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sábado, 25 de diciembre de 2010

12ème RENCONTRE INTERNATIONALE DES PARTIS COMMUNISTES ET OUVRIERES S' EST TENUE A TSHWANE

Déclaration de Tshwane

La 12ème Rencontre internationale des partis communistes et ouvriers s'est tenue à Tshwane [l'agglomération de Tshwane comprend la ville de Pretoria], en Afrique du sud du 3 au 5 décembre 2010 sous le thème:


« L'approfondissement de la crise systémique du capitalisme. Les tâches des Communistes dans la défense de la souveraineté, l'approfondissement des alliances sociales, et le renforcement de la lutte anti-impérialiste dans la lutte pour la paix, le progrès et le Socialisme ».

102 délégués représentant 51 pays participants de 43 pays et de tous les continents du monde se sont rassemblés afin de faire avancer les efforts déjà réalisés dans les rencontres précédentes, et afin de promouvoir et de développer des actions communes et convergences autour d'une perspective partagée.

L'approfondissement de la crise capitaliste

La situation internationale continue d'être dominée par la persistance et l'approfondissement de la crise du capitalisme. Cette réalité confirme les analyses esquissées dans les déclarations de la 10ème rencontre de Sao Paulo de 2008 et la 11ème de New Delhi en 2009. La crise mondiale actuelle du capitaliste souligne ses limites historiques et la nécessité de son renversement révolutionnaire. Elle montre l'intensification de la contradiction fondamentale du capitalisme entre le caractère social de la production et son appropriation capitaliste privée

La crise est systémique –en dépit des illusions antérieures à 2008 concernant une tendance conjoncturelle contraire, le capitalisme ne peut échapper à sa tendance lourde inhérente, systémique à traverser des cycles d'expansion et de récession. La crise mondiale actuelle est l'expression particulièrement intense d'une crise économique occasionnée par une sur-production capitaliste.

Maintenant, comme dans le passé, il n'y a pas de réponse, dans la logique du capitalisme, à ces crises périodiques autres que la crise elle-même, marquée par la destruction massive et socialement irrationnelle de richesses – ce qui comprend des plans sociaux de masse, des fermetures d'usine, et une attaque généralisée contre les salaires, les retraites, la sécurité sociale et l'érosion du niveau de vie des couches populaires.

C'est pourquoi, à nos deux précédentes rencontres, nous avons bien affirmé que la crise actuelle n'était pas seulement imputable à des défaillances subjectives, à l'avidité des banquiers ou des spéculateurs financiers. Cela reste une crise ancrée dans les caractéristiques systémiques du capitalisme même.

La persistance de la crise est renforcée par d'importants changements dans le rapport de forces international. En particulier, on constate l'actuel déclin relatif de l'hégémonie mondiale économique des Etats-unis, la stagnation générale de la production dans les économies capitalistes les plus avancées, et l'émergence de nouvelles puissances économiques mondiales, notamment la Chine. La crise a intensifié la concurrence entre les centres impérialistes et également entre puissances établies et puissances émergentes.

Ceci comprend la guerre des monnaies menée par les Etats-unis; la concentration et la centralisation de la puissance économique et politique au sein de l'Union Européenne renforce sa nature de bloc impérialiste menée par ses principales puissances capitalistes; une nette accentuation des luttes inter-impérialistes pour les marchés et l'accès aux matières premières; l'expansion du militarisme, comprenant le renforcement des alliances agressives (par exemple, le sommet de Lisbonne de l'OTAN avec son « nouveau » et dangereux concept stratégique), la profusion de points régionaux de tension et d'agression (notamment au Proche-orient, en Asie et en Afrique), les coups d'Etat en Amérique Latine, l'intensification des tendances néo-impérialistes à attiser les conflits ethniques et la militarisation croissante de l'Afrique à travers, entre autres, l'AFRICOM.

Dans le même temps, il devient clair que la course du capitalisme à la maximisation du profit, qui nous jette tête baissée vers la destruction des ressources, et de l'environnement en général, pose une grave menace à la pérennité de la civilisation humaine même.

Les élites politiques dans les Etats capitalistes dominants avec leurs diverses propositions pour des « technologies vertes » et de commerce du carbone représente, au mieux, des ajustements qui améliorent la profitabilité du capital tout en approfondissant la marchandisation de la nature, et le transfert des crises du changement climatique vers les pays les moins développés. La crise du système capitaliste que nous affrontons, en tant qu'Humanité, est directement liée à l'incapacité du capitalisme de se reproduire autrement que la poursuite vorace d'une croissance infinie. C'est une crise qui ne peut être dépassée que par l'abolition du capitalisme lui-même.

Confronté à ces réalités, partout le capital contre-attaque, cherchant à maintenir les profits et à transférer le poids de la crise sur le dos des travailleurs en intensifiant l'exploitation basée sur le genre et l'âge, les pauvres ruraux et urbains, et un large éventail des couches moyennes. L'exploitation s'intensifie, l'État est utilisé pour venir à la rescousse des banquiers privés et des établissements financiers tandis que l'on expose les générations futures à des niveaux d'endettement insoutenables, et que des efforts s'intensifient pour revenir sur les acquis sociaux.
Dans l'ensemble du monde capitaliste, les acquis sociaux, économiques, politiques des travailleurs ainsi que le droit à la sécurité sociale sont en train d'être supprimés.

