sábado, 25 de diciembre de 2010

12ème RENCONTRE INTERNATIONALE DES PARTIS COMMUNISTES ET OUVRIERES S' EST TENUE A TSHWANE

Déclaration de Tshwane

La 12ème Rencontre internationale des partis communistes et ouvriers s'est tenue à Tshwane [l'agglomération de Tshwane comprend la ville de Pretoria], en Afrique du sud du 3 au 5 décembre 2010 sous le thème:


« L'approfondissement de la crise systémique du capitalisme. Les tâches des Communistes dans la défense de la souveraineté, l'approfondissement des alliances sociales, et le renforcement de la lutte anti-impérialiste dans la lutte pour la paix, le progrès et le Socialisme ».

102 délégués représentant 51 pays participants de 43 pays et de tous les continents du monde se sont rassemblés afin de faire avancer les efforts déjà réalisés dans les rencontres précédentes, et afin de promouvoir et de développer des actions communes et convergences autour d'une perspective partagée.

L'approfondissement de la crise capitaliste

La situation internationale continue d'être dominée par la persistance et l'approfondissement de la crise du capitalisme. Cette réalité confirme les analyses esquissées dans les déclarations de la 10ème rencontre de Sao Paulo de 2008 et la 11ème de New Delhi en 2009. La crise mondiale actuelle du capitaliste souligne ses limites historiques et la nécessité de son renversement révolutionnaire. Elle montre l'intensification de la contradiction fondamentale du capitalisme entre le caractère social de la production et son appropriation capitaliste privée

La crise est systémique –en dépit des illusions antérieures à 2008 concernant une tendance conjoncturelle contraire, le capitalisme ne peut échapper à sa tendance lourde inhérente, systémique à traverser des cycles d'expansion et de récession. La crise mondiale actuelle est l'expression particulièrement intense d'une crise économique occasionnée par une sur-production capitaliste.

Maintenant, comme dans le passé, il n'y a pas de réponse, dans la logique du capitalisme, à ces crises périodiques autres que la crise elle-même, marquée par la destruction massive et socialement irrationnelle de richesses – ce qui comprend des plans sociaux de masse, des fermetures d'usine, et une attaque généralisée contre les salaires, les retraites, la sécurité sociale et l'érosion du niveau de vie des couches populaires.

C'est pourquoi, à nos deux précédentes rencontres, nous avons bien affirmé que la crise actuelle n'était pas seulement imputable à des défaillances subjectives, à l'avidité des banquiers ou des spéculateurs financiers. Cela reste une crise ancrée dans les caractéristiques systémiques du capitalisme même.

La persistance de la crise est renforcée par d'importants changements dans le rapport de forces international. En particulier, on constate l'actuel déclin relatif de l'hégémonie mondiale économique des Etats-unis, la stagnation générale de la production dans les économies capitalistes les plus avancées, et l'émergence de nouvelles puissances économiques mondiales, notamment la Chine. La crise a intensifié la concurrence entre les centres impérialistes et également entre puissances établies et puissances émergentes.

Ceci comprend la guerre des monnaies menée par les Etats-unis; la concentration et la centralisation de la puissance économique et politique au sein de l'Union Européenne renforce sa nature de bloc impérialiste menée par ses principales puissances capitalistes; une nette accentuation des luttes inter-impérialistes pour les marchés et l'accès aux matières premières; l'expansion du militarisme, comprenant le renforcement des alliances agressives (par exemple, le sommet de Lisbonne de l'OTAN avec son « nouveau » et dangereux concept stratégique), la profusion de points régionaux de tension et d'agression (notamment au Proche-orient, en Asie et en Afrique), les coups d'Etat en Amérique Latine, l'intensification des tendances néo-impérialistes à attiser les conflits ethniques et la militarisation croissante de l'Afrique à travers, entre autres, l'AFRICOM.

Dans le même temps, il devient clair que la course du capitalisme à la maximisation du profit, qui nous jette tête baissée vers la destruction des ressources, et de l'environnement en général, pose une grave menace à la pérennité de la civilisation humaine même.

Les élites politiques dans les Etats capitalistes dominants avec leurs diverses propositions pour des « technologies vertes » et de commerce du carbone représente, au mieux, des ajustements qui améliorent la profitabilité du capital tout en approfondissant la marchandisation de la nature, et le transfert des crises du changement climatique vers les pays les moins développés. La crise du système capitaliste que nous affrontons, en tant qu'Humanité, est directement liée à l'incapacité du capitalisme de se reproduire autrement que la poursuite vorace d'une croissance infinie. C'est une crise qui ne peut être dépassée que par l'abolition du capitalisme lui-même.

Confronté à ces réalités, partout le capital contre-attaque, cherchant à maintenir les profits et à transférer le poids de la crise sur le dos des travailleurs en intensifiant l'exploitation basée sur le genre et l'âge, les pauvres ruraux et urbains, et un large éventail des couches moyennes. L'exploitation s'intensifie, l'État est utilisé pour venir à la rescousse des banquiers privés et des établissements financiers tandis que l'on expose les générations futures à des niveaux d'endettement insoutenables, et que des efforts s'intensifient pour revenir sur les acquis sociaux.
Dans l'ensemble du monde capitaliste, les acquis sociaux, économiques, politiques des travailleurs ainsi que le droit à la sécurité sociale sont en train d'être supprimés.

Dans le même temps, les systèmes politiques deviennent de plus réactionnaires, restreignant les libertés démocratiques et civiles, en particulier les droits syndicaux. La politique de réduction des dépenses, ce qui comprend les coupes massives dans les dépenses dans le secteur public, ont un impact dévastateur sur les travailleurs et en particulier sur les travailleuses.

Il existe également des tentatives de détournement de la détresse et de l'insécurité populaires vers la démagogie réactionnaire, le racisme et la xénophobie, tout comme de légitimation de forces fascistes. Ce sont des expressions de tendances anti-démocratiques et autoritaires également marquées par l'escalade des offensives et campagnes anti-communistes, dans de nombreuses parties du monde. En Afrique, en Asie et en Amérique latine, nous sommes les témoins du fait que sont imposés aux peuples de nouvelles machines d'oppression nationale et de classe, ce par l'utilisation de moyens économiques, financiers, politiques et militaires tout comme par le déploiement de toute une série d'ONG pro-impérialistes.

Cependant, pour la grande masse des peuples, en particulier en Afrique, en Asie et en Amérique latine, il est important de rappeler que, même avant la crise économique mondiale actuelle, la vie sous le capitalisme a été une crise continue, une lutte quotidienne pour la simple survie. Même avant la crise mondiale actuelle, un milliard de personnes vivaient dans des bidonvilles misérables, et la moitié de la population mondiale survivait avec moins de 2 dollars par jour. Avec la crise, ces réalités se sont grandement aggravées.

