VAMOS TODOS A TEGUCIGALPA, TODOS AL CONGRESO NACIONAL
TODOS A DEMANDAR LA RESTITUCIÓN DEL PRESIDENTE MANUEL ZELAYA, MEL
LA LUCHA CONTINUA,
AQUI NO SE RINDE NADIE
La Resistencia, Honduras
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martes, 3 de noviembre de 2009
L' UNION SOVIÉTIQUE DANS L' HISTOIRE 20 ANS APRÉS LA CHUTE DU MUR DE BERLÍN
20 ans après la chute du mur de Berlin (1): L’Union soviétique dans l’histoire
L’Union soviétique dans l’histoire
par Michel Buenzod membre du Comité de rédaction de Gauchebdo (hebdomadaire du Parti Suisse du Travail)
Repris par http://solidarite-internationale-pcf.over-blog.net/
depuis le site du Parti Suisse du Travail
L’URSS n’a-t-elle été, selon la formule d’un historien, qu’une « illusion » ? Ou s’agit-il d’enraciner l’idée que le capitalisme est indépassable et d’éradiquer ainsi tout espoir ? Il est indispensable aujourd’hui de rétablir les faits.
Le 9 novembre 2009, tous les défenseurs du capitalisme se mobilisent pour fêter le vingtième anniversaire de la chute du mur de Berlin, le « mur de la honte ».
Merveilleux symbole de la victoire de la « liberté » sur le « totalitarisme » !
Mais on ne peut comprendre les ressorts réels des événements, sans un bref retour aux réalités politiques de la fin de la guerre. Vainqueurs de la Wehrmacht hitlérienne qu’ils avaient combattue presque seul jusqu’à l’ouverture du second front en 1944, les Soviétiques occupent toute l’Allemagne orientale.
En juillet 1945, à la Conférence de Potsdam, les vainqueurs établissent les règles de leur cohabitation dans l’Allemagne occupée. Bien qu’ayant été les seuls à libérer Berlin, les Soviétiques acceptent que l’ancienne capitale du Reich soit divisée en quatre secteurs, comme le reste du pays.
Cette décision était conforme à la politique générale de l’URSS : l’union de toutes les forces opposées au fascisme devait se poursuivre dans la paix.
Pourtant, en mars 1946, Churchill prononce à Fulton , aux Etats-Unis, un discours qui est considéré comme le point de départ de la Guerre froide.
Dès lors, le problème de Berlin va se trouver au cœur du conflit est-ouest.
Nous ne pouvons ici entrer dans les détails : chars américains et soviétiques face à face, pont aérien occidental, mesures d’apaisement dues à la politique ouverte de Willy Brandt, etc.
Sur le fond, il faut se poser la question de savoir quel est, aujourd’hui, le but du battage entrepris, vingt ans plus tard, autour de la chute du mur.
Toute réponse documentée exige qu’on comprenne q’elle a été la véritable place de l’Union soviétique dans l’histoire.
L’URSS a-t-elle été uniquement, selon l’expression de l’historien français de droite François Furet, « une parenthèse », « une illusion » ?
Parenthèse, illusion qui ont duré trois quarts de siècle ! Aucune analyse sérieuse ne peut accepter un tel point de vue dont le but est de détacher de leurs combats ceux qui, en ce début du XXIe siècle, ont été profondément désorientés par la disparition de l’Union soviétique : non seulement des communistes, mais des progressistes partout dans le monde. Il s’agit d’enraciner l’idée qu’aucune société plus juste n’est capable de succéder au capitalisme.
Il s’agit d’éradiquer l’espoir.
Il est donc indispensable de rétablir les faits, en prenant en compte les réussites comme les échecs, la face sombre comme la face positive de ce que fut l’URSS - laissant de côté les polémiques intéressées comme les explications dogmatiques sujettes à caution.
Fuente: Repris par http://solidarite-internationale-pcf.over-blog.net/ depuis le site du Parti Suisse du Travail/ Edición:PrensaPopularSolidaria_ComunistasMiranda http://prensapopular-comunistasmiranda.blogspot.com/ Correo: pcvmirandasrp@gmail.com
L’Union soviétique dans l’histoire
par Michel Buenzod membre du Comité de rédaction de Gauchebdo (hebdomadaire du Parti Suisse du Travail)
Repris par http://solidarite-internationale-pcf.over-blog.net/
depuis le site du Parti Suisse du Travail
L’URSS n’a-t-elle été, selon la formule d’un historien, qu’une « illusion » ? Ou s’agit-il d’enraciner l’idée que le capitalisme est indépassable et d’éradiquer ainsi tout espoir ? Il est indispensable aujourd’hui de rétablir les faits.
Le 9 novembre 2009, tous les défenseurs du capitalisme se mobilisent pour fêter le vingtième anniversaire de la chute du mur de Berlin, le « mur de la honte ».
Merveilleux symbole de la victoire de la « liberté » sur le « totalitarisme » !
Mais on ne peut comprendre les ressorts réels des événements, sans un bref retour aux réalités politiques de la fin de la guerre. Vainqueurs de la Wehrmacht hitlérienne qu’ils avaient combattue presque seul jusqu’à l’ouverture du second front en 1944, les Soviétiques occupent toute l’Allemagne orientale.
En juillet 1945, à la Conférence de Potsdam, les vainqueurs établissent les règles de leur cohabitation dans l’Allemagne occupée. Bien qu’ayant été les seuls à libérer Berlin, les Soviétiques acceptent que l’ancienne capitale du Reich soit divisée en quatre secteurs, comme le reste du pays.
Cette décision était conforme à la politique générale de l’URSS : l’union de toutes les forces opposées au fascisme devait se poursuivre dans la paix.
Pourtant, en mars 1946, Churchill prononce à Fulton , aux Etats-Unis, un discours qui est considéré comme le point de départ de la Guerre froide.
Dès lors, le problème de Berlin va se trouver au cœur du conflit est-ouest.
Nous ne pouvons ici entrer dans les détails : chars américains et soviétiques face à face, pont aérien occidental, mesures d’apaisement dues à la politique ouverte de Willy Brandt, etc.
Sur le fond, il faut se poser la question de savoir quel est, aujourd’hui, le but du battage entrepris, vingt ans plus tard, autour de la chute du mur.
Toute réponse documentée exige qu’on comprenne q’elle a été la véritable place de l’Union soviétique dans l’histoire.
L’URSS a-t-elle été uniquement, selon l’expression de l’historien français de droite François Furet, « une parenthèse », « une illusion » ?
Parenthèse, illusion qui ont duré trois quarts de siècle ! Aucune analyse sérieuse ne peut accepter un tel point de vue dont le but est de détacher de leurs combats ceux qui, en ce début du XXIe siècle, ont été profondément désorientés par la disparition de l’Union soviétique : non seulement des communistes, mais des progressistes partout dans le monde. Il s’agit d’enraciner l’idée qu’aucune société plus juste n’est capable de succéder au capitalisme.
Il s’agit d’éradiquer l’espoir.
Il est donc indispensable de rétablir les faits, en prenant en compte les réussites comme les échecs, la face sombre comme la face positive de ce que fut l’URSS - laissant de côté les polémiques intéressées comme les explications dogmatiques sujettes à caution.
Fuente: Repris par http://solidarite-internationale-pcf.over-blog.net/ depuis le site du Parti Suisse du Travail/ Edición:PrensaPopularSolidaria_ComunistasMiranda http://prensapopular-comunistasmiranda.blogspot.com/ Correo: pcvmirandasrp@gmail.com
RESISTENCIA HONDURAS PLANTEA:: RESTITUCIÓN DE ZELAYA DEBE SER ESTA SEMANA
Resistencia: restitución de Zelaya debe ser esta semana
Tegucigalpa.
PL. 3 noviembre del 2009
El Frente Nacional contra el Golpe de Estado en Honduras, advirtió este martes que la restitución del presidente Manuel Zelaya debe concretarse esta misma semana para evitar una profundización de la crisis.
La organización, que agrupa a sindicalistas, campesinos, indígenas, mujeres, políticos progresistas y otros sectores, mantendrá plantones permanentes frente a la sede del Congreso Nacional para exigir la aprobación del retorno de Zelaya al poder.
Los acuerdos firmados el 30 de octubre entre el gobierno constitucional y el régimen de facto dejan en manos del Parlamento la facultad de restablecer el poder ejecutivo existente antes de la asonada del 28 de junio.
Sin embargo, líderes populares manifestaron su preocupación porque algunos sectores políticos y aliados de la dictadura pretenden desconocer el espíritu de lo pactado a través de tácticas dilatorias o negando el cumplimiento de los puntos esenciales.
"Esto es muy peligroso porque estamos a menos de un mes del proceso electoral", advirtió el coordinador general del Frente, Juan Barahona.
La organización reiteró su decisión de no reconocer los comicios del 29 de noviembre, si no se restablece el orden institucional.
De acuerdo con el cronograma, hoy deberá quedar instalada la comisión verificadora de los acuerdos, mientras que para el jueves está prevista la conformación de un Gobierno de Unidad y Reconciliación Nacional.
"La crisis generada por el golpe de Estado se acabará cuando se cumpla lo acordado", indicó Carlos Eduardo Reina, uno de los líderes del movimiento de resistencia que mantiene ya 129 días de manifestaciones en demanda del retorno a la institucionalidad.
Fuente: P.L./Radio La Primerísima Managua/ Edición de: PrensaPopularSolidaria_ComunistasMiranda http://prensapopular-comunistasmiranda.blogspot.com/ Correo: pcvmirandasrp@gmail.com
Tegucigalpa.
PL. 3 noviembre del 2009
El Frente Nacional contra el Golpe de Estado en Honduras, advirtió este martes que la restitución del presidente Manuel Zelaya debe concretarse esta misma semana para evitar una profundización de la crisis.
La organización, que agrupa a sindicalistas, campesinos, indígenas, mujeres, políticos progresistas y otros sectores, mantendrá plantones permanentes frente a la sede del Congreso Nacional para exigir la aprobación del retorno de Zelaya al poder.
Los acuerdos firmados el 30 de octubre entre el gobierno constitucional y el régimen de facto dejan en manos del Parlamento la facultad de restablecer el poder ejecutivo existente antes de la asonada del 28 de junio.