Dans le même temps, les systèmes politiques deviennent de plus réactionnaires, restreignant les libertés démocratiques et civiles, en particulier les droits syndicaux. La politique de réduction des dépenses, ce qui comprend les coupes massives dans les dépenses dans le secteur public, ont un impact dévastateur sur les travailleurs et en particulier sur les travailleuses.

Il existe également des tentatives de détournement de la détresse et de l'insécurité populaires vers la démagogie réactionnaire, le racisme et la xénophobie, tout comme de légitimation de forces fascistes. Ce sont des expressions de tendances anti-démocratiques et autoritaires également marquées par l'escalade des offensives et campagnes anti-communistes, dans de nombreuses parties du monde. En Afrique, en Asie et en Amérique latine, nous sommes les témoins du fait que sont imposés aux peuples de nouvelles machines d'oppression nationale et de classe, ce par l'utilisation de moyens économiques, financiers, politiques et militaires tout comme par le déploiement de toute une série d'ONG pro-impérialistes.

Cependant, pour la grande masse des peuples, en particulier en Afrique, en Asie et en Amérique latine, il est important de rappeler que, même avant la crise économique mondiale actuelle, la vie sous le capitalisme a été une crise continue, une lutte quotidienne pour la simple survie. Même avant la crise mondiale actuelle, un milliard de personnes vivaient dans des bidonvilles misérables, et la moitié de la population mondiale survivait avec moins de 2 dollars par jour. Avec la crise, ces réalités se sont grandement aggravées.

La plupart de ces pauvres urbains et ruraux, ainsi que les membres de leur famille travaillant comme immigrants vulnérables en pays étrangers, sont des personnes déplacées victimes de ce développement capitaliste agraire accélérée en cours en Afrique, en Asie et en Amérique latine. Le capitalisme mondial, dont les fers de lance sont les grandes entreprises multi-nationales du secteur agro-alimentaire, a déclaré la guerre à près de la moitié de l'humanité – ces trois millions restant les ruraux d'Afrique, d'Asie et d'Amérique latine.

Dans le même temps, des obstacles inhumains sont mis en place contre les immigrants et les réfugiés. Il y a prolifération constante des bidonvilles urbains et semi-urbains peuplés par des masses marginalisées désespérées généralement impliquées dans une variété d'activités pour survivre. La transformation capitaliste agraire accélérée dans les pays avec un niveau de développement capitaliste moindre a des implications génocidaires.

L'importance des luttes de résistance de la classe ouvrière et des forces populaires

Partout dans le monde, les tentatives du capital de faire porter tout le poids de la crise par les travailleurs et les pauvres se heurtent à la résistance du peuple et de la classe ouvrière.

Au cours de l'année écoulée, les offensives anti-populaires contre les droits des travailleurs, le droit à la sécurité sociale et les salaires a provoqué une escalade des luttes populaires, notamment en Europe.

Les agressions impérialistes au Moyen-orient, en Asie et en Amérique latine continue à affronter une résistance populaire résolue.

En Afrique et en Amérique latine, les forces anti-impérialistes, les syndicats et les mouvements soicaux ont intensifié leurs luttes pour les droits du peuple et contre le pillage par les multi-nationales. Ces luttes ont, dans certains cas, mené à l'émergence de gouvernements progressistes, national-populaires qui s'affichent programmatiquement pour la souveraineté nationale, les droits sociaux, le développement et la protection de leurs ressources naturelles et de la bio-diversité, donnant un élan nouveau à la lutte anti-impérialiste.

Dans la réalité actuelle, c'est un impératif historique que les Partis communistes et ouvriers participent au renforcement et à la transformation de ces batailles populaires défensives en luttes offensives pour l'acquisition de nouveaux droits populaires et sociaux et pour l'abolition du capitalisme.

En mettant en avant cet agenda stratégique, les communistes soulignent l'importance que l'organisation de la classe ouvrière, et le développement des luttes du mouvement ouvrier sur des positions de classe, a dans la lutte pour la conquête du pouvoir politique par la classe ouvrière et ses alliés.

Dans le cadre de cette lutte, nous attachons une importante toute particulière à:

--La défense, la consolidation et le progrès de la souveraineté nationale et populaire;

--L'approfondissement des alliances sociales;

--Le renforcement du front anti-impérialiste pour la paix, pour le droit à des emplois stables à temps plein, pour des droits sociaux des travailleurs, tels que la santé et l'éducation gratuites.

La défense, la consolidation et le progrès de la souveraineté populaire

Face à l'intensification de l'agression par le capital trans-national, la lutte contre l'occupation impérialiste de certains pays, contre la dépendance économique et politique et pour la défense de la souveraineté populaire est devenue de plus en plus cruciale. Dans ces luttes, il est important pour les communistes d'intégrer ces luttes à la lutte pour l'émancipation sociale et de classe.