La plupart de ces pauvres urbains et ruraux, ainsi que les membres de leur famille travaillant comme immigrants vulnérables en pays étrangers, sont des personnes déplacées victimes de ce développement capitaliste agraire accélérée en cours en Afrique, en Asie et en Amérique latine. Le capitalisme mondial, dont les fers de lance sont les grandes entreprises multi-nationales du secteur agro-alimentaire, a déclaré la guerre à près de la moitié de l'humanité – ces trois millions restant les ruraux d'Afrique, d'Asie et d'Amérique latine.

Dans le même temps, des obstacles inhumains sont mis en place contre les immigrants et les réfugiés. Il y a prolifération constante des bidonvilles urbains et semi-urbains peuplés par des masses marginalisées désespérées généralement impliquées dans une variété d'activités pour survivre. La transformation capitaliste agraire accélérée dans les pays avec un niveau de développement capitaliste moindre a des implications génocidaires.

L'importance des luttes de résistance de la classe ouvrière et des forces populaires

Partout dans le monde, les tentatives du capital de faire porter tout le poids de la crise par les travailleurs et les pauvres se heurtent à la résistance du peuple et de la classe ouvrière.

Au cours de l'année écoulée, les offensives anti-populaires contre les droits des travailleurs, le droit à la sécurité sociale et les salaires a provoqué une escalade des luttes populaires, notamment en Europe.

Les agressions impérialistes au Moyen-orient, en Asie et en Amérique latine continue à affronter une résistance populaire résolue.

En Afrique et en Amérique latine, les forces anti-impérialistes, les syndicats et les mouvements soicaux ont intensifié leurs luttes pour les droits du peuple et contre le pillage par les multi-nationales. Ces luttes ont, dans certains cas, mené à l'émergence de gouvernements progressistes, national-populaires qui s'affichent programmatiquement pour la souveraineté nationale, les droits sociaux, le développement et la protection de leurs ressources naturelles et de la bio-diversité, donnant un élan nouveau à la lutte anti-impérialiste.

Dans la réalité actuelle, c'est un impératif historique que les Partis communistes et ouvriers participent au renforcement et à la transformation de ces batailles populaires défensives en luttes offensives pour l'acquisition de nouveaux droits populaires et sociaux et pour l'abolition du capitalisme.

En mettant en avant cet agenda stratégique, les communistes soulignent l'importance que l'organisation de la classe ouvrière, et le développement des luttes du mouvement ouvrier sur des positions de classe, a dans la lutte pour la conquête du pouvoir politique par la classe ouvrière et ses alliés.

Dans le cadre de cette lutte, nous attachons une importante toute particulière à:

--La défense, la consolidation et le progrès de la souveraineté nationale et populaire;

--L'approfondissement des alliances sociales;

--Le renforcement du front anti-impérialiste pour la paix, pour le droit à des emplois stables à temps plein, pour des droits sociaux des travailleurs, tels que la santé et l'éducation gratuites.

La défense, la consolidation et le progrès de la souveraineté populaire

Face à l'intensification de l'agression par le capital trans-national, la lutte contre l'occupation impérialiste de certains pays, contre la dépendance économique et politique et pour la défense de la souveraineté populaire est devenue de plus en plus cruciale. Dans ces luttes, il est important pour les communistes d'intégrer ces luttes à la lutte pour l'émancipation sociale et de classe.

Les communistes, luttant contre l'impérialisme, luttent pour des relations internationales équitables entre les Etats et les peuples, sur une base mutuellement avantageuse.

La défense, la consolidation et le progrès de la souveraineté populaire est d'une importance particulière en Afrique et pour les autres peuples qui ont enduré des décennies voire des siècles d'oppression coloniale et semi-coloniale. 2010 marque le 50ème anniversaire des débuts du processus formel de dé-colonisation en Afrique.

Pourtant partout dans le monde, y compris dans la diaspora Africaine, le sombre héritage de la traite des esclaves, de la dépossession et du pillage coloniaux persistent. Malgré 50 ans de décolonisation formelle, partout les interventions impérialistes se renforcent, la domination des monopoles se consolide avec l'aide du capital national. La lutte contre eux nécessite que les masses populaires soient unies et jouent un rôle de premier plan dans la conquête de nouveaux droits démocratiques et populaires.

L'approfondissement des alliances sociales

La crise actuelle du capitalisme et sa contre-attaque anti-civilisationnelle crée les conditions de la construction de larges alliances sociales anti-monopolistes et anti-impérialistes capables de conquérir le pouvoir et de faire avancer des transformations profondes, progressistes, radicales et révolutionnaires.

L'unité de la classe ouvrière est un facteur fondamental dans la garantie de la construction d'alliances sociales effectives avec la paysannerie, la masse des pauvres ruraux et urbains, les couches moyennesurbaines et les intellectuels. Une attention particulière doit être apportée aux aspirations et aux défis auxquels est confrontée la jeunesse.

La question de la terre, la réforme agraire et le développement rural sont des questions importantes pour le développement de la lutte populaire dans les pays moins développés. Elles sont inextricablement liées à la souveraineté et la sécurité alimentaires, la pérennité des conditions de vie, la défense de la bio-diversité, la protection des ressources naturelles, et la lutte contre les monopoles agro-alimentaires et leurs agents locaux.

Dans ces luttes, les aspirations légitimes et progressistes des peuples autochtonespour la défense de leurs cultures, langues et environnements ont un rôle important.

Le rôle des communistes dans le renforcement du front anti-impérialiste pour la paix, un environnement durable, le progrès et le socialisme

La crise et la contre-attaque de l'impérialisme mènent à l'élargissement et la diversification des forces qui objectivementprennent une position patriotique et anti-impérialiste. Partout, dans nos réalités diverses, les Communistes ont une responsabilité pour élargir et renforcer le front politique et social anti-impérialiste, les luttes pour la paix, la durabilité environnementale, le progrès et pour les intégrer à la lutte pour le socialisme. Le rôle indépendant des Communistes et le renforcement des partis Communistes et ouvriers est d'une importance vitale pour assurer une perspective anti-impérialiste conséquentede constitution de fronts et de mouvements plus larges.

Une attention particulière doit être accordée à la relation existant entre les différentes luttes de résistance et la nécessaire offensive idéologique pour la visibilité de l'alternative du socialisme et de la défense et du développement du socialisme scientifique. La lutte idéologique du mouvement communiste est d'une importance vitale afin de repousser l'anti-communisme actuellement à l'œuvre, d'affronter l'idéologie bourgeoise, les théories anti-scientifiques et les courants opportunistes qui rejettent la lutte de classe, et de combattre le rôle des forces sociales-démocrates qui défendent et mettent en oeuvres les politiques anti-populaires et pro-impérialistes en soutenant la stratégie du capital.

Nous avons un rôle-clé à jouer en établissant les liens essentiels dans la théorie et surtout en pratiqueentre les différentes scènes de la lutte populaire dans le développement d'une solidarité internationaliste de classe.