Sin embargo, líderes populares manifestaron su preocupación porque algunos sectores políticos y aliados de la dictadura pretenden desconocer el espíritu de lo pactado a través de tácticas dilatorias o negando el cumplimiento de los puntos esenciales.
"Esto es muy peligroso porque estamos a menos de un mes del proceso electoral", advirtió el coordinador general del Frente, Juan Barahona.
La organización reiteró su decisión de no reconocer los comicios del 29 de noviembre, si no se restablece el orden institucional.
De acuerdo con el cronograma, hoy deberá quedar instalada la comisión verificadora de los acuerdos, mientras que para el jueves está prevista la conformación de un Gobierno de Unidad y Reconciliación Nacional.
"La crisis generada por el golpe de Estado se acabará cuando se cumpla lo acordado", indicó Carlos Eduardo Reina, uno de los líderes del movimiento de resistencia que mantiene ya 129 días de manifestaciones en demanda del retorno a la institucionalidad.
Fuente: P.L./Radio La Primerísima Managua/ Edición de: PrensaPopularSolidaria_ComunistasMiranda http://prensapopular-comunistasmiranda.blogspot.com/ Correo: pcvmirandasrp@gmail.com
HONDURAS...LA VERDADERA INTENCIÓN DE LA OLIGARQUÍA: TODO CONTRA LA PARTICIPACIÓN DEL PUEBLO
Por: Ricardo Arturo Salgado
Honduras: La verdadera intención de la Oligarquía; todo contra la participación del pueblo
Las tesis sobre las causas mediatas e inmediatas que produjeron el golpe llegan normalmente a la conclusión de que el mismo fue ejecutado contra la posibilidad de que el pueblo hondureño alcanzará mayor poder a través de su participación en la toma de decisiones relevantes en el país. En otras palabras, había que detener la posibilidad de que el pueblo refundara la nación.
En este afán, la oligarquía y sus sirvientes de siempre no solo recurrieron al golpe, sino también a las tácticas mas salvajes heredadas del fascismo latinoamericano de los años setenta y ochenta, con el fin supremo de “persuadir” al pueblo de que es mala idea cuestionar la autoridad de los que mandan; de desafiar eso a lo que periodistas fascistas hondureños llaman paz, democracia y armonía social.
El 28 de junio, después de un largo y detallado proceso de planificación, tanto a nivel local como internacional, y con al menos el consentimiento de la administración norteamericana, o parte de ella, se ejecutó el golpe de estado que para la oligarquía significa mantener sus obscenos privilegios dentro de Honduras, y para el imperio y su derecha servil del continente como un ensayo para practicar la nueva visión de la democracia de los que tienen mucho.
Entonces el propósito ha sido detener la lucha del pueblo hondureño, y la eventual resistencia de los pueblos latinoamericanos. Sin embargo, el escenario que se presentó en Honduras después del golpe fue muy desfavorable para los golpistas que siempre supieron que podían burlarse de la comunidad internacional mientras contaran con el apoyo de los halcones.
La reacción popular ha demostrado que los planes de los enemigos de los pueblos son una cosa, y la reacción de los pueblos es otra. En nuestra Honduras, los cuatro meses de resistencia popular no solo han servido como una gigantesca escuela política para el movimiento social, sino también ha puesto en evidencia la posibilidad real de tomar el poder para el pueblo en lucha.
La estrategia de la derecha, en busca de esquivar el impacto de sanciones internacionales ha concentrado sus esfuerzos en la realización de unas elecciones que realmente no desean. Las ven, o por lo menos las han visto hasta ahora, como un mal menor que ellos pueden controlar electrónicamente, con el complemento eficaz de su maquinaria represiva.
Sin embargo, en las últimas semanas se les ha visto urgidos por descartar la participación de las candidaturas populares a los cargos en juego en esa elección. Es evidente que su carta electoral funciona si no participan las fuerzas progresistas en el proceso. Hoy la restitución meramente simbólica del presidente constitucional les sirve para alargar la tensión y someter a presión a nuestros candidatos para que pronuncien su renuncia públicamente.
El presidente Zelaya sabe y entiende que el camino trazado por los golpistas mas temprano que tarde los llevaría a un callejón sin salida; su argucia electoral terminaría acorralándolos, porque su misión NO ES EVITAR QUE EL PRESIDENTE RETORNE; ES EVITAR QUE EL PUEBLO TOME CUOTAS DE PODER REAL. Las arengas sobre la participación de un “mosaico” de ideologías que proclamaba Micheletti hace dos meses, se ha desvanecido y se ha puesto en tela de juicio la intención sincera de los golpistas de llevar a cabo un proceso electoral que incluya los candidatos en resistencia.
Si revisamos rápidamente lo que esta en juego nos daremos cuenta de verdades que siempre están presentes, pero que tendemos a obviar o ignorar:
El congreso nacional tiene la potestad de elegir: La Corte Suprema de Justicia (cada siete años); Fiscal general y Fiscal adjunto (cada cinco años); Procurador General de la República (cada 5 años); Tribunal Supremo Electoral (cada 5 años); Tribunal Superior de Cuentas (cada 5 años); Comisionado Nacional de Derechos Humanos (cada 5 años). Un poder importante el que tiene dicho congreso.
Durante los 30 años de vida electoral (no democrática) el control de todos estos entes (los que curiosamente tienen hoy periodos de ejercicio mas largos que el del propio presidente), el control del poder se ha centrado justamente en repartir esas instituciones entre representantes de los diversos grupos que conforman la oligarquía.
Siempre estos cargos han sido electos por consenso bipartidista y nunca ha habido ninguna disputa mayor sobre su repartición. La Corte Suprema y su famosa proporción 8-7 (Ocho magistrados del partido en el poder y siete del otro partido tradicional) patentizan la maquinaria de la impunidad y el soporte de la corrupción.
Por esta razón priva en honduras la arbitrariedad por encima de la legalidad; por eso los bancos pueden rematar lo que quieran cuando quieran; por eso existen grandes negocios con bases de datos sobre los historiales de las personas (centrales de riesgo); por eso los cambios de velocidad en la aplicación de la justicia entre muy lenta para los casos mas terribles de corrupción hasta muy rápida contra funcionarios de la administración Zelaya y los presos políticos de la resistencia.
Esta maquinaria de impunidad ha sido manejada por unos cuantos durante todos estos años: Los “Capos” de esta mafia del tráfico de influencias se cuentan con los dedos de la mano: Carlos Roberto Flores Facussé (quien ha ubicado su gente en todos los órganos mencionados); Ricardo Maduro Joest; Rafael Leonardo Callejas, y otro par de miembros de este selecto grupo de Corleones politicos
Vemos pues que lo que esta en juego para la derecha es sencillamente el mecanismo que le permite vivir bajo condiciones de dueños del país. Está claro que si los grupos populares ocupan posiciones dentro de esta estructura, esa manipulación se acaba; se posibilita la revisión del sistema en si; se abre el camino a la asamblea nacional constituyente y con ello la revisión de la duración y formas de elegir estos importantes estamentos auditores y administradores de la justicia.
Se ve muy obvio que el propósito de estos señores es EVITAR LA PARTICIPACION DE LOS CANDIDATOS DE LA RESISTENCIA en el proceso electoral. Por eso el análisis de la coyuntura es de suma importancia para los dirigentes populares, sus candidaturas, y el mismo presidente Zelaya. Las decisiones que tomen pueden tener consecuencias por años para la vida nacional.
El proceso de unidad de todos los grupos integrados en la resistencia es valioso para nosotros y preocupante para los oligarcas golpistas. Es imperativo encontrar las vías para un análisis profundo y unitario de las acciones a seguir. Se deben encontrar las vías para llegar a conclusiones valiosas entre los líderes políticos en resistencia y el presidente de la república.
En cualquier caso, sin importar cual sea la decisión final, todos estamos obligados a sumarnos a procesos de organización para enfrentar la eventual participación en el proceso electoral.
Mas allá de las consideraciones de tipo ético, moral (de las que carecen los golpistas), y políticas; y considerando las experiencias de los procesos populares en América Latina, luce de gran relevancia la utilización de los propios medios y reglas de la derecha para ganar los espacios que necesitamos para garantizar el avance de nuestros proceso de liberación.
Así pues, debemos apoyar las decisiones de nuestros dirigentes, conscientes de que la responsabilidad de estas revisten una importancia capital para nuestro propio futuro. Hoy la unidad es la herramienta de la victoria.
Fuente: PrensaPopularSolidaria-ComunistasMiranda
http://prensapopular-comunistasmiranda.blogspot.com/ Correo: pcvmirandasrp@gmail.com
Honduras: La verdadera intención de la Oligarquía; todo contra la participación del pueblo
Las tesis sobre las causas mediatas e inmediatas que produjeron el golpe llegan normalmente a la conclusión de que el mismo fue ejecutado contra la posibilidad de que el pueblo hondureño alcanzará mayor poder a través de su participación en la toma de decisiones relevantes en el país. En otras palabras, había que detener la posibilidad de que el pueblo refundara la nación.
En este afán, la oligarquía y sus sirvientes de siempre no solo recurrieron al golpe, sino también a las tácticas mas salvajes heredadas del fascismo latinoamericano de los años setenta y ochenta, con el fin supremo de “persuadir” al pueblo de que es mala idea cuestionar la autoridad de los que mandan; de desafiar eso a lo que periodistas fascistas hondureños llaman paz, democracia y armonía social.
El 28 de junio, después de un largo y detallado proceso de planificación, tanto a nivel local como internacional, y con al menos el consentimiento de la administración norteamericana, o parte de ella, se ejecutó el golpe de estado que para la oligarquía significa mantener sus obscenos privilegios dentro de Honduras, y para el imperio y su derecha servil del continente como un ensayo para practicar la nueva visión de la democracia de los que tienen mucho.
Entonces el propósito ha sido detener la lucha del pueblo hondureño, y la eventual resistencia de los pueblos latinoamericanos. Sin embargo, el escenario que se presentó en Honduras después del golpe fue muy desfavorable para los golpistas que siempre supieron que podían burlarse de la comunidad internacional mientras contaran con el apoyo de los halcones.
La reacción popular ha demostrado que los planes de los enemigos de los pueblos son una cosa, y la reacción de los pueblos es otra. En nuestra Honduras, los cuatro meses de resistencia popular no solo han servido como una gigantesca escuela política para el movimiento social, sino también ha puesto en evidencia la posibilidad real de tomar el poder para el pueblo en lucha.