Les communistes, luttant contre l'impérialisme, luttent pour des relations internationales équitables entre les Etats et les peuples, sur une base mutuellement avantageuse.

La défense, la consolidation et le progrès de la souveraineté populaire est d'une importance particulière en Afrique et pour les autres peuples qui ont enduré des décennies voire des siècles d'oppression coloniale et semi-coloniale. 2010 marque le 50ème anniversaire des débuts du processus formel de dé-colonisation en Afrique.

Pourtant partout dans le monde, y compris dans la diaspora Africaine, le sombre héritage de la traite des esclaves, de la dépossession et du pillage coloniaux persistent. Malgré 50 ans de décolonisation formelle, partout les interventions impérialistes se renforcent, la domination des monopoles se consolide avec l'aide du capital national. La lutte contre eux nécessite que les masses populaires soient unies et jouent un rôle de premier plan dans la conquête de nouveaux droits démocratiques et populaires.

L'approfondissement des alliances sociales

La crise actuelle du capitalisme et sa contre-attaque anti-civilisationnelle crée les conditions de la construction de larges alliances sociales anti-monopolistes et anti-impérialistes capables de conquérir le pouvoir et de faire avancer des transformations profondes, progressistes, radicales et révolutionnaires.

L'unité de la classe ouvrière est un facteur fondamental dans la garantie de la construction d'alliances sociales effectives avec la paysannerie, la masse des pauvres ruraux et urbains, les couches moyennesurbaines et les intellectuels. Une attention particulière doit être apportée aux aspirations et aux défis auxquels est confrontée la jeunesse.

La question de la terre, la réforme agraire et le développement rural sont des questions importantes pour le développement de la lutte populaire dans les pays moins développés. Elles sont inextricablement liées à la souveraineté et la sécurité alimentaires, la pérennité des conditions de vie, la défense de la bio-diversité, la protection des ressources naturelles, et la lutte contre les monopoles agro-alimentaires et leurs agents locaux.

Dans ces luttes, les aspirations légitimes et progressistes des peuples autochtonespour la défense de leurs cultures, langues et environnements ont un rôle important.

Le rôle des communistes dans le renforcement du front anti-impérialiste pour la paix, un environnement durable, le progrès et le socialisme

La crise et la contre-attaque de l'impérialisme mènent à l'élargissement et la diversification des forces qui objectivementprennent une position patriotique et anti-impérialiste. Partout, dans nos réalités diverses, les Communistes ont une responsabilité pour élargir et renforcer le front politique et social anti-impérialiste, les luttes pour la paix, la durabilité environnementale, le progrès et pour les intégrer à la lutte pour le socialisme. Le rôle indépendant des Communistes et le renforcement des partis Communistes et ouvriers est d'une importance vitale pour assurer une perspective anti-impérialiste conséquentede constitution de fronts et de mouvements plus larges.

Une attention particulière doit être accordée à la relation existant entre les différentes luttes de résistance et la nécessaire offensive idéologique pour la visibilité de l'alternative du socialisme et de la défense et du développement du socialisme scientifique. La lutte idéologique du mouvement communiste est d'une importance vitale afin de repousser l'anti-communisme actuellement à l'œuvre, d'affronter l'idéologie bourgeoise, les théories anti-scientifiques et les courants opportunistes qui rejettent la lutte de classe, et de combattre le rôle des forces sociales-démocrates qui défendent et mettent en oeuvres les politiques anti-populaires et pro-impérialistes en soutenant la stratégie du capital.

Nous avons un rôle-clé à jouer en établissant les liens essentiels dans la théorie et surtout en pratiqueentre les différentes scènes de la lutte populaire dans le développement d'une solidarité internationaliste de classe.

Nous vivons dans une époque historique où la transition du capitalisme au socialisme est devenue un impératif civilisationnel. La crise totale du capitalisme souligne une fois de plus la nature inséparable des tâches de libération nationale et d'émancipation sociale, nationale et de classe.

Face à l'approfondissement de la crise capitaliste, les expériences de construction socialiste démontrent les conditions de la supériorité du socialisme.

Le renforcement de la coopération entre Partis communistes et ouvriers et le renforcement du front anti-impérialiste, devraient aller l'un dans l'autre.

Nous, partis Communistes et ouvriers réunis à Tshwane, dans une situation marquée par une offensive massive contre les travailleurs et les forces populaires, mais également avec de nombreuses possibilités pour le développement de la lutte, exprimons notre profonde solidarité avec les travailleurs et les peuples et leurs luttes intense, réaffirmant notre détermination à agir et à lutter cote à cote avec les masses laborieuses, les jeunes, es femmes et toutes les couches populaires victimes de l'exploitation et de l'oppression capitalistes.

Nous réaffirmons notre appel le plus large aux forces populaires afin de nous rejoindre dans une lutte commune pour le socialisme qui est la seule alternative pour l'avenir de l'humanité.