Nous vivons dans une époque historique où la transition du capitalisme au socialisme est devenue un impératif civilisationnel. La crise totale du capitalisme souligne une fois de plus la nature inséparable des tâches de libération nationale et d'émancipation sociale, nationale et de classe.

Face à l'approfondissement de la crise capitaliste, les expériences de construction socialiste démontrent les conditions de la supériorité du socialisme.

Le renforcement de la coopération entre Partis communistes et ouvriers et le renforcement du front anti-impérialiste, devraient aller l'un dans l'autre.

Nous, partis Communistes et ouvriers réunis à Tshwane, dans une situation marquée par une offensive massive contre les travailleurs et les forces populaires, mais également avec de nombreuses possibilités pour le développement de la lutte, exprimons notre profonde solidarité avec les travailleurs et les peuples et leurs luttes intense, réaffirmant notre détermination à agir et à lutter cote à cote avec les masses laborieuses, les jeunes, es femmes et toutes les couches populaires victimes de l'exploitation et de l'oppression capitalistes.

Nous réaffirmons notre appel le plus large aux forces populaires afin de nous rejoindre dans une lutte commune pour le socialisme qui est la seule alternative pour l'avenir de l'humanité.

Nous indiquons les principaux axes suivants pour le développement de nos actions communes et convergentes:

Avec l'approfondissement de la crise capitaliste, nous allons nous concentrer sur le développement des luttes ouvrières et populaires pour les droits sociaux et les droits des travailleurs, le renforcement du mouvement syndical sur des positions de classe; la promotion d'alliances sociales avec les paysans et les autres couches populaires. Une attention particulière doit être accordée aux problèmes des femmes et des jeunes qui sont parmi les premières victimes de la crise capitaliste.

Face à l'agression impérialiste tout azimuts et à l'intensification des rivalités inter-impérialistes, nous allons intensifier la lutte anti-impérialiste pour la paix, contre les guerres et les occupations impérialistes, contre la dangereuse « nouvelle » stratégie de l'OTAN et les bases militaires étrangères, et pour le démantèlement de toutes les armes nucléaires. Nous allons étendre la solidarité internationale active avec tous les peuples et mouvements affrontant et résistant à l'oppression, aux menaces et aux agressions impérialistes.

Nous allons avec résolution lutter contre l'anti-communisme, les lois, mesures et la persécution anti-communistes; pour demander la légalisation des Partis communistes là où ils ont été interdits. Nous allons défendre l'histoire du mouvement communiste, la contribution du socialisme au progrès de la civilisation humaine.

Nous affirmons notre solidarité avec les forces et les peuples engagés dans la lutte pour la construction du socialisme. Nous réaffirmons notre solidarité avec le peuple Cubain et leur révolution socialiste, et nous continuerons à nous opposer vigoureusement au blocus et à soutenir la campagne internationale pour la libération des 5 cubains.

Nous contribuerons, dans le contexte particulier de nos réalités nationales, au renforcement des organisations de masses internationales anti-impérialistes, telles que la FSM, le Conseil mondial pour la paix, la Fédération mondiale de la jeunesse démocratique, la Fédération démocratique internationale des femmes.

Nous accueillons et saluons tout particulièrement la tenue du 17ème Festival mondial de la jeunesse et des étudiants en Afrique du sud, du 13 au 21 décembre 2010.

Fuente: Solidarité Internationale PCF/PrensaPopularSolidaria
http://prensapopular-comunistasmiranda.blogspot.com/
Correo: pcvmirandasrp@gmail.com

EL PROBLEMA DEL AGUA EN EL ZULIA

Por: Alfredo Schmilinsky Ochoa

Amigos del PCV, yo creo que ya va siendo hora de que se hagan respetar por este exclusivo y excluyente gobierno chavista. Esto lo decimos, porque la alianza que su máximo dirigente propone a los demás sectores progresitas del país es una alianza basada en la imposición arbitraria de sus decisiones; en el acatamiento incondicional de hechos que por irracionales e irreflexivos, atentan no sólo contra el propio Proceso, sino también contra toda posibiolidad de construir una alianza lo Suficientemente fuerte que permita enfrentar exitosamente los embates del imperialismo y de la reacción interna y externa.


Un ejemplo de esto es lo que está sucediendo con el gravísimo problema del agua aquí en Maracaibo y cuyo artífice es el sobrino de Rodríguez Araque, Freddy Rodríguez, presidente de Hidrolago, un verdadero...ciudadanooo....que cuenta con el apoyo incondicional de Chávez.

Este sujeto, el inefable sobrinito ha cometido tantos abusos y atropellos al frente de la empresa que preside, que hasta está cobrando las reconexiones, cosa que nunca ningún gobierno, por muy degenerado y ladrón que haya sido, se había atrevido a hacer. Pero eso no es todo, porque ha agravado tanto el problema de agua en esta ciudad que la gente añora la Cuarta República.

Es verdad que quien estableció el racionamiento del agua fue el primer gobierno de Rafael Caldera. Y se hizo sobre la base de un día con agua y un día sin ella. Lo característico de este racionamiento era, a pesar de que setrataba de algo sumamente irregular, que se cumplía estrictamente, es decir, 24 horas por 24 horas completas.

Ahora, después de 12 años de gobierno Chávista nadie sabe después de que se ha ido el agua cuando regresará. Formalmente el racionamiento se ha extendio a un día con agua y dos sin ella, pero eso no se cumple rigurosamente.

Ahora lo verdaderamente trágico de esta situación es que a quienes más duramente golpea este ..seeñoor..., como lo podrán ver en las dos notas de prensa que les adjunto, es a los sectores de más bajos recursos a quienes le vende el agua más caro que al resto de la poblción, incluyendo los más ricos.

Respuesta a un correo de ustedes del día de ayer, o sea, del día 22, donde me informan que en Aporrea no quitan artículos, sino que ellos desaparecen a medida que van bajando.

Les envío el texto que a través de un correo me dirigieron los amigos del PCV de los Guayos el 25 de noviembre a las 7,05,27 de la mañana del día señalado. Ese correo dice así: "le copio el artículo que publicaron y borraron como evidencia. Pensé que no lo tenía pero lo había guardado".

Y me envían copia del artículo que ustedes publicaron el 24 de noviembre y que, de no haber sido por ellos yo ni me hubiera enterado. Ahora, ¿por qué me lo envían? Porque fue tan abruptamente sacado de la página que pensaron con muy buen juicio, por cierto, que yo no había tenido tiempo de leer. Y tenían razón.

Ahora, ¿qué les he hecho yo a ustedes? ¿por qué esa discriminación para conmigo?

Si es porque en ocasiones cuestiono algunas decisiones del Presidente, es necesario que sepan que si lo hago es porque considero que esas decisiones atentan contra la estabilidad del Proceso.

