 2 days ago
URGENTE: GRAVE REPRESIÓN CONTRA LA MOVILIACIÓN DE LA RESISTENCIA EN TEGUCIGALPA 2 days ago
Jairo López, Presidente el Sindicato de Trabajadores del INFOP, ha sido gravemente herido de un disparo en la cabeza de parte de la policía 2 days ago
Presidente del Sindicato del INFOP. Gravemente herido de bala militar en la cabeza al organizar pobladores de la Col. Arturo Quezada. 2 days ago
Dispositivo acústico de largo alcance que provoca daños irreparables en el oido fue el utilizado por golpistas contra la embajada de Brasil. 2 days ago
Fuente: Portavoz Digital del Frente Nacional Contra el Golpe de Estado en Honduras/Edición: PrensaPopularSolidaria_ComunistasMiranda http://pcvmiranda-comunistasmiranda.blogspot.com Correo: pcvmirandasrp@gmail.com