Nous indiquons les principaux axes suivants pour le développement de nos actions communes et convergentes:

Avec l'approfondissement de la crise capitaliste, nous allons nous concentrer sur le développement des luttes ouvrières et populaires pour les droits sociaux et les droits des travailleurs, le renforcement du mouvement syndical sur des positions de classe; la promotion d'alliances sociales avec les paysans et les autres couches populaires. Une attention particulière doit être accordée aux problèmes des femmes et des jeunes qui sont parmi les premières victimes de la crise capitaliste.

Face à l'agression impérialiste tout azimuts et à l'intensification des rivalités inter-impérialistes, nous allons intensifier la lutte anti-impérialiste pour la paix, contre les guerres et les occupations impérialistes, contre la dangereuse « nouvelle » stratégie de l'OTAN et les bases militaires étrangères, et pour le démantèlement de toutes les armes nucléaires. Nous allons étendre la solidarité internationale active avec tous les peuples et mouvements affrontant et résistant à l'oppression, aux menaces et aux agressions impérialistes.

Nous allons avec résolution lutter contre l'anti-communisme, les lois, mesures et la persécution anti-communistes; pour demander la légalisation des Partis communistes là où ils ont été interdits. Nous allons défendre l'histoire du mouvement communiste, la contribution du socialisme au progrès de la civilisation humaine.

Nous affirmons notre solidarité avec les forces et les peuples engagés dans la lutte pour la construction du socialisme. Nous réaffirmons notre solidarité avec le peuple Cubain et leur révolution socialiste, et nous continuerons à nous opposer vigoureusement au blocus et à soutenir la campagne internationale pour la libération des 5 cubains.

Nous contribuerons, dans le contexte particulier de nos réalités nationales, au renforcement des organisations de masses internationales anti-impérialistes, telles que la FSM, le Conseil mondial pour la paix, la Fédération mondiale de la jeunesse démocratique, la Fédération démocratique internationale des femmes.

Nous accueillons et saluons tout particulièrement la tenue du 17ème Festival mondial de la jeunesse et des étudiants en Afrique du sud, du 13 au 21 décembre 2010.

Fuente: Solidarité Internationale PCF/PrensaPopularSolidaria
http://prensapopular-comunistasmiranda.blogspot.com/
Correo: pcvmirandasrp@gmail.com

EL PROBLEMA DEL AGUA EN EL ZULIA

Por: Alfredo Schmilinsky Ochoa

Amigos del PCV, yo creo que ya va siendo hora de que se hagan respetar por este exclusivo y excluyente gobierno chavista. Esto lo decimos, porque la alianza que su máximo dirigente propone a los demás sectores progresitas del país es una alianza basada en la imposición arbitraria de sus decisiones; en el acatamiento incondicional de hechos que por irracionales e irreflexivos, atentan no sólo contra el propio Proceso, sino también contra toda posibiolidad de construir una alianza lo Suficientemente fuerte que permita enfrentar exitosamente los embates del imperialismo y de la reacción interna y externa.


Un ejemplo de esto es lo que está sucediendo con el gravísimo problema del agua aquí en Maracaibo y cuyo artífice es el sobrino de Rodríguez Araque, Freddy Rodríguez, presidente de Hidrolago, un verdadero...ciudadanooo....que cuenta con el apoyo incondicional de Chávez.

Este sujeto, el inefable sobrinito ha cometido tantos abusos y atropellos al frente de la empresa que preside, que hasta está cobrando las reconexiones, cosa que nunca ningún gobierno, por muy degenerado y ladrón que haya sido, se había atrevido a hacer. Pero eso no es todo, porque ha agravado tanto el problema de agua en esta ciudad que la gente añora la Cuarta República.

Es verdad que quien estableció el racionamiento del agua fue el primer gobierno de Rafael Caldera. Y se hizo sobre la base de un día con agua y un día sin ella. Lo característico de este racionamiento era, a pesar de que setrataba de algo sumamente irregular, que se cumplía estrictamente, es decir, 24 horas por 24 horas completas.

Ahora, después de 12 años de gobierno Chávista nadie sabe después de que se ha ido el agua cuando regresará. Formalmente el racionamiento se ha extendio a un día con agua y dos sin ella, pero eso no se cumple rigurosamente.

Ahora lo verdaderamente trágico de esta situación es que a quienes más duramente golpea este ..seeñoor..., como lo podrán ver en las dos notas de prensa que les adjunto, es a los sectores de más bajos recursos a quienes le vende el agua más caro que al resto de la poblción, incluyendo los más ricos.

Respuesta a un correo de ustedes del día de ayer, o sea, del día 22, donde me informan que en Aporrea no quitan artículos, sino que ellos desaparecen a medida que van bajando.

Les envío el texto que a través de un correo me dirigieron los amigos del PCV de los Guayos el 25 de noviembre a las 7,05,27 de la mañana del día señalado. Ese correo dice así: "le copio el artículo que publicaron y borraron como evidencia. Pensé que no lo tenía pero lo había guardado".