La estrategia de la derecha, en busca de esquivar el impacto de sanciones internacionales ha concentrado sus esfuerzos en la realización de unas elecciones que realmente no desean. Las ven, o por lo menos las han visto hasta ahora, como un mal menor que ellos pueden controlar electrónicamente, con el complemento eficaz de su maquinaria represiva.
Sin embargo, en las últimas semanas se les ha visto urgidos por descartar la participación de las candidaturas populares a los cargos en juego en esa elección. Es evidente que su carta electoral funciona si no participan las fuerzas progresistas en el proceso. Hoy la restitución meramente simbólica del presidente constitucional les sirve para alargar la tensión y someter a presión a nuestros candidatos para que pronuncien su renuncia públicamente.
El presidente Zelaya sabe y entiende que el camino trazado por los golpistas mas temprano que tarde los llevaría a un callejón sin salida; su argucia electoral terminaría acorralándolos, porque su misión NO ES EVITAR QUE EL PRESIDENTE RETORNE; ES EVITAR QUE EL PUEBLO TOME CUOTAS DE PODER REAL. Las arengas sobre la participación de un “mosaico” de ideologías que proclamaba Micheletti hace dos meses, se ha desvanecido y se ha puesto en tela de juicio la intención sincera de los golpistas de llevar a cabo un proceso electoral que incluya los candidatos en resistencia.
Si revisamos rápidamente lo que esta en juego nos daremos cuenta de verdades que siempre están presentes, pero que tendemos a obviar o ignorar:
El congreso nacional tiene la potestad de elegir: La Corte Suprema de Justicia (cada siete años); Fiscal general y Fiscal adjunto (cada cinco años); Procurador General de la República (cada 5 años); Tribunal Supremo Electoral (cada 5 años); Tribunal Superior de Cuentas (cada 5 años); Comisionado Nacional de Derechos Humanos (cada 5 años). Un poder importante el que tiene dicho congreso.
Durante los 30 años de vida electoral (no democrática) el control de todos estos entes (los que curiosamente tienen hoy periodos de ejercicio mas largos que el del propio presidente), el control del poder se ha centrado justamente en repartir esas instituciones entre representantes de los diversos grupos que conforman la oligarquía.
Siempre estos cargos han sido electos por consenso bipartidista y nunca ha habido ninguna disputa mayor sobre su repartición. La Corte Suprema y su famosa proporción 8-7 (Ocho magistrados del partido en el poder y siete del otro partido tradicional) patentizan la maquinaria de la impunidad y el soporte de la corrupción.
Por esta razón priva en honduras la arbitrariedad por encima de la legalidad; por eso los bancos pueden rematar lo que quieran cuando quieran; por eso existen grandes negocios con bases de datos sobre los historiales de las personas (centrales de riesgo); por eso los cambios de velocidad en la aplicación de la justicia entre muy lenta para los casos mas terribles de corrupción hasta muy rápida contra funcionarios de la administración Zelaya y los presos políticos de la resistencia.
Esta maquinaria de impunidad ha sido manejada por unos cuantos durante todos estos años: Los “Capos” de esta mafia del tráfico de influencias se cuentan con los dedos de la mano: Carlos Roberto Flores Facussé (quien ha ubicado su gente en todos los órganos mencionados); Ricardo Maduro Joest; Rafael Leonardo Callejas, y otro par de miembros de este selecto grupo de Corleones politicos
Vemos pues que lo que esta en juego para la derecha es sencillamente el mecanismo que le permite vivir bajo condiciones de dueños del país. Está claro que si los grupos populares ocupan posiciones dentro de esta estructura, esa manipulación se acaba; se posibilita la revisión del sistema en si; se abre el camino a la asamblea nacional constituyente y con ello la revisión de la duración y formas de elegir estos importantes estamentos auditores y administradores de la justicia.
Se ve muy obvio que el propósito de estos señores es EVITAR LA PARTICIPACION DE LOS CANDIDATOS DE LA RESISTENCIA en el proceso electoral. Por eso el análisis de la coyuntura es de suma importancia para los dirigentes populares, sus candidaturas, y el mismo presidente Zelaya. Las decisiones que tomen pueden tener consecuencias por años para la vida nacional.
El proceso de unidad de todos los grupos integrados en la resistencia es valioso para nosotros y preocupante para los oligarcas golpistas. Es imperativo encontrar las vías para un análisis profundo y unitario de las acciones a seguir. Se deben encontrar las vías para llegar a conclusiones valiosas entre los líderes políticos en resistencia y el presidente de la república.
En cualquier caso, sin importar cual sea la decisión final, todos estamos obligados a sumarnos a procesos de organización para enfrentar la eventual participación en el proceso electoral.
Mas allá de las consideraciones de tipo ético, moral (de las que carecen los golpistas), y políticas; y considerando las experiencias de los procesos populares en América Latina, luce de gran relevancia la utilización de los propios medios y reglas de la derecha para ganar los espacios que necesitamos para garantizar el avance de nuestros proceso de liberación.
Así pues, debemos apoyar las decisiones de nuestros dirigentes, conscientes de que la responsabilidad de estas revisten una importancia capital para nuestro propio futuro. Hoy la unidad es la herramienta de la victoria.
Fuente: PrensaPopularSolidaria-ComunistasMiranda
http://prensapopular-comunistasmiranda.blogspot.com/ Correo: pcvmirandasrp@gmail.com
NUESTRA RAZÓN DE SER NO ES ANALIZAR LA REALIDAD PARA TOMAR NOTA DE LO QUE OCURRE, SINO PARA TRANSFORMARLA". DOCUMENTO BALANCE DE CUATRO AÑOS_ PCE
( IV )
Las tres partes anteriores del Informe al XVIII Congreso del PCE presentaron los elementos principales que abarcan el balance político de cuatro años desde el XVII Congreso.
Hay otros elementos en la vida social del país y del mundo a las cuales se requiere igualmente pasarle revista.
( IV )
Las páginas anteriores han querido centrarse en los elementos principales que deben abordarse en un balance político de cuatro años.
Hay muchas más cosas de la vida política y social de España, Europa y el mundo, pero saber qué decidimos en el XVII Congreso y qué hemos hecho es la más importante ya que no puede impulsarse el futuro sin conocer bien el pasado y el presente.
Nos queda un gran asunto a debatir, la política de alianzas, buscando una posición unida de todo el partido, ya que la dispersión es lo más conflictivo y contradictorio cuando deben tomarse decisiones en torno a acuerdos, pactos, alianzas, en los diversos niveles de la vida política. Desde la soberanía e independencia del PCE, preciso es encontrar las tácticas para hacer avanzar nuestras propuestas.
Así mismo, saber qué ocurre en el mundo de la economía y actuar en consecuencia es, no solo necesario para un partido marxista, sino imprescindible. Nuestra razón de ser no es analizar la realidad para tomar nota de lo que ocurre, sino para transformarla. Tampoco somos, o tampoco podemos ser, un colectivo ensimismado en una dialéctica estéril en las instituciones, en las cuales derrochemos esfuerzos inútiles.
Ni mucho menos los representantes de un pequeño espacio de “poder” desde el cual no puedes cambiar la realidad pero ésta sí puede cambiarte a ti.Todo esto viene a cuento de la posición anticapitalista del partido y de las posiciones en contra de los enemigos y adversarios y hasta de algunos de los teóricamente amigos internos, que creen que el PCE debe desaparecer y que IU debe ser una especie de organización respetable que busca los resquicios que dejan los partidos del sistema para tener un lugar al sol que permita a unos/as cuantos/as estar presentes en los salones oficiales. Incluso algunos que ven el lenguaje de Cayo Lara inoportuno y primitivo.
El partido debe utilizar todos los resortes para hacer políticas que hagan la vida de la gente más humana y para cambiar a fondo las cosas. Una y otra cosa son inseparables de las ideas y de la acción del partido. Por ello hemos puesto énfasis en la principal tarea del partido: hacer frente al capitalismo, que es la causa de la crisis, de las hambrunas, de las guerras…
En el momento de celebración del Congreso nos encontramos con un mundo de profundas brechas, por no decir abismos, entre los que comen y los que mueren de hambre e inanición, entre los que derrochan y los que sobreviven, entre los que tienen maravillosos colegios particulares y los que no pueden aprender las cuatro reglas, entre los que gozan de todos los adelantos médicos y los que no disponen de una medicina contra la diarrea. Entre u nos y otros, en el mundo y dentro de cada país, esto es la desigualdad normal que impone el capitalismo a través de un mercado fundamentado en la rapiña.
Continúan las guerras, los choques étnico-religiosos, que esconden la lucha de los grupos transnacionales y de los corruptos locales (en todas partes y), especialmente, en África, en Oriente Medio, en Asia. Siembran el terror con teóricas o reales pandemias que sirven para los grandes negocios farmacéuticos. En Iraq hay guerra, humillación, odios, miseria, retroceso en salud y educación. Es el resultado de la guerra iniciada por la parte más fascista del capital, y continuada por todos.
En Afganistán hay guerra, de los EEUUU, de la OTAN y sus países. En Palestina hay guerra permanente del estado criminal de Israel contra el pueblo palestino, al que conducen progresivamente a la muerte, a la miseria, a la desesperación, al enfrentamiento, a rasgos de fanatización religiosa. En el norte de África el pueblo saharaui continúa desposeído de su tierra.
En la América del Sur y del centro continúa habiendo la intervención imperialista contra Cuba, contra el desarrollo económico, social y cultural de Venezuela, Bolivia, Ecuador. Hoy, la intervención general es aparentemente menos brutal que antaño (salvo en Honduras) pero utiliza todos los recursos para intentar imponer su dominio económico, financiero, tecnológico y militar, aunque todo ello se disfrace de lucha por la democracia. La democracia en el capitalismo, es necesario repetirlo, puede ser el narcótico que duerme al paciente mientras se le quita la cartera pero también puede ser un instrumento para superarlo.
El capitalismo es la crisis. Nunca estará de más recordarlo, ante el lavado de cerebro permanente y la amnesia colectiva que ello genera.En medio de esta realidad caótica e insegura, crecen las peores costumbres en todas partes. No crece el reparto justo de la riqueza, la igualdad y la solidaridad, el encuentro humano y cultural, el desarrollo equilibrado que no destruye sino que alimenta, cura y educa.