Por ejemplo, una de mis críticas más fuertes que yo le hago al Presidente Chávez es el apoyo incondicional que le brinda a un verdadero malandro como Freddy Rodríguez, sobrino de Rodríguez Araque y Presidente de Hidrolago y que ha sido junto con María de Queipo y Durán Centenos, curruñas de Chávez, los grandes culpables de que el Zulia se haya perdido para la Revolución.

Para que tengan una leve idea del daño que ese sujeto le ha hecho al chavismo en el Zulia, les copio una nota de prensa publicada en Panorama del día de hoy, página 5 del primer cuerpo y en el extremo superior derecho de dicha página.

Esa nota dice así: "En San Jacinto exigen agua


Más de 20 días sin agua tienen los vecinos de los sectores 4 y 5 de la Urbanización San Jacinto, ubicada en el norte de Maracaibo.

Cansados de este padecimiento ,ayer, (sic) protestaron en la entrada de la comunidad.
Rosa Rodríguez, vecina del sector 4, contó que la única forma de agarrar agua para los quehaceres de la casa es cuando llueve.

"Llamamos varias veces a Hidrolago y la respuesta que nos dan es que van a verificar el estado de las tuberías, pero nadie viene. Damos chance hasta el viernes sino tomaremos la sede de la empresa, dijo”. Ahora ¿quien es más enemigo de este Proceso, Chávez o yo?

Aalfredo Schmilinsky Ochoa

Fuente: PrensaPopularSolidaria
http://prensapopular-comunistasmiranda.blogspot.com/
Correo: pcvmirandasrp@gmail.com .

PARTIDO COMUNISTA EN PATERNA PAÍS VALENCIANO, ESPAÑA ELIGE COMITÉ LOCAL

El Partido Comunista elige un nuevo Comité Local en Paterna e inicia su Reconstrucción en la localidad ::
La Reconstrucción del Partido Comunista es una necesidad histórica que vamos a cumplir

El Partido Comunista de Paterna (PCPV-PCE) celebró esta semana el Pleno de su Agrupación Local, al que también asistieron como invitados simpatizantes comunistas, y en el que se eligió un Comité Local decidido a “Reconstruir y fortalecer al máximo la organización en Paterna”.

El nuevo Comité Local está formado, entre otros, por Javier Parra como nuevo Responsable Político, Teodoro Viana como Responsable de Organización, Vicente Veintimillas, junto a otros jóvenes e históricos militantes comunistas.

Desde el Partido Comunista de Paterna anunciamos que en esta nueva etapa nos comprometemos a poner lo mejor de nosotros mismos – como siempre hemos hecho los comunistas – para recuperar la tradición republicana y de izquierdas del municipio de Paterna, y a poner nuestra organización al servicio de la ciudadanía para mejorar sus condiciones de vida, laborales, culturales y educativas.

Estamos seguros que los comunistas de Paterna volveremos a ser un referente para las gentes de izquierdas de la localidad, y hacemos un llamamiento a jóvenes y veteranos comunistas, simpatizantes y comunistas sin Partido, a ayudar a reconstruir el PCE en Paterna.

Queremos anunciar, además, que a partir de ahora los comunistas volveremos a estar presentes en las calles de Paterna y nos comprometemos a luchar codo con codo con todas las gentes y colectivos de izquierdas para enfrentar las políticas de derechas, que en Paterna y el País Valenciano, pero también en España y el resto de Europa han querido poner contra las cuerdas a los trabajadores y usurparles los derechos que tantos sacrificios costó conquistar.

Por eso, la Reconstrucción del Partido Comunista es una necesidad histórica.
Fuente: Paterna Roja/PrensaPopularSolidaria

12" ENCONTRO INTERNACIONAL DE PARTIDOS COMUNISTAS E OPERÁRIOS

3-5 Diciembre 2010, Tshwane, África do Sul

DECLARAÇÃO DE TSHWANE

As tarefas dos comunistas em defesa da soberania, do aprofundamento das alianças sociais, o fortalecimento da frente anti-imperialista na luta pela paz, pelo progresso e pelo Socialismo».

O 12º Encontro Internacional de Partidos Comunistas e Operários teve lugar em Tshwane, África do Sul, de 3 a 5 de Dezembro sob o lema «O aprofundamento da crise sistémica do capitalismo. As tarefas dos comunistas em defesa da soberania, do aprofundamento das alianças sociais, o fortalecimento da frente anti-imperialista na luta pela paz, pelo progresso e pelo Socialismo».

102 delegados em representação de 51 partidos participantes de 43 países e de todos os continentes do mundo reuniram-se para avançar o trabalho das nossas reuniões prévias, e para promover e desenvolver uma acção comum e convergente à volta de uma perspectiva comum.

O APROFUNDAMENTO DA CRISE CAPITALISTA

A situação internacional continua a ser dominada pela persistência e desenvolvimento do capitalismo. Esta realidade vem confirmar as análises esboçadas nas Declarações dos nossos encontros internacionais de 10 e 11 em S. Paulo e Nova Deli. A actual crise do capitalismo põe em relevo as suas limitações históricas e a necessidade do seu derrube revolucionário. Mostra a intensificação das contradições básicas do capitalismo que existem entre o carácter social da produção e a sua apropriação privada capitalista.

A crise é sistémica – apesar das ilusões capitalistas em contrário antes de 2008, o capitalismo não pode escapar à sua tendência sistémica interna de atravessar ciclos de desenvolvimento e de estagnação. A actual crise global é uma manifestação particularmente severo de um debilitamento capitalista provocada pela sobreprodução capitalista.

Agora, tal como no passado, não há saída, dentro da lógica do capitalismo, para estas crises periódicas para além da própria crise, marcada pela massiva e socialmente irracional destruição de bens – incluindo despedimentos massivos, encerramento de fábricas e o ataque sistemático aos salários, às pensões, à segurança social e à erosão do sustento do povo.

Esta é a razão pela qual, nos nossos anteriores encontros, afirmámos correctamente que a actual crise não era apenas atribuível a erros subjectivos, à avareza dos banqueiros ou a especuladores financeiros. Continua a tratar-se de uma crise marcada pelos traços sistémicos do próprio capitalismo.

A persistente crise acentua-se por significativas alterações na correlação internacional de forças. De forma particular, está em curso um queda relativa da hegemonia económica dos EUA, uma estagnação geral da produção nas economias capitalistas mais avançadas, e a emergência de novos poderes económicos, nomeadamente da China.A crise intensificou a concorrência entre os centros imperialistas e também entre os poderes estabelecidos e os emergentes.