Y me envían copia del artículo que ustedes publicaron el 24 de noviembre y que, de no haber sido por ellos yo ni me hubiera enterado. Ahora, ¿por qué me lo envían? Porque fue tan abruptamente sacado de la página que pensaron con muy buen juicio, por cierto, que yo no había tenido tiempo de leer. Y tenían razón.

Ahora, ¿qué les he hecho yo a ustedes? ¿por qué esa discriminación para conmigo?

Si es porque en ocasiones cuestiono algunas decisiones del Presidente, es necesario que sepan que si lo hago es porque considero que esas decisiones atentan contra la estabilidad del Proceso.

Por ejemplo, una de mis críticas más fuertes que yo le hago al Presidente Chávez es el apoyo incondicional que le brinda a un verdadero malandro como Freddy Rodríguez, sobrino de Rodríguez Araque y Presidente de Hidrolago y que ha sido junto con María de Queipo y Durán Centenos, curruñas de Chávez, los grandes culpables de que el Zulia se haya perdido para la Revolución.

Para que tengan una leve idea del daño que ese sujeto le ha hecho al chavismo en el Zulia, les copio una nota de prensa publicada en Panorama del día de hoy, página 5 del primer cuerpo y en el extremo superior derecho de dicha página.

Esa nota dice así: "En San Jacinto exigen agua


Más de 20 días sin agua tienen los vecinos de los sectores 4 y 5 de la Urbanización San Jacinto, ubicada en el norte de Maracaibo.

Cansados de este padecimiento ,ayer, (sic) protestaron en la entrada de la comunidad.
Rosa Rodríguez, vecina del sector 4, contó que la única forma de agarrar agua para los quehaceres de la casa es cuando llueve.

"Llamamos varias veces a Hidrolago y la respuesta que nos dan es que van a verificar el estado de las tuberías, pero nadie viene. Damos chance hasta el viernes sino tomaremos la sede de la empresa, dijo”. Ahora ¿quien es más enemigo de este Proceso, Chávez o yo?

Aalfredo Schmilinsky Ochoa

Fuente: PrensaPopularSolidaria
http://prensapopular-comunistasmiranda.blogspot.com/
Correo: pcvmirandasrp@gmail.com .

PARTIDO COMUNISTA EN PATERNA PAÍS VALENCIANO, ESPAÑA ELIGE COMITÉ LOCAL

El Partido Comunista elige un nuevo Comité Local en Paterna e inicia su Reconstrucción en la localidad ::
La Reconstrucción del Partido Comunista es una necesidad histórica que vamos a cumplir

El Partido Comunista de Paterna (PCPV-PCE) celebró esta semana el Pleno de su Agrupación Local, al que también asistieron como invitados simpatizantes comunistas, y en el que se eligió un Comité Local decidido a “Reconstruir y fortalecer al máximo la organización en Paterna”.

El nuevo Comité Local está formado, entre otros, por Javier Parra como nuevo Responsable Político, Teodoro Viana como Responsable de Organización, Vicente Veintimillas, junto a otros jóvenes e históricos militantes comunistas.

Desde el Partido Comunista de Paterna anunciamos que en esta nueva etapa nos comprometemos a poner lo mejor de nosotros mismos – como siempre hemos hecho los comunistas – para recuperar la tradición republicana y de izquierdas del municipio de Paterna, y a poner nuestra organización al servicio de la ciudadanía para mejorar sus condiciones de vida, laborales, culturales y educativas.

Estamos seguros que los comunistas de Paterna volveremos a ser un referente para las gentes de izquierdas de la localidad, y hacemos un llamamiento a jóvenes y veteranos comunistas, simpatizantes y comunistas sin Partido, a ayudar a reconstruir el PCE en Paterna.

Queremos anunciar, además, que a partir de ahora los comunistas volveremos a estar presentes en las calles de Paterna y nos comprometemos a luchar codo con codo con todas las gentes y colectivos de izquierdas para enfrentar las políticas de derechas, que en Paterna y el País Valenciano, pero también en España y el resto de Europa han querido poner contra las cuerdas a los trabajadores y usurparles los derechos que tantos sacrificios costó conquistar.

Por eso, la Reconstrucción del Partido Comunista es una necesidad histórica.
Fuente: Paterna Roja/PrensaPopularSolidaria

12" ENCONTRO INTERNACIONAL DE PARTIDOS COMUNISTAS E OPERÁRIOS

3-5 Diciembre 2010, Tshwane, África do Sul

DECLARAÇÃO DE TSHWANE

As tarefas dos comunistas em defesa da soberania, do aprofundamento das alianças sociais, o fortalecimento da frente anti-imperialista na luta pela paz, pelo progresso e pelo Socialismo».

O 12º Encontro Internacional de Partidos Comunistas e Operários teve lugar em Tshwane, África do Sul, de 3 a 5 de Dezembro sob o lema «O aprofundamento da crise sistémica do capitalismo. As tarefas dos comunistas em defesa da soberania, do aprofundamento das alianças sociais, o fortalecimento da frente anti-imperialista na luta pela paz, pelo progresso e pelo Socialismo».