Hace una eternidad que despareció la Unión Soviética. Debía reformarse y se destruyó. Los saqueadores de fuera y los canallas de dentro se repartieron el botín. El mundo fue a partir de entonces más peligroso, no más seguro.
No valen lamentos de lo que debía haber sido y no fue y tampoco vale tolerar, aceptar o encajar las permanentes campañas anticomunistas que derecha, centro, seudoizquierda y elementos retorcidos y claudicantes de la izquierda promueven.
En la historia los intentos de construir una nueva realidad pueden triunfar o fracasar, totalmente o a medias, aunque si el intento ha sido serio siempre queda una base de reflexión y una conciencia, además de una cultura más social y solidaria.
Si las ideas que dieron vida a los procesos revolucionarios de orientación socialista eran válidos, son válidos, de nada sirve el lamento sobre las dificultades para defenderlos. Solo vale la convicción, la inteligencia para entender qué ocurre y porqué, las propuestas para hacer frente a una realidad angustiante, la movilización y organización de los sectores más conscientes, activos y decididos de la sociedad.
Nuestra tarea, la de cada comunista, la de cada organización del partido es entender esto y actuar. Sin actuar el partido no crece, no se fortalece, no coge confianza como colectivo. IU se diluye y debilita.
Fuente: Portavoz del Partido Comunista de España_ PCE.es/ Edición de PrensaPopularSolidaria_ComunistasMiranda http://prensapopular-comunistasmiranda.blogspot.com/ Correo: pcvmirandasrp@gmail.com
Las tres partes anteriores del Informe al XVIII Congreso del PCE presentaron los elementos principales que abarcan el balance político de cuatro años desde el XVII Congreso.
Hay otros elementos en la vida social del país y del mundo a las cuales se requiere igualmente pasarle revista.
( IV )
Las páginas anteriores han querido centrarse en los elementos principales que deben abordarse en un balance político de cuatro años.
Hay muchas más cosas de la vida política y social de España, Europa y el mundo, pero saber qué decidimos en el XVII Congreso y qué hemos hecho es la más importante ya que no puede impulsarse el futuro sin conocer bien el pasado y el presente.
Nos queda un gran asunto a debatir, la política de alianzas, buscando una posición unida de todo el partido, ya que la dispersión es lo más conflictivo y contradictorio cuando deben tomarse decisiones en torno a acuerdos, pactos, alianzas, en los diversos niveles de la vida política. Desde la soberanía e independencia del PCE, preciso es encontrar las tácticas para hacer avanzar nuestras propuestas.
Así mismo, saber qué ocurre en el mundo de la economía y actuar en consecuencia es, no solo necesario para un partido marxista, sino imprescindible. Nuestra razón de ser no es analizar la realidad para tomar nota de lo que ocurre, sino para transformarla. Tampoco somos, o tampoco podemos ser, un colectivo ensimismado en una dialéctica estéril en las instituciones, en las cuales derrochemos esfuerzos inútiles.
Ni mucho menos los representantes de un pequeño espacio de “poder” desde el cual no puedes cambiar la realidad pero ésta sí puede cambiarte a ti.Todo esto viene a cuento de la posición anticapitalista del partido y de las posiciones en contra de los enemigos y adversarios y hasta de algunos de los teóricamente amigos internos, que creen que el PCE debe desaparecer y que IU debe ser una especie de organización respetable que busca los resquicios que dejan los partidos del sistema para tener un lugar al sol que permita a unos/as cuantos/as estar presentes en los salones oficiales. Incluso algunos que ven el lenguaje de Cayo Lara inoportuno y primitivo.
El partido debe utilizar todos los resortes para hacer políticas que hagan la vida de la gente más humana y para cambiar a fondo las cosas. Una y otra cosa son inseparables de las ideas y de la acción del partido. Por ello hemos puesto énfasis en la principal tarea del partido: hacer frente al capitalismo, que es la causa de la crisis, de las hambrunas, de las guerras…
En el momento de celebración del Congreso nos encontramos con un mundo de profundas brechas, por no decir abismos, entre los que comen y los que mueren de hambre e inanición, entre los que derrochan y los que sobreviven, entre los que tienen maravillosos colegios particulares y los que no pueden aprender las cuatro reglas, entre los que gozan de todos los adelantos médicos y los que no disponen de una medicina contra la diarrea. Entre u nos y otros, en el mundo y dentro de cada país, esto es la desigualdad normal que impone el capitalismo a través de un mercado fundamentado en la rapiña.
Continúan las guerras, los choques étnico-religiosos, que esconden la lucha de los grupos transnacionales y de los corruptos locales (en todas partes y), especialmente, en África, en Oriente Medio, en Asia. Siembran el terror con teóricas o reales pandemias que sirven para los grandes negocios farmacéuticos. En Iraq hay guerra, humillación, odios, miseria, retroceso en salud y educación. Es el resultado de la guerra iniciada por la parte más fascista del capital, y continuada por todos.
En Afganistán hay guerra, de los EEUUU, de la OTAN y sus países. En Palestina hay guerra permanente del estado criminal de Israel contra el pueblo palestino, al que conducen progresivamente a la muerte, a la miseria, a la desesperación, al enfrentamiento, a rasgos de fanatización religiosa. En el norte de África el pueblo saharaui continúa desposeído de su tierra.
En la América del Sur y del centro continúa habiendo la intervención imperialista contra Cuba, contra el desarrollo económico, social y cultural de Venezuela, Bolivia, Ecuador. Hoy, la intervención general es aparentemente menos brutal que antaño (salvo en Honduras) pero utiliza todos los recursos para intentar imponer su dominio económico, financiero, tecnológico y militar, aunque todo ello se disfrace de lucha por la democracia. La democracia en el capitalismo, es necesario repetirlo, puede ser el narcótico que duerme al paciente mientras se le quita la cartera pero también puede ser un instrumento para superarlo.
El capitalismo es la crisis. Nunca estará de más recordarlo, ante el lavado de cerebro permanente y la amnesia colectiva que ello genera.En medio de esta realidad caótica e insegura, crecen las peores costumbres en todas partes. No crece el reparto justo de la riqueza, la igualdad y la solidaridad, el encuentro humano y cultural, el desarrollo equilibrado que no destruye sino que alimenta, cura y educa.
Hace una eternidad que despareció la Unión Soviética. Debía reformarse y se destruyó. Los saqueadores de fuera y los canallas de dentro se repartieron el botín. El mundo fue a partir de entonces más peligroso, no más seguro.
No valen lamentos de lo que debía haber sido y no fue y tampoco vale tolerar, aceptar o encajar las permanentes campañas anticomunistas que derecha, centro, seudoizquierda y elementos retorcidos y claudicantes de la izquierda promueven.
En la historia los intentos de construir una nueva realidad pueden triunfar o fracasar, totalmente o a medias, aunque si el intento ha sido serio siempre queda una base de reflexión y una conciencia, además de una cultura más social y solidaria.
Si las ideas que dieron vida a los procesos revolucionarios de orientación socialista eran válidos, son válidos, de nada sirve el lamento sobre las dificultades para defenderlos. Solo vale la convicción, la inteligencia para entender qué ocurre y porqué, las propuestas para hacer frente a una realidad angustiante, la movilización y organización de los sectores más conscientes, activos y decididos de la sociedad.
Nuestra tarea, la de cada comunista, la de cada organización del partido es entender esto y actuar. Sin actuar el partido no crece, no se fortalece, no coge confianza como colectivo. IU se diluye y debilita.
Fuente: Portavoz del Partido Comunista de España_ PCE.es/ Edición de PrensaPopularSolidaria_ComunistasMiranda http://prensapopular-comunistasmiranda.blogspot.com/ Correo: pcvmirandasrp@gmail.com
DEFENDER LA ALEGRÍA...CONSTRUÍR EL PAÍS DE PRIMERA
Defender la alegría
El Comando Político del Frente Amplio resolvió emprender acciones en dos líneas de trabajo, se desarrollaran agendas paralelas: una de la Fórmula Presidencial y otra de dirigentes y legisladores frenteamplistas.
José Mujica y Danilo Astori recorrerán el país, visitarán emprendimientos gubernamentales y mantendrán encuentros con sectores sociales y empresariales.
Se resolvió crear cinco grupos de trabajo para comenzar a preparar las las primeras medidas que implementará el segundo gobierno frenteamplista que asumirá el primero de marzo de 2010.
El Comando Político también resolvió dar todo el respaldo posible al accionar de las redes frenteamplistas y su convocatoria en “defensa de la alegría”.
Asimismo, el martes 3 de noviembre la Fórmula Presidencial se reunirá con los ocho intendentes y con los parlamentarios frenteamplistas actuales y recientemente electos.
Fuente: Frente Amplio, Uruguay/ Edición: PrensaPopularSolidaria_ComunistasMiranda http://prensapopular-comunistasmiranda.blogspot.com/ Correo: pcvmirandasrp@gmail.com
El Comando Político del Frente Amplio resolvió emprender acciones en dos líneas de trabajo, se desarrollaran agendas paralelas: una de la Fórmula Presidencial y otra de dirigentes y legisladores frenteamplistas.
José Mujica y Danilo Astori recorrerán el país, visitarán emprendimientos gubernamentales y mantendrán encuentros con sectores sociales y empresariales.
Se resolvió crear cinco grupos de trabajo para comenzar a preparar las las primeras medidas que implementará el segundo gobierno frenteamplista que asumirá el primero de marzo de 2010.
El Comando Político también resolvió dar todo el respaldo posible al accionar de las redes frenteamplistas y su convocatoria en “defensa de la alegría”.
Asimismo, el martes 3 de noviembre la Fórmula Presidencial se reunirá con los ocho intendentes y con los parlamentarios frenteamplistas actuales y recientemente electos.
Fuente: Frente Amplio, Uruguay/ Edición: PrensaPopularSolidaria_ComunistasMiranda http://prensapopular-comunistasmiranda.blogspot.com/ Correo: pcvmirandasrp@gmail.com
POR LA UNIDAD DE LOS COMUNISTAS DE CANARIAS SE PRONUNCIAN LAS BRIGADAS COMUNISTAS CANARIAS ( BRCC )
Por la Unidad Comunista Brigadas Comunistas Canarias (BRCC)
Es cierto que la existencia de varios colectivos comunistas en Canarias que trabajen de forma aislada, lo único que provoca es el empobrecimiento ideológico y la dificultad de configurar a una auténtica izquierda combativa.