Isto inclui a guerra das divisas dirigida pelos EUA, a concentração e centralização do poder económico e político nos EUA que aprofunda o seu carácter de bloco imperialista dirigido pelos seus poderes capitalistas, uma agudização da confrontação inter-imperialista pelos mercados e o acesso a matérias-primas, a expansão do militarismo, incluindo alianças agressivas (por exemplo a Cimeira da NATO em Lisboa com a sua «nova» e perigosa concepção estratégica), a profusão de pontos de tensão e agressão localizados (particularmente no Médio oriente, na Ásia e em África), golpes de estado na América Latina, a intensificação das tendências neo-imperialistas de avivar os conflitos étnicos e o aumento da militarização através, entre outras coisas, do AFRICOM.

Simultaneamente, tornou-se claro que a trajectória do capitalismo com a sua maximização de lucros, a irreflectida destruição dos recursos naturais e do ambiente em geral representa um sério perigo para a sustentabilidade da própria civilização humana. As elites políticas dos estados capitalistas dominantes com as suas propostas de «tecnologias verdes» e transacção de níveis de emissão de CO2 no melhor dos casos representam ajustamentos que aumentam os lucros do capital ao mesmo tempo que aumentam a mercantilização da natureza, e transferem o custo da crise da mudança climática para nações menos desenvolvidas.

A crise do sistema capitalista que enfrentamos como género humano está directamente ligada à incapacidade do capitalismo se reproduzir salvo com uma voraz procura da acumulação. É uma crise que só pode superar-se com a abolição do próprio capitalismo.

Confrontado com estas realidades, o capitalismo tem de defender-se em todo o lado, procurando preservar os seus lucros e transferir o peso da crise para a classe operária através da intensificação da exploração baseada no género e na idade, nos pobres da cidade e do campo, e numa ampla variedade de camadas médias.
A exploração intensifica-se, o Estado é usado para resgatar os banqueiros privados e sociedades financeiras enquanto expõe as gerações futuras a níveis insustentáveis da dívida, e redobra os esforços para reduzir as conquistas sociais.

Em todo o mundo capitalista são abolidos os direitos laborais, sociais, económicos, políticos e de segurança social. Ao mesmo tempo, os sistemas políticos tornam-se mais reaccionários, restringem as liberdades democráticas e civis, especialmente os direitos sindicais. As reduções, incluindo os enormes cortes no sector público, estão a ter um impacte devastador nos trabalhadores, particularmente nas mulheres trabalhadoras.

Há também tentativas de desviar os descontentamento e a insegurança popular para a demagogia reaccionária, o racismo e a xenofobia, bem como a legitimação de forças fascistas. Estas são expressões de tendências antidemocráticas e autoritárias marcadas, também, por uma escalada dos ataques e campanhas anticomunistas em muitos países do mundo. Em África, Ásia e América Latina constatamos a imposição aos nossos povos de novos mecanismos de opressão nacional e classista, por meios económicos, financeiros, políticos e militares e ainda o desenvolvimento de um exército de ONG’s pró imperialistas.

No entanto, para as massas populares, particularmente de África, +Ásia e América Latina, é importante recordar que já antes da actual crise económica global a vida em capitalismo era uma crise permanente, uma luta diária pela simples sobrevivência. Inclusive antes da actual crise global, mil milhões de pessoas viviam em pocilgas sórdidas, e metade da população mundial sobrevivia com menos de 2 dólares por dia. Com a crise estas realidades agravaram-se massivamente.
A maior parte destes pobres urbanos e rurais, juntamente com familiares que trabalham como emigrantes vulneráveis em países estrangeiros, são as vítimas marginalizadas do desenvolvimento agrário capitalista acelerado em curso em África, Ásia e América Latina. O capitalismo global, encabeçado pelas maiores corporações do sector agro-industrial, declarou guerra a quase metade da humanidade. – três mil milhões de camponeses que vivem em África, Ásia e América Latina.

Ao mesmo tempo estabelecem-se barreiras inumanas contra os imigrantes e refugiados. Há um sempre crescente aumento de bairros urbanos degradados e meios humanos povoados por desesperadas massas marginalizadas envolvidas numa variedade de actividades de sobrevivência. A acelerada transformação agrária capitalista em países com um nível mais baixo de desenvolvimento capitalista tem consequências genocidas.

A IMPORTÂNCIA DAS LUTAS DE RESISTÊNCIA DA CLASSE TRABALHADORA E DAS FORÇAS POPULARES

Em todo o mundo, as tentativas de fazer cair o peso da crise sobre os trabalhadores e os pobres enfrenta a resistência popular e da classe trabalhadora.
Nos últimos anos o assalto antipopular contra os direitos laborais, a segurança social e os salários provocaram uma escalada das lutas populares, particularmente na Europa.
A agressão imperialista no Médio Oriente, na Ásia e na América Latina continua a enfrentar a decidida resistência popular.

Em África e na América Latina as forças anti-imperialistas, os sindicatos e os movimentos sociais multiplicaram as suas lutas pelos direitos populares e contra o saque das multinacionais. Em alguns casos, estas lutas levaram à emergência de governos progressistas, governos patrióticos populares que se assumem programaticamente pela soberania nacional, os direitos sociais, o desenvolvimento e pela protecção dos seus recursos e a biodiversidade nacionais, dando um novo e renovado impulso à luta anti-imperialista.

Na actual realidade, é um imperativo histórico que os Partidos Comunistas e Operários participem no fortalecimento e transformação destas batalhas defensivas populares em lutas ofensivas pela aquisição de direitos operários e populares mais amplos e a abolição do capitalismo.

Ao avançar com esta agenda estratégica, os comunistas põem o acento tónico na importância que têm a organização da classe trabalhadora, o desenvolvimento das lutas do movimento operário numa direcção de classe, na luta pela conquista do poder político para os trabalhadores e os seus aliados.

No âmbito desta luta damos particular importância:

• À defesa, consolidação e avanço da soberania nacional popular;

• Ao aprofundamento das alianças sociais;

• Ao fortalecimento da frente anti-imperialista pela paz, o direito a um trabalho estável e a tempo inteiro, a direitos laborais e sociais tais como a educação e a saúde gratuitas.

A DEFESA, CONSOLIDAÇÃO E AVANÇO DA SOBERANIA POPULAR

Perante a intensificação da agressão do capital transnacional, a luta contra a ocupação imperialista de países, contra a dependência económica e política e para a defesa da soberania popular é cada vez mais relevante. Nestas lutas é importante que os comunistas integrem estas lutas com a luta para a emancipação social e de classe.

Ao lutarem contra o imperialismo, os comunistas lutam por relações internacionais equitativas entre os estados e os povos, na base do benefício mútuo.

A defesa, consolidação e avanço da soberania popular são de importância particular para África e para os outros povos que sofreram décadas e mesmo séculos de opressão colonial e semi-colonial. 2010 marca o 50º aniversário do começo formal da descolonização em África.