102 delegados em representação de 51 partidos participantes de 43 países e de todos os continentes do mundo reuniram-se para avançar o trabalho das nossas reuniões prévias, e para promover e desenvolver uma acção comum e convergente à volta de uma perspectiva comum.

O APROFUNDAMENTO DA CRISE CAPITALISTA

A situação internacional continua a ser dominada pela persistência e desenvolvimento do capitalismo. Esta realidade vem confirmar as análises esboçadas nas Declarações dos nossos encontros internacionais de 10 e 11 em S. Paulo e Nova Deli. A actual crise do capitalismo põe em relevo as suas limitações históricas e a necessidade do seu derrube revolucionário. Mostra a intensificação das contradições básicas do capitalismo que existem entre o carácter social da produção e a sua apropriação privada capitalista.

A crise é sistémica – apesar das ilusões capitalistas em contrário antes de 2008, o capitalismo não pode escapar à sua tendência sistémica interna de atravessar ciclos de desenvolvimento e de estagnação. A actual crise global é uma manifestação particularmente severo de um debilitamento capitalista provocada pela sobreprodução capitalista.

Agora, tal como no passado, não há saída, dentro da lógica do capitalismo, para estas crises periódicas para além da própria crise, marcada pela massiva e socialmente irracional destruição de bens – incluindo despedimentos massivos, encerramento de fábricas e o ataque sistemático aos salários, às pensões, à segurança social e à erosão do sustento do povo.

Esta é a razão pela qual, nos nossos anteriores encontros, afirmámos correctamente que a actual crise não era apenas atribuível a erros subjectivos, à avareza dos banqueiros ou a especuladores financeiros. Continua a tratar-se de uma crise marcada pelos traços sistémicos do próprio capitalismo.

A persistente crise acentua-se por significativas alterações na correlação internacional de forças. De forma particular, está em curso um queda relativa da hegemonia económica dos EUA, uma estagnação geral da produção nas economias capitalistas mais avançadas, e a emergência de novos poderes económicos, nomeadamente da China.A crise intensificou a concorrência entre os centros imperialistas e também entre os poderes estabelecidos e os emergentes.

Isto inclui a guerra das divisas dirigida pelos EUA, a concentração e centralização do poder económico e político nos EUA que aprofunda o seu carácter de bloco imperialista dirigido pelos seus poderes capitalistas, uma agudização da confrontação inter-imperialista pelos mercados e o acesso a matérias-primas, a expansão do militarismo, incluindo alianças agressivas (por exemplo a Cimeira da NATO em Lisboa com a sua «nova» e perigosa concepção estratégica), a profusão de pontos de tensão e agressão localizados (particularmente no Médio oriente, na Ásia e em África), golpes de estado na América Latina, a intensificação das tendências neo-imperialistas de avivar os conflitos étnicos e o aumento da militarização através, entre outras coisas, do AFRICOM.

Simultaneamente, tornou-se claro que a trajectória do capitalismo com a sua maximização de lucros, a irreflectida destruição dos recursos naturais e do ambiente em geral representa um sério perigo para a sustentabilidade da própria civilização humana. As elites políticas dos estados capitalistas dominantes com as suas propostas de «tecnologias verdes» e transacção de níveis de emissão de CO2 no melhor dos casos representam ajustamentos que aumentam os lucros do capital ao mesmo tempo que aumentam a mercantilização da natureza, e transferem o custo da crise da mudança climática para nações menos desenvolvidas.

A crise do sistema capitalista que enfrentamos como género humano está directamente ligada à incapacidade do capitalismo se reproduzir salvo com uma voraz procura da acumulação. É uma crise que só pode superar-se com a abolição do próprio capitalismo.

Confrontado com estas realidades, o capitalismo tem de defender-se em todo o lado, procurando preservar os seus lucros e transferir o peso da crise para a classe operária através da intensificação da exploração baseada no género e na idade, nos pobres da cidade e do campo, e numa ampla variedade de camadas médias.
A exploração intensifica-se, o Estado é usado para resgatar os banqueiros privados e sociedades financeiras enquanto expõe as gerações futuras a níveis insustentáveis da dívida, e redobra os esforços para reduzir as conquistas sociais.

Em todo o mundo capitalista são abolidos os direitos laborais, sociais, económicos, políticos e de segurança social. Ao mesmo tempo, os sistemas políticos tornam-se mais reaccionários, restringem as liberdades democráticas e civis, especialmente os direitos sindicais. As reduções, incluindo os enormes cortes no sector público, estão a ter um impacte devastador nos trabalhadores, particularmente nas mulheres trabalhadoras.

Há também tentativas de desviar os descontentamento e a insegurança popular para a demagogia reaccionária, o racismo e a xenofobia, bem como a legitimação de forças fascistas. Estas são expressões de tendências antidemocráticas e autoritárias marcadas, também, por uma escalada dos ataques e campanhas anticomunistas em muitos países do mundo. Em África, Ásia e América Latina constatamos a imposição aos nossos povos de novos mecanismos de opressão nacional e classista, por meios económicos, financeiros, políticos e militares e ainda o desenvolvimento de um exército de ONG’s pró imperialistas.