Desde Brigadas Comunistas Canarias, hemos trabajado incansablemente dentro de nuestras posibilidades por la superación y concienciación de los trabajadores y las trabajadoras en Canarias.
Con una actitud solidaria y científica, realizamos los mayores esfuerzos revolucionarios en base al objetivo de la Independencia de Canarias y el socialismo, entendiendo la independencia como símil de Soberanía Popular, ya que no lo comprendemos de otra forma.
Por eso continuamente hemos apoyado y abogamos -y así seguiremos haciéndolo-, por la creación de un Estado socialista soberano: la República Socialista de Canarias. Y para que este proyecto se haga realidad, es necesario impulsar la unión de los comunistas canarios y el fortalecimiento de las políticas necesarias para tal fin.
Tras reflexionar que al margen de las diferencias tácticas, a los comunistas nos unen los mismos principios revolucionarios y solidarios como vanguardia organizada del proletariado, valoramos positivamente el proceso de unidad de acción, al cual nos sumamos, entre los partidos PCC, PCPC, PRCC, propuesto por esta última organización.
Consideramos que esta puede ser la plataforma de encuentro entre los comunistas que propicie un salto cualitativo indispensable para crear verdaderas bases con conciencia de clase entre nuestros/as trabajadores/as.
Este frente comunista garantiza la lucha anticapitalista, antirracista y anticolonialista. Brigadas Comunistas Canarias no puede quedar al margen de la unión de los comunistas que implica la unidad de los trabajadores.
Queremos participar en la construcción del socialismo en Canarias que ayude al avance del movimiento comunista internacional. Seguir otro camino y obstaculizar la unidad de los comunistas sólo sirve a los intereses de los dogmáticos y sectarios, de los anticomunistas, de los chovinistas reaccionarios y la burguesía española.
Los comunistas aglutinados en BRCC nos desmarcarnos radicalmente de ese sentir contrarrevolucionario y antiobrero opuesto a la unidad.
Por el triunfo de la revolución, apoyamos decididamente la creación de un Frente amplio de comunistas en Canarias y humildemente proclamamos que trabajaremos aportando nuestro esfuerzo para caminar en esa dirección.
¡INDEPENDENCIA Y SOCIALISMO!
Lanzarote, Arrecife a día 28 de octubre de 2009.
Fuente: Independencia y Socialismo, Portavoz del Partido Revolucionario de los Comunistas de Canarias ( PRCC)/ Edición de: PrensaPopularSolidaria_ComunistasMiranda http://prensapopular-comunistasmiranda.blogspot.com Correo: pcvmirandasrp@gmail.com
Es cierto que la existencia de varios colectivos comunistas en Canarias que trabajen de forma aislada, lo único que provoca es el empobrecimiento ideológico y la dificultad de configurar a una auténtica izquierda combativa.
Desde Brigadas Comunistas Canarias, hemos trabajado incansablemente dentro de nuestras posibilidades por la superación y concienciación de los trabajadores y las trabajadoras en Canarias.
Con una actitud solidaria y científica, realizamos los mayores esfuerzos revolucionarios en base al objetivo de la Independencia de Canarias y el socialismo, entendiendo la independencia como símil de Soberanía Popular, ya que no lo comprendemos de otra forma.
Por eso continuamente hemos apoyado y abogamos -y así seguiremos haciéndolo-, por la creación de un Estado socialista soberano: la República Socialista de Canarias. Y para que este proyecto se haga realidad, es necesario impulsar la unión de los comunistas canarios y el fortalecimiento de las políticas necesarias para tal fin.
Tras reflexionar que al margen de las diferencias tácticas, a los comunistas nos unen los mismos principios revolucionarios y solidarios como vanguardia organizada del proletariado, valoramos positivamente el proceso de unidad de acción, al cual nos sumamos, entre los partidos PCC, PCPC, PRCC, propuesto por esta última organización.
Consideramos que esta puede ser la plataforma de encuentro entre los comunistas que propicie un salto cualitativo indispensable para crear verdaderas bases con conciencia de clase entre nuestros/as trabajadores/as.
Este frente comunista garantiza la lucha anticapitalista, antirracista y anticolonialista. Brigadas Comunistas Canarias no puede quedar al margen de la unión de los comunistas que implica la unidad de los trabajadores.
Queremos participar en la construcción del socialismo en Canarias que ayude al avance del movimiento comunista internacional. Seguir otro camino y obstaculizar la unidad de los comunistas sólo sirve a los intereses de los dogmáticos y sectarios, de los anticomunistas, de los chovinistas reaccionarios y la burguesía española.
Los comunistas aglutinados en BRCC nos desmarcarnos radicalmente de ese sentir contrarrevolucionario y antiobrero opuesto a la unidad.
Por el triunfo de la revolución, apoyamos decididamente la creación de un Frente amplio de comunistas en Canarias y humildemente proclamamos que trabajaremos aportando nuestro esfuerzo para caminar en esa dirección.
¡INDEPENDENCIA Y SOCIALISMO!
Lanzarote, Arrecife a día 28 de octubre de 2009.
Fuente: Independencia y Socialismo, Portavoz del Partido Revolucionario de los Comunistas de Canarias ( PRCC)/ Edición de: PrensaPopularSolidaria_ComunistasMiranda http://prensapopular-comunistasmiranda.blogspot.com Correo: pcvmirandasrp@gmail.com
DAR VUELTA A LA RESTITUCIÓN DE ZELAYA, APUESTA DE LOS GOLPISTAS
03/11/ 2.009/ Por: Arturo Cano, Enviado de La Jornada
Shannon llegó a Honduras con una lista de 6 acciones de EU en caso de no haber acuerdo
Estamos frente a otra maniobra para ganar tiempo, acusa Víctor Meza, representante zelayista
El apoyo internacional depende de un pacto político antes de la elección: enviado estadunidense
Tegucigalpa, 2 de noviembre. Honduras ya vio esta película. En julio, el presidente de facto Roberto Micheletti se llenó la boca con la palabra diálogo, se sentó a hablar con el mediador Óscar Arias, presidente de la vecina Costa Rica, y regresó a esta capital para decir que, en aras del respeto a los poderes del Estado y bla bla bla, el acuerdo de San José debía ser consultado con la Suprema Corte, la fiscalía, el Congreso, la sociedad civil y Perico de los Palotes.
Ahora, tras haber firmado el acuerdo de Tegucigalpa/San José, con la pelota caliente de la restitución de José Manuel Zelaya en la presidencia en manos del Congreso, los múltiples voceros de Micheletti invocan de nuevo la división de poderes y hacen que los diputados hablen de consultar a la Suprema Corte, al Tribunal Superior de Cuentas, al Colegio de Abogados y a la Niña de los Peines. Estamos simplemente frente a otro modo de ganar tiempo de parte de los golpistas, dice Víctor Meza, jefe de la delegación que representó a Zelaya en el diálogo.
El acuerdo firmado cerca de la medianoche del jueves 29 de octubre pasado ata de pies y manos a Zelaya, pero aun así los golpistas le dan vueltas a la restitución del terrateniente de Olancho, refugiado desde el 21 de septiembre en la embajada de Brasil.
Punto espinoso
El punto que se acordó al final fue el más espinoso: la restitución del presidente.
Al final, la delegación de Zelaya aceptó que la decisión quedara en manos del Congreso, que dirá sí o no a la posibilidad de retrotraer la titularidad del Poder Ejecutivo a su estado previo al 28 de junio hasta la conclusión del actual periodo gubernamental, el 27 de enero de 2010.
La elasticidad de la fórmula se acompañó de un párrafo que ahora tiene locos a los golpistas y que fue aceptado por sus representantes en la mesa al cuarto para las doce. Dice así: La decisión que tome el Congreso Nacional deberá sentar las bases para alcanzar la paz social, la tranquilidad política y gobernabilidad democrática que la sociedad demanda y el país necesita.
En todos los tonos, los sectores involucrados en el golpe argumentan que Zelaya debe aceptar que el Congreso no lo restituya en el poder, así sea por un periodo muy corto o, en el mejor de los casos, juegan a prolongar la decisión para llegar a una fecha lo más cercana posible a los comicios del 29 de noviembre.
¿Por qué entonces los golpistas firmaron el acuerdo?
Porque no podían dejar de hacerlo, dice Meza, quien, en un extenso relato para La Jornada, cuenta que el 7 de octubre la delegación del gobierno golpista se sentó a dialogar con la plena seguridad de que el ejercicio iba a fracasar. La estrategia del gobierno de facto consistía en instalar la mesa para tranquilizar a la comunidad internacional, y ganar tiempo mientras acusaban al presidente Zelaya de no querer dialogar.
Atorados en el punto de la restitución, los negociadores decidieron avanzar en el resto de los temas. Al segundo día ya habían caminado en cuatro puntos, incluyendo la eliminación de la amnistía y la formación de un gobierno de unidad y reconciliación nacional. El avance en esos dos puntos tuvo respuesta inmediata la noche del 8 de octubre cuando, dice Meza, se recrudeció el hostigamiento contra Zelaya y sus acompañantes en su refugio en la embajada de Brasil.
Al tercer día, las comisiones anunciaron que llevaban un avance de 60 por ciento en los temas de la agenda.
Entonces sonaron las alarmas en la casa presidencial, asegura Meza. Políticos y empresarios golpistas opuestos a la negociación y los más aferrados al disfrute del presupuesto público llamaron a la delegación de Micheletti a una reunión para exigir cuentas.
El gobierno de facto dio marcha atrás. Micheletti envió a la vicecanciller Martha Lorena Alvarado al hotel donde se realizaban las pláticas. La ex diputada Alvarado es, además de la voz dura de los golpistas, militante del Opus Dei, amiga del embajador mexicano Tarcisio Navarrete –un panista de Jalisco, a quien Alvarado conoció en la iglesia– y cabeza visible de las fuerzas Provida de Honduras. En el Congreso, promovió con éxito la prohibición de la píldora del día siguiente, decreto vetado por Zelaya en mayo pasado y publicado por Micheletti esta semana.
Alvarado llegó al hotel con arrogancia burocrática, sólo para mostrar a la prensa que los negociadores recibían línea del sector duro del golpismo, dice Meza.