Mais, por todo o lado incluindo na diáspora africana, o cruel legado do tráfico de escravos, do despojo e da rapina coloniais persiste. Apesar de 50 anos de descolonização formal, por todo o lado ase reforça a intervenção imperialista, a dominação dos monopólios, o que acontece com a ajuda do capital doméstico. A luta contra eles exige o protagonismo e a unidade activos das massas populares, e o ampliar dos direitos democráticos populares.

APROFUNDAR AS ALIANÇAS DE CLASSE

A persistência da crise do capitalismo e a sua anti-civilizacional defesa estão a criar as condições para a construção de amplas alianças sociais, anti-monopólio e anti-imperialistas capazes de ganhar o poder e promover mudanças profundas, progressistas, radicais e revolucionárias.
A unidade da classe trabalhadora é um factor fundamental para assegurara construção de alianças sociais efectivas com o campesinato, a massa dos pobres urbanos e rurais, as camadas médias e os intelectuais.

É necessário dar particular atenção às aspirações e desafios com que defronta a juventude.

A questão da terra, a reforma agrária e o desenvolvimento rural são questões importantes para o desenvolvimento da luta popular em países menos desenvolvidos. Estas questões estão inextrincavelmente ligadas à soberania e à segurança alimentar, habitação sustentável, defesa da biodiversidade, protecção dos recursos naturais, e á luta contra os monopólios agro-industriais e os seus agentes locais.

Nestas lutas, as aspirações legítimas e progressistas dos povos indígenas em defesa das suas culturas, línguas e ambientes têm um papel importante.

O PAPEL DOS COMUNISTAS NO FORTALECIMENTO DA FRENTE ANTI-IMPERIALISTA PELA PAZ, A SUSTENTABILIDADE AMBIENTAL, O PROGRESSO E O SOCIALISMO
A crise do imperialismo e a sua contra-ofensiva levam ao desenvolvimento e á diversificação das forças que assumem objectivamente uma posição patriótica e anti-imperialista.

Em todo o mundo, nas diversas realidades nacionais, os comunistas têm a responsabilidade de alargar e reforçar a frente política e anti-imperialista, as lutas pela paz, a sustentabilidade ambiental, o progresso, e de os integrar no combate pelo socialismo. O papel independente dos comunistas e o fortalecimento dos Partidos Comunistas e Operários é essencial para assegurar um perspectiva anti-imperialista coerente de movimentos e frentes mais amplas.

Deve dar-se uma atenção especial à relação existente entre as várias lutas de resistência e a ofensiva ideológica necessária à visibilidade da alternativa socialista e à defesa e desenvolvimento do socialismo científico. A luta ideológica do movimento comunista é de essencial importância para repelir o anticomunismo contemporâneo, para confrontar a ideologia burguesa, as teorias anticientíficas e as correntes oportunistas que rejeitam a luta de classes, e para combater o papel das forças sociais-democratas que defendem e aplicam políticas antipopulares e pró-imperialistas, apoiando a estratégia do capital.

Temos um papel chave na definição das armadilhas teóricas e sobretudo práticas entre os diferentes cenários da luta popular no desenvolvimento da solidariedade de classe internacionalista.

Vivemos uma época histórica onde a transição do capitalismo ao socialismo se tornou um imperativo da civilização. A crise do capitalismo ressalta uma vez mais a natureza inseparável das tarefas de libertação nacional e social e da emancipação nacional e de classe.

Face ao aprofundamento da crise capitalista, a experiência da construção socialista demonstra as condições de superioridade do socialismo.

O fortalecimento da cooperação entre os Partidos Comunistas e Operários e fortalecimento da frente anti-imperialista devem caminhar lado a lado.

Nós, Partidos Comunistas e Operários reunidos em Tshwane, numa situação marcada pela arremetida contra os trabalhadores e as forças populares, mas também com muitas possibilidades para o desenvolvimento da luta, expressamos a nossa profunda solidariedade para com os trabalhadores e os povos nas suas intensas lutas, reiterando a nossa determinação de actuar e lutar lado a lado com as massas trabalhadoras, jovens, mulheres e todos os sectores populares que são vítimas da exploração e opressão capitalistas.

Reafirmamos o nosso apelo ao mais amplo leque de forças populares para que se una a nós na luta comum pelo socialismo que é a única alternativa para o futuro da humanidade.
Salientamos as seguintes e vias principais para o desenvolvimento das nossas acções conjuntas e convergentes:

1. Com o aprofundamento da crise, centralizar-nos-emos no desenvolvimento das lutas operárias e populares pelos direitos laborais e sociais, o fortalecimento do movimento sindical e a sua orientação de classe; a promoção de uma aliança social com os camponeses e outras camadas populares. Daremos atenção especial aos problemas das mulheres e dos jovens que se encontram entre as primeiras vítimas da crise capitalista

2. Face á múltipla agressão imperialista e à agudização das rivalidades inter-imperialistas, intensificaremos a luta anti-imperialista pela paz, contra as guerras imperialistas e a ocupação, contra a perigosa «nova» estratégia e as bases militares estrangeiras da NATO, pela abolição de todas as armas nucleares. Alargaremos uma activa solidariedade internacionalista com todos os povos e movimentos que enfrentam e resistem à opressão, ameaças e agressão imperialistas.

3. Lutaremos resolutamente contra o anticomunismo, as leis, medidas e perseguição anticomunistas, agiremos judicialmente pela legalização dos PCs onde estes estejam ilegalizados. Defenderemos a história do movimento comunista e a contribuição do socialismo no avanço da civilização humana.

4. Afirmaremos a nossa solidariedade com as forças e povos que iniciaram e lutam pela construção do socialista. Reafirmamos a nossa solidariedade com o povo cubano e a sua revolução socialista, continuaremos a opor-nos vigorosamente ao bloqueio e a apoiar a campanha internacional pela liberdade dos Cinco Cubanos.

5. Contribuiremos, no contexto específico das nossas realidades nacionais a reforçar as organizações anti-imperialistas de massas como a FMS, CMP, FMJD, FDIM. Particularmente damos as boas-vindas e saudamos o 17º