No entanto, para as massas populares, particularmente de África, +Ásia e América Latina, é importante recordar que já antes da actual crise económica global a vida em capitalismo era uma crise permanente, uma luta diária pela simples sobrevivência. Inclusive antes da actual crise global, mil milhões de pessoas viviam em pocilgas sórdidas, e metade da população mundial sobrevivia com menos de 2 dólares por dia. Com a crise estas realidades agravaram-se massivamente.
A maior parte destes pobres urbanos e rurais, juntamente com familiares que trabalham como emigrantes vulneráveis em países estrangeiros, são as vítimas marginalizadas do desenvolvimento agrário capitalista acelerado em curso em África, Ásia e América Latina. O capitalismo global, encabeçado pelas maiores corporações do sector agro-industrial, declarou guerra a quase metade da humanidade. – três mil milhões de camponeses que vivem em África, Ásia e América Latina.

Ao mesmo tempo estabelecem-se barreiras inumanas contra os imigrantes e refugiados. Há um sempre crescente aumento de bairros urbanos degradados e meios humanos povoados por desesperadas massas marginalizadas envolvidas numa variedade de actividades de sobrevivência. A acelerada transformação agrária capitalista em países com um nível mais baixo de desenvolvimento capitalista tem consequências genocidas.

A IMPORTÂNCIA DAS LUTAS DE RESISTÊNCIA DA CLASSE TRABALHADORA E DAS FORÇAS POPULARES

Em todo o mundo, as tentativas de fazer cair o peso da crise sobre os trabalhadores e os pobres enfrenta a resistência popular e da classe trabalhadora.
Nos últimos anos o assalto antipopular contra os direitos laborais, a segurança social e os salários provocaram uma escalada das lutas populares, particularmente na Europa.
A agressão imperialista no Médio Oriente, na Ásia e na América Latina continua a enfrentar a decidida resistência popular.

Em África e na América Latina as forças anti-imperialistas, os sindicatos e os movimentos sociais multiplicaram as suas lutas pelos direitos populares e contra o saque das multinacionais. Em alguns casos, estas lutas levaram à emergência de governos progressistas, governos patrióticos populares que se assumem programaticamente pela soberania nacional, os direitos sociais, o desenvolvimento e pela protecção dos seus recursos e a biodiversidade nacionais, dando um novo e renovado impulso à luta anti-imperialista.

Na actual realidade, é um imperativo histórico que os Partidos Comunistas e Operários participem no fortalecimento e transformação destas batalhas defensivas populares em lutas ofensivas pela aquisição de direitos operários e populares mais amplos e a abolição do capitalismo.

Ao avançar com esta agenda estratégica, os comunistas põem o acento tónico na importância que têm a organização da classe trabalhadora, o desenvolvimento das lutas do movimento operário numa direcção de classe, na luta pela conquista do poder político para os trabalhadores e os seus aliados.

No âmbito desta luta damos particular importância:

• À defesa, consolidação e avanço da soberania nacional popular;

• Ao aprofundamento das alianças sociais;

• Ao fortalecimento da frente anti-imperialista pela paz, o direito a um trabalho estável e a tempo inteiro, a direitos laborais e sociais tais como a educação e a saúde gratuitas.

A DEFESA, CONSOLIDAÇÃO E AVANÇO DA SOBERANIA POPULAR

Perante a intensificação da agressão do capital transnacional, a luta contra a ocupação imperialista de países, contra a dependência económica e política e para a defesa da soberania popular é cada vez mais relevante. Nestas lutas é importante que os comunistas integrem estas lutas com a luta para a emancipação social e de classe.

Ao lutarem contra o imperialismo, os comunistas lutam por relações internacionais equitativas entre os estados e os povos, na base do benefício mútuo.

A defesa, consolidação e avanço da soberania popular são de importância particular para África e para os outros povos que sofreram décadas e mesmo séculos de opressão colonial e semi-colonial. 2010 marca o 50º aniversário do começo formal da descolonização em África.

Mais, por todo o lado incluindo na diáspora africana, o cruel legado do tráfico de escravos, do despojo e da rapina coloniais persiste. Apesar de 50 anos de descolonização formal, por todo o lado ase reforça a intervenção imperialista, a dominação dos monopólios, o que acontece com a ajuda do capital doméstico. A luta contra eles exige o protagonismo e a unidade activos das massas populares, e o ampliar dos direitos democráticos populares.

APROFUNDAR AS ALIANÇAS DE CLASSE

A persistência da crise do capitalismo e a sua anti-civilizacional defesa estão a criar as condições para a construção de amplas alianças sociais, anti-monopólio e anti-imperialistas capazes de ganhar o poder e promover mudanças profundas, progressistas, radicais e revolucionárias.
A unidade da classe trabalhadora é um factor fundamental para assegurara construção de alianças sociais efectivas com o campesinato, a massa dos pobres urbanos e rurais, as camadas médias e os intelectuais.

É necessário dar particular atenção às aspirações e desafios com que defronta a juventude.