A partir de la visita de Alvarado, los negociadores del gobierno de facto comenzaron a poner en la mesa propuestas insultantes, de las que Meza elige dos: que los zelayistas declararan públicamente que no hubo golpe de Estado, y que Zelaya acudiera a la Suprema Corte a pedir su reinstalación, lo que equivale a que la víctima vaya a suplicar al victimario.
Los zelayistas leyeron esas propuestas como tácticas dilatorias y pusieron un plazo para llegar a un acuerdo. La negociación se estancó. Sólo la llegada de una comisión de alto nivel del estadunidense Departamento de Estado, encabezada por el subsecretario Thomas Shannon, lograría deshacer el nudo. Shannon, claro, trajo unas tijerotas para cortarlo.
Las tijeras de Shannon
¿Por qué aceptó Roberto Micheletti firmar el acuerdo? ¿Por qué ofreció un mensaje en cadena nacional la noche del jueves 29 de octubre, para anunciar el acuerdo una hora antes de que se firmara, cuando aún se afinaban los últimos detalles?
Una razón, explican fuentes diplomáticas que siguieron paso a paso la negociación, fue una llamada telefónica de la secretaria de Estado, Hillary Clinton. El presidente de facto y Clinton hablaron durante media hora el lunes 26 de octubre. “Mientras Clinton insistía en hablar del futuro, Micheletti se empeñaba en referirse al pasado, en el tono de ‘usted no sabe lo que nos hizo Zelaya’”, se cuenta en la casa presidencial.
La secretaria de Estado tuvo incluso que tragarse la historia del despilfarro de Zelaya en la alimentación de su caballo, de nombre Café, queja que ya Micheletti había dispensado a los cancilleres de los países miembros de la Organización de Estados Americanos (OEA).
Otra razón del viraje de Micheletti, quizá de mayor peso, fue el filo de las tijeras que trajo Shannon, quien además vino acompañado de Dan Restrepo, asesor del presidente Barack Obama para América Latina.
Según las mismas fuentes, el funcionario puso en la mesa de Micheletti una lista de seis acciones que Estados Unidos podría emprender de no haber acuerdo:
1) Excluir a Honduras del Tratado de Libre Comercio Centroamérica-EU.
2) Quitar a Puerto Cortés, la principal terminal marítima de la región, ubicada en el norte del país, el certificado de puerto seguro.
3) Suspender la ayuda para el programa Merienda Escolar.
4) Cancelar los recursos del programa Educación para todos.
5) Retirar de manera definitiva al embajador Hugo Llorens (actualmente sólo Estados Unidos, Japón y Taiwán mantienen aquí a sus embajadores),
y 6) Incluir a Honduras en la lista de países que cometen graves violaciones a los derechos humanos.
¿No pudo Estados Unidos amenazar desde julio con poner en práctica las seis medidas que finalmente parecen haber destrabado el conflicto?
Víctor Meza, quien de ser restituido Zelaya seguramente reasumirá como ministro de Gobernación, piensa que Estados Unidos volteó a ver seriamente el conflicto hondureño sólo cuando se convirtió en un problema doméstico.
El fracaso de los lobbystas
Entre los amigos de Micheletti en Washington se cuentan senadores republicanos que mantienen bloqueados importantes nombramientos del gobierno de Obama. De ahí que, tras la firma del acuerdo, el demócrata John Kerry, presidente del Comité de Relaciones Exteriores del senado estadunidense, dijera: Con esta crisis resuelta, espero la confirmación veloz en el Senado de Thomas Shannon como nuestro embajador en Brasil y de Arturo Valenzuela como subsecretario para América Latina.
El frente de Washington, efectivamente, se ha instalado en esta ciudad. Este martes llega Hilda Solís, la hija de padre mexicano y madre nicaragüense que ocupa la cartera del Trabajo en el gabinete de Obama, y quien integrará la Comisión de Verificación del acuerdo, junto al ex presidente chileno Ricardo Lagos. Los otros dos miembros de dicha comisión son nacionales: el democristiano Arturo Corrales, por Micheletti, y Jorge Arturo Reina, embajador de Honduras ante la Organización de Naciones Unidas, por Zelaya.
Pero también han andado por aquí los cabilderos contratados por el gobierno golpista para, a cambio de cifras de cinco ceros, mejorar la imagen de la administración de Micheletti. Según Meza, los lobistas estadunidenses –de la firma Chlopak, Leonard, Schechter & Asociados, con lazos estrechos con Clinton y John Mc Cain, según The New York Times– se instalaron en el segundo piso del hotel durante el diálogo y buscaron que Micheletti rechazara la firma del acuerdo.
Querían que Shannon regresara con las manos vacías, porque el acuerdo es un espaldarazo a la política de Obama, asegura Meza.
Pero las tijeras de Shannon, quien llegó a Tegucigalpa el miércoles 28 de octubre, lograron la magia de que la delegación de Micheletti retomara las pláticas con la orden de no levantarse de la mesa hasta completar el acuerdo.
Apenas bajó del avión, Shannon convocó a las partes a un almuerzo en la embajada estadunidense. A los negociadores de ambas partes les dijo que había dos maneras de que Honduras llegara a las elecciones del 29 de noviembre: sola o acompañada por la comunidad internacional (lo que implica, dijo, ayuda técnica y financiera, observadores, reconocimiento).
El apoyo internacional a los comicios, siguió Shannon, depende de una sola cosa: de un acuerdo político antes de las elecciones.
Meza no dejó pasar la variación sensible en el lenguaje, porque Shannon ya no habló de restitución.
Entre el miércoles 28 y el jueves 29 de octubre, Shannon sostuvo reuniones con los negociadores, con los candidatos presidenciales y, por separado, con Zelaya y Micheletti.
En tanto, en la mesa se ajustaban los últimos detalles del acuerdo. La delegación de Micheletti insistía en que se incluyera que el Congreso decidirá sobre la restitución de Zelaya sobre un dictamen previo de la Suprema Corte de Justicia y en el retiro de la palabra retrotraer.
Finalmente, quizá por la presión de Shannon, aceptaron el texto final, incluido el párrafo que establece que la decisión del Congreso deberá sentar las bases para alcanzar la paz social, la tranquilidad política y gobernabilidad democrática.
En el balance de la negociación que encabezó, Meza se ufana de una victoria: Ellos se concentraron en su obsesión de impedir la restitución, y se olvidaron de todos los demás puntos que ahora los tienen muy preocupados. Ellos se saltaron el punto conflictivo (la restitución), y nuestra estrategia fue ir cercando con los demás ese punto conflictivo.
En contraste, los zelayistas no derraman optimismo sobre lo que podría hacer el presidente constitucional en caso de ser restituido. El próximo jueves 5, según el cronograma del acuerdo, debe quedar constituido el gabinete de unidad y reconciliación nacional. Si ese día Zelaya fuese restituido, sólo le quedarían 24 días en el poder, pues sus mismos seguidores dan por hecho que el ganador de la elección presidencial será el hombre fuerte de Honduras a partir de ese día.
Un poder, además, muy limitado, pues no sólo no tendría control de las fuerzas armadas, sino que la mitad del gabinete habría sido puesta por Micheletti.
Hasta el momento, tanto Micheletti como Zelaya mantienen en reserva los nombres de los probables integrantes de ese efímero gobierno. Los zelayistas hablan solamente de que pelearán las carteras de Gobernación, Finanzas, Salud y el Banco Central, y dan por hecho de que no habrá cambios en Defensa ni en la Policía Nacional.
El gran dilema para ambas partes es quién se avienta a ser ministro por sólo tres meses.
Nos puede caer el cielo y la tierra encima
La junta directiva del Congreso ha sido convocada para este martes, día en que también se instala la Comisión de Verificación.
Aunque los políticos hondureños insisten en la solución catracha, y en que nadie puede imponerles la solución al conflicto, en el acuerdo firmado se expresa claramente que la comisión tiene más que un papel decorativo: El incumplimiento de cualquiera de los compromisos contenidos en este acuerdo, comprobado y declarado por la Comisión de Verificación, producirá la activación de medidas que establecerá la Comisión para el transgresor o los transgresores.
No lo ven así algunos de los diputados que decidieron destituir a Zelaya y ahora deben discutir si lo restituyen: Se puede caer el cielo y la tierra y lo que se nos quiera caer encima, pero la Democracia Cristiana está haciendo lo correcto, dice Lucas Aguilera, quien asegura que los diputados de su partido, al que pertenece Arturo Corrales (aunque aquí se dice que en realidad el partido le pertenece a él), jamás votarán por la restitución.
La apocalíptica visión del diputado Aguilera forma parte de la guerra verbal entre los dos bandos sobre las posibles interpretaciones del acuerdo. La delegación de Micheletti declara que el Congreso no tiene fecha y que Zelaya debe ir resignándose a perder la votación en el Congreso.
Zelaya, por su lado, argumenta que el punto cinco del acuerdo recoge en forma precisa el espíritu del acuerdo y señala taxativamente el procedimiento para revertir el golpe de Estado. Cualquier interpretación fuera de este contexto constituiría una nueva afrenta al pueblo hondureño y a la comunidad internacional.
Fuente: http://www.lajornada.unam.mx/Anmcla
Shannon llegó a Honduras con una lista de 6 acciones de EU en caso de no haber acuerdo
Estamos frente a otra maniobra para ganar tiempo, acusa Víctor Meza, representante zelayista
El apoyo internacional depende de un pacto político antes de la elección: enviado estadunidense
Tegucigalpa, 2 de noviembre. Honduras ya vio esta película. En julio, el presidente de facto Roberto Micheletti se llenó la boca con la palabra diálogo, se sentó a hablar con el mediador Óscar Arias, presidente de la vecina Costa Rica, y regresó a esta capital para decir que, en aras del respeto a los poderes del Estado y bla bla bla, el acuerdo de San José debía ser consultado con la Suprema Corte, la fiscalía, el Congreso, la sociedad civil y Perico de los Palotes.
Ahora, tras haber firmado el acuerdo de Tegucigalpa/San José, con la pelota caliente de la restitución de José Manuel Zelaya en la presidencia en manos del Congreso, los múltiples voceros de Micheletti invocan de nuevo la división de poderes y hacen que los diputados hablen de consultar a la Suprema Corte, al Tribunal Superior de Cuentas, al Colegio de Abogados y a la Niña de los Peines. Estamos simplemente frente a otro modo de ganar tiempo de parte de los golpistas, dice Víctor Meza, jefe de la delegación que representó a Zelaya en el diálogo.