Fuente: O Operario/PrensaPopularSolidaria

viernes, 24 de diciembre de 2010

EL SALVADOR:MODESTO RAMÌREZ, LÌDER REVOLUCIONARIO Y COMUNISTA EJEMPLAR DE EL SALVADOR








 Por. Manuel Màrmol
SU ENTREGA REVOLUCIONARIA
La vida de salvadoreños consagrados a la causa revolucionaria debe ser conocida a fondo para emularles.
Carlos Modesto Ramírez descendió de padres muy pobres, por lo que no tuvo una infancia feliz, ni una juventud con adolescencia, hechos por lo que de corta edad trabajó recio. Nació en 1885 en el cantón "Buena Vista" , al Sur del municipio de Soyapango.
Modesto llego a ser un combatiente infatigable que no se dio tregua en sus 56 años de lucha. Por su batallar tenaz, cuando las perspectivas de victoria eran remotas, Modesto se creó problemas difíciles, pero fue indiferente a los sinsabores, indiferente a las amargas vicisitudes de todo género, su compañera de hogar lo abandonó con todo y los hijos. Ya no uso saco ni zapatos, anduvo de camiseta y de caites. El Padre Valdés, sacerdote que oficiaba en las Iglesias de Soyapango, Santo Tomás, San Pedro Perulapán y en otros pueblos donde Modesto activaba, hizo que la feligresía le gritara ¡loco, loco, loco! para fastidiarlo y alejarlo, pero el "ministro" de Dios no consiguió su objetivo. El compañero Ramírez vivió lo más en la clandestinidad, poco en la semilegalidad.
A Modesto se le conoció por doquier, por  "el tío", así se le llamaba cariñosamente y le servía de seguridad, pues no convenía le supieran el nombre. En todas partes los niños salían a su encuentro muy jubilosos, no porque en su cebadera  o bolso (matata) de henequén les acarriara dulces u otras golosinas, sino porque les brindaba cariño, muchas atenciones, y porque les contaba cuentos y chistes improvisados por él.
Caminaba largas distancias a pie por veredas y riscos, como el jaguar o el "cadejo" caminaba en lo oscuro de la noche, atravesaba quebradas y ríos crecidos, para pasar de madrugada pueblos donde las autoridades estaban en su espera. Modesto caminaba a pasos largos y ligeros, para llegar pronto con las últimas noticias y disposiciones de los organismos superiores o de dirección. Por entonces los diarios tenían poca circulación, la mayoría de la gente no sabía leer, no existía la radio ni menos la televisión.
MODESTO RAMÌREZ FUE UN LUCHADOR NATO Y EFECTIVO
Sobre èl caía una gran responsabilidad que solamente el sabia y aceptaba humildemente por amor a la causa revolucionaria.
Muchacho aún en la hacienda Colombia de la familia Escobar, en jurisdicción del municipio de Santiago Texacuangos, paró el trabajo hasta conseguir el salario de 37 centavos como carretero que trasladaba carga a San Salvador.
En 1923. a la sazón en sus 38 años de edad, contactó con obreros de la capital que activaban la organización gremial. Inquieto de la interesa de los obreros, organizó a los trabajadores de la hacienda "Alicia" propiedad del General Suvillaga, en jurisdicción del municipio de Ilopango.
En noviembre de 1924, participó en la fundación de la Federación Regional de Trabajadores de El Salvador (FRTS). Participó como delegado de la organización de asalariados del campo que él creo.
Modesto no sabía leer, pero inquieto de saber, compraba libros, revistas y los diarios para que otro le leyera, colaboró en esto Juancito Vásquez, artesano zapatero de Soyapango. Con su maravillosa retentiva asimilaba cuanto le leían, por eso era sabroso hablar con él. Modesto hablaba de la vida en el Vaticano, de la Papisa Juana, de la Revolución Francesa, de la Revolución de Anastasio Aquino, de la Revolución Agrarista Mexicana de 1910, de la verdad de como los Guirola se habían hecho muy ricos en pocos años, pero no de que haya hecho pacto con el diablo, bueno, hablaba de mucho, además de estar bien informado de lo que a diario ocurría en el mundo.
Su primera área de acción fue una extensa región. Soyapango, Santo Tomás, Santiago Texacuango, San Pedro Perulapán, Santa Cruz Michapa, Olocuilta, San Luis Talpa etc...
Simpatizante de los soviets y admirador de Lenin, fué comunista desde antes de la fundación del Partido Comunista Salvadoreño.
Conservaba muy buenas relaciones con los fundadores del FRTS pero cuando se dió cuenta de la línea reformista-oportunista que tenían, también se puso en su contra en el Congreso extraordinario que juzgó y expulsó a dichos dirigentes.
El séptimo Congreso de la FRTS eligió a Modesto para que los representara en el V Congreso de la Internacional Sindical Roja (ISR) celebrado en la segunda quincena de agosto de 1930 en Moscú, URSS. En ciudades y campos de la Unión Soviética (Moscú, Rostov, Bacú y Tiflis), Modesto observó todo lo que se hacía, con detención y avidez. Observó el sentido de responsabilidad conque los trabajadores construían y reconstruían. Las limitaciones y escaseces que el pueblo soviético vivía no le extrañó, no lo hizo vacilar, pues sabía del bloqueo internacional de que fueron víctimas los soviéticos, de la intervención armada de 14 países imperialistas, de la contrarrevolución desbastadora, y debido al sabotaje que aún existía, organizado y dirigido desde el exterior. Modesto regreso de la URSS, convencido de que los soviéticos llegarían a ser potencia invencible, garante de los demás pueblos en lucha de liberación y paz.
De regreso al país, en condiciones harto difíciles, en reuniones clandestinas, Modesto informo de cuanto había visto y comprendido de la URSS. Desmintió la calumnia de que en la URSS hubiese esclavitud o que eran perseguidos los sacerdotes, que él había asistido a iglesias de Moscú con mucha feligresía; falso de que el Estado arrebatara los niños de mano de sus padres, cierto, sí, de que la tierra y las fábricas eran propiedad de quienes las trabajaban, y todas las riquezas del país del pueblo.
MODESTO ORGANIZADOR DE LA INSURRECCION DEL 1932
Decretada la insurrección el 7 de enero, el compañero participó en la organización del ejército revolucionario, creó los pelotones rojos de diez insurgentes, con su comandante y subcomandante, y puso en tensión a todos los organizados del área que dirigía. La comandancia General de la insurgencia dió la misión a Modesto de no dejar pasar el tren con tropas orientales. El compañero eligió de lugar Santa Cruz Michapa, donde organizó las brigadas de zapadores, misión que cumplió al pie de la letra.
MODESTO CAE PRESO
La detención del Camarada Martí, el 18 de enero por la noche, hizo perder contactos, perturbándose los enlaces. Urgido de informaciones, Modesto Ramírez salió en busca de nuevas instrucciones, siendo capturado en Ilopango, donde se le golpeó y remitió a la Policía Nacional.
MODESTO ENTREVISTADO POR JORGE SCHLESSINGER
Develada la insurrección, Modesto fué entrevistado en su celda por el periodista y escritor guatemalteco Jorge Schlessinger, entrevista que aparece en el libro "sucesos de 1932 en El Salvador", entrevista por cierto interesante respecto a su viaje a la URSS. Al volver Schlessinger donde el Director de la Policía, Coronel Osmín Aguirre y Salinas, oye las descargas de fusilerías, y le dice Osmín a Schlessinger: "ya murió su entrevistado". Schlessinger regresa a Guatemala, creído que Modesto ya era muerto.
Modesto se salvó de ser fusilado junto con otros dirigentes. Con el tiempo Modesto recobró su libertad, para volver a activar en nuevas regiones, en su nueva actividad recorría la costa, llegando hasta Jiquilísco y Usulután, donde fue muy conocido y estimado, como el "tío".
MUERE MODESTO,  EL INFATIGABLE COMBATIENTE DEMOSTRANDO SU FE INQUEBRANTABLE EN EL PARTIDO COMUNISTA Y EL COMUNISMO
Carlos Modesto Ramírez murió en 1969, a los 84 años de edad. Muere con pesar del conflicto armado salvadoreño-hondureño. A esas alturas sabe leer y se informa de todo cuanto ocurre por medio de la prensa diaria. Ya en agonía los compañeros que lo asistes, les pide que les diga algo, les tiende la mirada torva, y balbuceando les dice: "les pido que nunca abandonen el Partido". Dicho esto cerró sus ojos para siempre.