A questão da terra, a reforma agrária e o desenvolvimento rural são questões importantes para o desenvolvimento da luta popular em países menos desenvolvidos. Estas questões estão inextrincavelmente ligadas à soberania e à segurança alimentar, habitação sustentável, defesa da biodiversidade, protecção dos recursos naturais, e á luta contra os monopólios agro-industriais e os seus agentes locais.

Nestas lutas, as aspirações legítimas e progressistas dos povos indígenas em defesa das suas culturas, línguas e ambientes têm um papel importante.

O PAPEL DOS COMUNISTAS NO FORTALECIMENTO DA FRENTE ANTI-IMPERIALISTA PELA PAZ, A SUSTENTABILIDADE AMBIENTAL, O PROGRESSO E O SOCIALISMO
A crise do imperialismo e a sua contra-ofensiva levam ao desenvolvimento e á diversificação das forças que assumem objectivamente uma posição patriótica e anti-imperialista.

Em todo o mundo, nas diversas realidades nacionais, os comunistas têm a responsabilidade de alargar e reforçar a frente política e anti-imperialista, as lutas pela paz, a sustentabilidade ambiental, o progresso, e de os integrar no combate pelo socialismo. O papel independente dos comunistas e o fortalecimento dos Partidos Comunistas e Operários é essencial para assegurar um perspectiva anti-imperialista coerente de movimentos e frentes mais amplas.

Deve dar-se uma atenção especial à relação existente entre as várias lutas de resistência e a ofensiva ideológica necessária à visibilidade da alternativa socialista e à defesa e desenvolvimento do socialismo científico. A luta ideológica do movimento comunista é de essencial importância para repelir o anticomunismo contemporâneo, para confrontar a ideologia burguesa, as teorias anticientíficas e as correntes oportunistas que rejeitam a luta de classes, e para combater o papel das forças sociais-democratas que defendem e aplicam políticas antipopulares e pró-imperialistas, apoiando a estratégia do capital.

Temos um papel chave na definição das armadilhas teóricas e sobretudo práticas entre os diferentes cenários da luta popular no desenvolvimento da solidariedade de classe internacionalista.

Vivemos uma época histórica onde a transição do capitalismo ao socialismo se tornou um imperativo da civilização. A crise do capitalismo ressalta uma vez mais a natureza inseparável das tarefas de libertação nacional e social e da emancipação nacional e de classe.

Face ao aprofundamento da crise capitalista, a experiência da construção socialista demonstra as condições de superioridade do socialismo.

O fortalecimento da cooperação entre os Partidos Comunistas e Operários e fortalecimento da frente anti-imperialista devem caminhar lado a lado.

Nós, Partidos Comunistas e Operários reunidos em Tshwane, numa situação marcada pela arremetida contra os trabalhadores e as forças populares, mas também com muitas possibilidades para o desenvolvimento da luta, expressamos a nossa profunda solidariedade para com os trabalhadores e os povos nas suas intensas lutas, reiterando a nossa determinação de actuar e lutar lado a lado com as massas trabalhadoras, jovens, mulheres e todos os sectores populares que são vítimas da exploração e opressão capitalistas.

Reafirmamos o nosso apelo ao mais amplo leque de forças populares para que se una a nós na luta comum pelo socialismo que é a única alternativa para o futuro da humanidade.
Salientamos as seguintes e vias principais para o desenvolvimento das nossas acções conjuntas e convergentes:

1. Com o aprofundamento da crise, centralizar-nos-emos no desenvolvimento das lutas operárias e populares pelos direitos laborais e sociais, o fortalecimento do movimento sindical e a sua orientação de classe; a promoção de uma aliança social com os camponeses e outras camadas populares. Daremos atenção especial aos problemas das mulheres e dos jovens que se encontram entre as primeiras vítimas da crise capitalista

2. Face á múltipla agressão imperialista e à agudização das rivalidades inter-imperialistas, intensificaremos a luta anti-imperialista pela paz, contra as guerras imperialistas e a ocupação, contra a perigosa «nova» estratégia e as bases militares estrangeiras da NATO, pela abolição de todas as armas nucleares. Alargaremos uma activa solidariedade internacionalista com todos os povos e movimentos que enfrentam e resistem à opressão, ameaças e agressão imperialistas.

3. Lutaremos resolutamente contra o anticomunismo, as leis, medidas e perseguição anticomunistas, agiremos judicialmente pela legalização dos PCs onde estes estejam ilegalizados. Defenderemos a história do movimento comunista e a contribuição do socialismo no avanço da civilização humana.

4. Afirmaremos a nossa solidariedade com as forças e povos que iniciaram e lutam pela construção do socialista. Reafirmamos a nossa solidariedade com o povo cubano e a sua revolução socialista, continuaremos a opor-nos vigorosamente ao bloqueio e a apoiar a campanha internacional pela liberdade dos Cinco Cubanos.

5. Contribuiremos, no contexto específico das nossas realidades nacionais a reforçar as organizações anti-imperialistas de massas como a FMS, CMP, FMJD, FDIM. Particularmente damos as boas-vindas e saudamos o 17º

Fuente: O Operario/PrensaPopularSolidaria