El acuerdo firmado cerca de la medianoche del jueves 29 de octubre pasado ata de pies y manos a Zelaya, pero aun así los golpistas le dan vueltas a la restitución del terrateniente de Olancho, refugiado desde el 21 de septiembre en la embajada de Brasil.
Punto espinoso
El punto que se acordó al final fue el más espinoso: la restitución del presidente.
Al final, la delegación de Zelaya aceptó que la decisión quedara en manos del Congreso, que dirá sí o no a la posibilidad de retrotraer la titularidad del Poder Ejecutivo a su estado previo al 28 de junio hasta la conclusión del actual periodo gubernamental, el 27 de enero de 2010.
La elasticidad de la fórmula se acompañó de un párrafo que ahora tiene locos a los golpistas y que fue aceptado por sus representantes en la mesa al cuarto para las doce. Dice así: La decisión que tome el Congreso Nacional deberá sentar las bases para alcanzar la paz social, la tranquilidad política y gobernabilidad democrática que la sociedad demanda y el país necesita.
En todos los tonos, los sectores involucrados en el golpe argumentan que Zelaya debe aceptar que el Congreso no lo restituya en el poder, así sea por un periodo muy corto o, en el mejor de los casos, juegan a prolongar la decisión para llegar a una fecha lo más cercana posible a los comicios del 29 de noviembre.
¿Por qué entonces los golpistas firmaron el acuerdo?
Porque no podían dejar de hacerlo, dice Meza, quien, en un extenso relato para La Jornada, cuenta que el 7 de octubre la delegación del gobierno golpista se sentó a dialogar con la plena seguridad de que el ejercicio iba a fracasar. La estrategia del gobierno de facto consistía en instalar la mesa para tranquilizar a la comunidad internacional, y ganar tiempo mientras acusaban al presidente Zelaya de no querer dialogar.
Atorados en el punto de la restitución, los negociadores decidieron avanzar en el resto de los temas. Al segundo día ya habían caminado en cuatro puntos, incluyendo la eliminación de la amnistía y la formación de un gobierno de unidad y reconciliación nacional. El avance en esos dos puntos tuvo respuesta inmediata la noche del 8 de octubre cuando, dice Meza, se recrudeció el hostigamiento contra Zelaya y sus acompañantes en su refugio en la embajada de Brasil.
Al tercer día, las comisiones anunciaron que llevaban un avance de 60 por ciento en los temas de la agenda.
Entonces sonaron las alarmas en la casa presidencial, asegura Meza. Políticos y empresarios golpistas opuestos a la negociación y los más aferrados al disfrute del presupuesto público llamaron a la delegación de Micheletti a una reunión para exigir cuentas.
El gobierno de facto dio marcha atrás. Micheletti envió a la vicecanciller Martha Lorena Alvarado al hotel donde se realizaban las pláticas. La ex diputada Alvarado es, además de la voz dura de los golpistas, militante del Opus Dei, amiga del embajador mexicano Tarcisio Navarrete –un panista de Jalisco, a quien Alvarado conoció en la iglesia– y cabeza visible de las fuerzas Provida de Honduras. En el Congreso, promovió con éxito la prohibición de la píldora del día siguiente, decreto vetado por Zelaya en mayo pasado y publicado por Micheletti esta semana.
Alvarado llegó al hotel con arrogancia burocrática, sólo para mostrar a la prensa que los negociadores recibían línea del sector duro del golpismo, dice Meza.
A partir de la visita de Alvarado, los negociadores del gobierno de facto comenzaron a poner en la mesa propuestas insultantes, de las que Meza elige dos: que los zelayistas declararan públicamente que no hubo golpe de Estado, y que Zelaya acudiera a la Suprema Corte a pedir su reinstalación, lo que equivale a que la víctima vaya a suplicar al victimario.
Los zelayistas leyeron esas propuestas como tácticas dilatorias y pusieron un plazo para llegar a un acuerdo. La negociación se estancó. Sólo la llegada de una comisión de alto nivel del estadunidense Departamento de Estado, encabezada por el subsecretario Thomas Shannon, lograría deshacer el nudo. Shannon, claro, trajo unas tijerotas para cortarlo.
Las tijeras de Shannon
¿Por qué aceptó Roberto Micheletti firmar el acuerdo? ¿Por qué ofreció un mensaje en cadena nacional la noche del jueves 29 de octubre, para anunciar el acuerdo una hora antes de que se firmara, cuando aún se afinaban los últimos detalles?
Una razón, explican fuentes diplomáticas que siguieron paso a paso la negociación, fue una llamada telefónica de la secretaria de Estado, Hillary Clinton. El presidente de facto y Clinton hablaron durante media hora el lunes 26 de octubre. “Mientras Clinton insistía en hablar del futuro, Micheletti se empeñaba en referirse al pasado, en el tono de ‘usted no sabe lo que nos hizo Zelaya’”, se cuenta en la casa presidencial.
La secretaria de Estado tuvo incluso que tragarse la historia del despilfarro de Zelaya en la alimentación de su caballo, de nombre Café, queja que ya Micheletti había dispensado a los cancilleres de los países miembros de la Organización de Estados Americanos (OEA).
Otra razón del viraje de Micheletti, quizá de mayor peso, fue el filo de las tijeras que trajo Shannon, quien además vino acompañado de Dan Restrepo, asesor del presidente Barack Obama para América Latina.
Según las mismas fuentes, el funcionario puso en la mesa de Micheletti una lista de seis acciones que Estados Unidos podría emprender de no haber acuerdo:
1) Excluir a Honduras del Tratado de Libre Comercio Centroamérica-EU.
2) Quitar a Puerto Cortés, la principal terminal marítima de la región, ubicada en el norte del país, el certificado de puerto seguro.
3) Suspender la ayuda para el programa Merienda Escolar.
4) Cancelar los recursos del programa Educación para todos.
5) Retirar de manera definitiva al embajador Hugo Llorens (actualmente sólo Estados Unidos, Japón y Taiwán mantienen aquí a sus embajadores),
y 6) Incluir a Honduras en la lista de países que cometen graves violaciones a los derechos humanos.
¿No pudo Estados Unidos amenazar desde julio con poner en práctica las seis medidas que finalmente parecen haber destrabado el conflicto?
Víctor Meza, quien de ser restituido Zelaya seguramente reasumirá como ministro de Gobernación, piensa que Estados Unidos volteó a ver seriamente el conflicto hondureño sólo cuando se convirtió en un problema doméstico.
El fracaso de los lobbystas
Entre los amigos de Micheletti en Washington se cuentan senadores republicanos que mantienen bloqueados importantes nombramientos del gobierno de Obama. De ahí que, tras la firma del acuerdo, el demócrata John Kerry, presidente del Comité de Relaciones Exteriores del senado estadunidense, dijera: Con esta crisis resuelta, espero la confirmación veloz en el Senado de Thomas Shannon como nuestro embajador en Brasil y de Arturo Valenzuela como subsecretario para América Latina.
El frente de Washington, efectivamente, se ha instalado en esta ciudad. Este martes llega Hilda Solís, la hija de padre mexicano y madre nicaragüense que ocupa la cartera del Trabajo en el gabinete de Obama, y quien integrará la Comisión de Verificación del acuerdo, junto al ex presidente chileno Ricardo Lagos. Los otros dos miembros de dicha comisión son nacionales: el democristiano Arturo Corrales, por Micheletti, y Jorge Arturo Reina, embajador de Honduras ante la Organización de Naciones Unidas, por Zelaya.
Pero también han andado por aquí los cabilderos contratados por el gobierno golpista para, a cambio de cifras de cinco ceros, mejorar la imagen de la administración de Micheletti. Según Meza, los lobistas estadunidenses –de la firma Chlopak, Leonard, Schechter & Asociados, con lazos estrechos con Clinton y John Mc Cain, según The New York Times– se instalaron en el segundo piso del hotel durante el diálogo y buscaron que Micheletti rechazara la firma del acuerdo.
Querían que Shannon regresara con las manos vacías, porque el acuerdo es un espaldarazo a la política de Obama, asegura Meza.
Pero las tijeras de Shannon, quien llegó a Tegucigalpa el miércoles 28 de octubre, lograron la magia de que la delegación de Micheletti retomara las pláticas con la orden de no levantarse de la mesa hasta completar el acuerdo.
Apenas bajó del avión, Shannon convocó a las partes a un almuerzo en la embajada estadunidense. A los negociadores de ambas partes les dijo que había dos maneras de que Honduras llegara a las elecciones del 29 de noviembre: sola o acompañada por la comunidad internacional (lo que implica, dijo, ayuda técnica y financiera, observadores, reconocimiento).
El apoyo internacional a los comicios, siguió Shannon, depende de una sola cosa: de un acuerdo político antes de las elecciones.
Meza no dejó pasar la variación sensible en el lenguaje, porque Shannon ya no habló de restitución.
Entre el miércoles 28 y el jueves 29 de octubre, Shannon sostuvo reuniones con los negociadores, con los candidatos presidenciales y, por separado, con Zelaya y Micheletti.
En tanto, en la mesa se ajustaban los últimos detalles del acuerdo. La delegación de Micheletti insistía en que se incluyera que el Congreso decidirá sobre la restitución de Zelaya sobre un dictamen previo de la Suprema Corte de Justicia y en el retiro de la palabra retrotraer.
Finalmente, quizá por la presión de Shannon, aceptaron el texto final, incluido el párrafo que establece que la decisión del Congreso deberá sentar las bases para alcanzar la paz social, la tranquilidad política y gobernabilidad democrática.
En el balance de la negociación que encabezó, Meza se ufana de una victoria: Ellos se concentraron en su obsesión de impedir la restitución, y se olvidaron de todos los demás puntos que ahora los tienen muy preocupados. Ellos se saltaron el punto conflictivo (la restitución), y nuestra estrategia fue ir cercando con los demás ese punto conflictivo.
En contraste, los zelayistas no derraman optimismo sobre lo que podría hacer el presidente constitucional en caso de ser restituido. El próximo jueves 5, según el cronograma del acuerdo, debe quedar constituido el gabinete de unidad y reconciliación nacional. Si ese día Zelaya fuese restituido, sólo le quedarían 24 días en el poder, pues sus mismos seguidores dan por hecho que el ganador de la elección presidencial será el hombre fuerte de Honduras a partir de ese día.
Un poder, además, muy limitado, pues no sólo no tendría control de las fuerzas armadas, sino que la mitad del gabinete habría sido puesta por Micheletti.
Hasta el momento, tanto Micheletti como Zelaya mantienen en reserva los nombres de los probables integrantes de ese efímero gobierno. Los zelayistas hablan solamente de que pelearán las carteras de Gobernación, Finanzas, Salud y el Banco Central, y dan por hecho de que no habrá cambios en Defensa ni en la Policía Nacional.
El gran dilema para ambas partes es quién se avienta a ser ministro por sólo tres meses.
Nos puede caer el cielo y la tierra encima
La junta directiva del Congreso ha sido convocada para este martes, día en que también se instala la Comisión de Verificación.
Aunque los políticos hondureños insisten en la solución catracha, y en que nadie puede imponerles la solución al conflicto, en el acuerdo firmado se expresa claramente que la comisión tiene más que un papel decorativo: El incumplimiento de cualquiera de los compromisos contenidos en este acuerdo, comprobado y declarado por la Comisión de Verificación, producirá la activación de medidas que establecerá la Comisión para el transgresor o los transgresores.
No lo ven así algunos de los diputados que decidieron destituir a Zelaya y ahora deben discutir si lo restituyen: Se puede caer el cielo y la tierra y lo que se nos quiera caer encima, pero la Democracia Cristiana está haciendo lo correcto, dice Lucas Aguilera, quien asegura que los diputados de su partido, al que pertenece Arturo Corrales (aunque aquí se dice que en realidad el partido le pertenece a él), jamás votarán por la restitución.
La apocalíptica visión del diputado Aguilera forma parte de la guerra verbal entre los dos bandos sobre las posibles interpretaciones del acuerdo. La delegación de Micheletti declara que el Congreso no tiene fecha y que Zelaya debe ir resignándose a perder la votación en el Congreso.
Zelaya, por su lado, argumenta que el punto cinco del acuerdo recoge en forma precisa el espíritu del acuerdo y señala taxativamente el procedimiento para revertir el golpe de Estado. Cualquier interpretación fuera de este contexto constituiría una nueva afrenta al pueblo hondureño y a la comunidad internacional.
Fuente: http://www.lajornada.unam.mx/Anmcla
ANTE LAS DISTORSIONES PÚBLICAS EN TORNO AL ACUERDO DE TEGUCIGALPA/SAN JOSÉ
Comunicado del Presidente Zelaya. Ante las distorsiones públicas entorno al acuerdo de Tegucigalpa/San José
Gobierno de la República de Honduras
PRESIDENCIA DE LA REPUBLICA COMUNICADO
NUESTRAS ARMAS SON LAS IDEAS NUESTRA LUCHA ES PACIFICA
Ante las distorsiones públicas realizadas por los miembros de la comisión negociadora que representaba al señor Micheletti en el acuerdo de Tegucigalpa/San José, a la Comunidad Internacional y al pueblo hondureño.
INFORMAMOS:
El Acuerdo Tegucigalpa/San José, constituye el resultado de un diálogo entre Hondureños con el acompañamiento de la comunidad internacional en forma especial, la Organización de Estados Americanos, el Departamento de Estado de los Estados Unidos de América, Acuerdo que tiene por objeto resolver la profunda crisis que vive el pueblo hondureño, atender los mandatos incluidos en las resoluciones de las Naciones Unidas y la OEA, todo dentro del espíritu del Plan Arias para revertir el Golpe de Estado que sorpresivamente rompió el orden constitucional el veintiocho de junio recién pasado.
En este Acuerdo el cargo del Presidente de la República de Honduras, que constitucionalmente eligió el pueblo no está en discusión para el Congreso, sí el hecho de derogar el decreto ilegal que destituyó al mandatario y nombró ilegalmente Presidente de facto de la República de Honduras al del Congreso, hecho que ha sido condenado por todas las naciones del mundo.
Conjurar pacíficamente el golpe de estado o sea retrotraer la situación del titular del poder ejecutivo previo al del 28 de junio como lo reza el acuerdo es la solicitud respetuosa que se le ha hecho al CN y debe de actuar con esa responsabilidad.
Ambas partes convenimos que para terminar con la crisis y afianzar la democracia remitir al Congreso Nacional el acuerdo Tegucigalpa/San José, que contiene doce puntos, de los cuales el número cinco del Poder Ejecutivo recoge en forma precisa el espíritu del acuerdo y señala taxativamente el procedimiento para revertir el golpe de Estado; cualquier interpretación fuera de este contexto constituiría una nueva afrenta al pueblo hondureño y a la comunidad internacional
El pueblo hondureño y la Comunidad Internacional aguarda y dará seguimiento con la Comisión de Verificación, para que en la profunda crisis de la nación en la que el pueblo tiene más de 4 meses de ser víctima y de comprobadas violaciones a los derechos humanos, el Congreso Nacional actué con la diligencia y celeridad requerida y así recuperar el más caro de los intereses de la patria: la Democracia, que está rota.
Que si nos empeñamos todos los hondureños y hondureñas en cumplir el acuerdo nos sujetamos a ratificar su espíritu, para lo cuál ninguna de las partes debe de utilizar juegos sucios, estrategias dilatorias o medidas que nos hagan perder el crédito y el respeto que como pueblo merecemos ante la comunidad internacional, suficiente daño hemos soportado estoicamente como pueblo para pretender seguir manipulando la buena fe que hemos depositado para resolver la crisis.
La Comunidad Internacional, ha recibido con mucho optimismo, la firma del convenio Tegucigalpa/San José, podremos lograr la paz social sin necesidad de mas violencia, la incorporación de nuestro país en el concierto de las naciones, alcanzando el reconocimiento del proceso electoral, y teniendo acceso a la inmensa cantidad de servicios que brindan las relaciones diplomáticas, por lo que no debemos de retroceder en este avance y debemos lograr salir de esta crisis revocando el Golpe de Estado e incorporando a Honduras a la democracia
Tegucigalpa, M. D. C., 2 de noviembre de 2009
GOBIERNO DEL PRESIDENTE CONSTITUCIONAL DE HONDURAS
JOSE MANUEL ZELAYA ROSALES
Fuente:Gobierno Legítimo de Honduras, del Presidente José Manuel Zelaya Rosales/ Anmcla/ Edición de : PrensaPopularSolidaria_ComunistasMiranda http://prensapopular-comunistasmiranda.blogspot.com Correo: pcvmirandasrp@gmail.com
Gobierno de la República de Honduras
PRESIDENCIA DE LA REPUBLICA COMUNICADO
NUESTRAS ARMAS SON LAS IDEAS NUESTRA LUCHA ES PACIFICA
Ante las distorsiones públicas realizadas por los miembros de la comisión negociadora que representaba al señor Micheletti en el acuerdo de Tegucigalpa/San José, a la Comunidad Internacional y al pueblo hondureño.
INFORMAMOS:
El Acuerdo Tegucigalpa/San José, constituye el resultado de un diálogo entre Hondureños con el acompañamiento de la comunidad internacional en forma especial, la Organización de Estados Americanos, el Departamento de Estado de los Estados Unidos de América, Acuerdo que tiene por objeto resolver la profunda crisis que vive el pueblo hondureño, atender los mandatos incluidos en las resoluciones de las Naciones Unidas y la OEA, todo dentro del espíritu del Plan Arias para revertir el Golpe de Estado que sorpresivamente rompió el orden constitucional el veintiocho de junio recién pasado.
En este Acuerdo el cargo del Presidente de la República de Honduras, que constitucionalmente eligió el pueblo no está en discusión para el Congreso, sí el hecho de derogar el decreto ilegal que destituyó al mandatario y nombró ilegalmente Presidente de facto de la República de Honduras al del Congreso, hecho que ha sido condenado por todas las naciones del mundo.
Conjurar pacíficamente el golpe de estado o sea retrotraer la situación del titular del poder ejecutivo previo al del 28 de junio como lo reza el acuerdo es la solicitud respetuosa que se le ha hecho al CN y debe de actuar con esa responsabilidad.
Ambas partes convenimos que para terminar con la crisis y afianzar la democracia remitir al Congreso Nacional el acuerdo Tegucigalpa/San José, que contiene doce puntos, de los cuales el número cinco del Poder Ejecutivo recoge en forma precisa el espíritu del acuerdo y señala taxativamente el procedimiento para revertir el golpe de Estado; cualquier interpretación fuera de este contexto constituiría una nueva afrenta al pueblo hondureño y a la comunidad internacional
El pueblo hondureño y la Comunidad Internacional aguarda y dará seguimiento con la Comisión de Verificación, para que en la profunda crisis de la nación en la que el pueblo tiene más de 4 meses de ser víctima y de comprobadas violaciones a los derechos humanos, el Congreso Nacional actué con la diligencia y celeridad requerida y así recuperar el más caro de los intereses de la patria: la Democracia, que está rota.
Que si nos empeñamos todos los hondureños y hondureñas en cumplir el acuerdo nos sujetamos a ratificar su espíritu, para lo cuál ninguna de las partes debe de utilizar juegos sucios, estrategias dilatorias o medidas que nos hagan perder el crédito y el respeto que como pueblo merecemos ante la comunidad internacional, suficiente daño hemos soportado estoicamente como pueblo para pretender seguir manipulando la buena fe que hemos depositado para resolver la crisis.
La Comunidad Internacional, ha recibido con mucho optimismo, la firma del convenio Tegucigalpa/San José, podremos lograr la paz social sin necesidad de mas violencia, la incorporación de nuestro país en el concierto de las naciones, alcanzando el reconocimiento del proceso electoral, y teniendo acceso a la inmensa cantidad de servicios que brindan las relaciones diplomáticas, por lo que no debemos de retroceder en este avance y debemos lograr salir de esta crisis revocando el Golpe de Estado e incorporando a Honduras a la democracia
Tegucigalpa, M. D. C., 2 de noviembre de 2009
GOBIERNO DEL PRESIDENTE CONSTITUCIONAL DE HONDURAS
JOSE MANUEL ZELAYA ROSALES
Fuente:Gobierno Legítimo de Honduras, del Presidente José Manuel Zelaya Rosales/ Anmcla/ Edición de : PrensaPopularSolidaria_ComunistasMiranda http://prensapopular-comunistasmiranda.blogspot.com Correo: pcvmirandasrp@gmail.com