Fuente: PCS/PrensaPopularSolidaria
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HUELGA GENERAL EN EL PAÍS VASCO CONVOCAN PARA EL 27 DE ENERO

Los sindicatos abertzales convocan Huelga General en el País Vasco el 27 de enero

UGT y CCOO podrían convocar el 26


Viernes, 24 de diciembre
Euskadi afrontará el próximo 27 de enero su undécima huelga general de la democracia, después de que ELA, LAB, STEE-EILAS, Ehne e Hiru hayan anunciado esta convocatoria para ese día contra la reforma de las pensiones.

La primera huelga general de la democracia que se secundó en Euskadi fue la convocada el 20 de junio de 1985 contra el Gobierno de Felipe González y su reforma de las pensiones.

El 14 de diciembre de 1988, se hacía un nuevo llamamiento a secundar un paro general, en este caso, para rechazar el Plan de Empleo Juvenil, que los sindicatos consideraban que suponía un "abaratamiento" del despido y la generalización de los contratos "basura" para los jóvenes.

Años después, el 27 de mayo de 1992, en Euskadi se realizaba una nueva huelga general contra el recorte de prestaciones por desempleo. En el resto de España se llevó a cabo un día después.

Posteriormente, el 27 de enero de 1994, nuevamente el País Vasco era escenario de un paro general con motivo de la reforma del mercado de trabajo y los recortes sociales.

Otro de los paros generales fue el desarrollado el 21 de mayo de 1999 a favor de la jornada de 35 horas semanales, que se consiguió aplicar en la administración pública.

En junio de 2002 se produjeron dos huelgas generales contra las medidas de reforma de la protección por desempleo y de la Ley Básica de Empleo aprobadas por el Gobierno de José María Aznar. La primera de ellas, la convocada por los sindicatos nacionalistas el 19 de junio y la otra, un día después, a convocatoria de CC.OO. y UGT.

El pasado año, el 21 de mayo de 2009, pocos días después de que Patxi López accediera a la Lehendakaritza, ELA y LAB convocaron una huelga general contra la apuesta por políticas económicas neoliberales.

En 2010, ELA, LAB, ESK, STEE, Ehne e Hiru llamaron a los trabajadores a secundar el pasado 29 de junio una huelga general contra la reforma laboral. CC.OO. también realizó una convocatoria ese día.

Tres meses después, el 29 de septiembre eran CC.OO., UGT, CGT, ESK y Confederación Intersindical los que hacían un llamamiento a la huelga general, por el mismo motivo, contra la reforma laboral.

La huelga convocada por los sindicatos aberzales sería un día después de la que estarían valorando CCOO y UGT, el 26 de enero.

Fuente: La República.Es/PrensaPopularSolidaria
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jueves, 23 de diciembre de 2010

EN VALENCIA, ESPAÑA: AVANZA EL PARTIDO COMUNISTA CON LA RECONSTRUCCIÓN DEL COMITÉ LOCAL DE PATERNA Y LA PÁGINA "PATERNA ROJA"

Los comunistas de uno de los municipios más importantes del País Valencià anunciaron la Reconstrucción del PCE en Paterna

Los comunistas de Paterna lanzan la web "Paterna Roja"

Jueves, 23 de diciembre

A comienzos de diciembre el Partido Comunista de Paterna anunció su reconstrucción en el municipio con el objetivo de "convertirse de nuevo en el referente para la izquierda de la localidad". A partir de hoy lanza su órgano de comunicación en Paterna, "Paterna Roja" .

Con el objetivo de "ilusionar de nuevo a las gentes de izquierda en Paterna", los comunistas comienzan la actividad decididos a reconstruir la que fue una de las agrupaciones más fuertes del PCPV.

Tras las pasadas elecciones municipales en las que las trásfugas de Compromís traicionaron el acuerdo con EUPV, usurpando sus concejales y ahogando económicamente a la organización, la izquierda no nacionalista ha estado huérfana en Paterna, por lo que la reconstrucción del Partido Comunista, que será el principal interlocutor con los movimientos sociales y el movimiento obrero, es "una necesidad histórica", según señalan.

Fuente: paternaroja.es/La República.Es/PrensaPopularSolidaria
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miércoles, 22 de diciembre de 2010

12th INTERNATIONAL MEETING OF COMMUNIST AND WORKERS’ PARTIES

12th International Meeting of Communist and Workers’ Parties,Tshwane Declaration

Tshwane, South Africa
3–5 December 2010

The 12th International Meeting of Communist and Workers’ Parties took place in Tshwane, South Africa from the 3rd to the 5th of December 2010 with theme “The deepening systemic crisis of capitalism. The tasks of Communists in defence of sovereignty, deepening social alliances, strengthening the anti-imperialist front in the struggle for peace, progress and Socialism.”

102 delegates representing 51 participating Parties from 43 countries and from all continents of the world came together in order to take forward the work of our previous meetings, and to promote and develop common and convergent action around a shared perspective.

The deepening capitalist crisis

The international situation continues to be dominated by the persisting and deepening crisis of capitalism. This reality confirms the analyses outlined in the declarations of our 2008 São Paulo and 2009 New Delhi 10th and 11th International Meetings. The current global crisis of capitalism underlines its historical limitations and the need for its revolutionary overthrow. It shows the intensification of the basic contradiction of capitalism between the social character of production and the private capitalist appropriation.

The crisis is systemic—despite pre-2008 capitalist illusions to the contrary, capitalism cannot escape its in-built, systemic tendency to go through cycles of boom and bust. The current global crisis is a particularly severe manifestation of a capitalist downturn occasioned by capitalist over-production. Now, as in the past, there is no answer, within the logic of capitalism, to these periodic crises other than crisis itself, marked by the massive and socially irrational destruction of assets—including mass job lay-offs, factory closures, and the wholesale attack on wages, pensions, social security and erosion of people’s livelihoods. This is why, at our previous two meetings, we correctly asserted that the current crisis was not merely attributable to subjective failings, to the greed of bankers or financial speculators. It remains a crisis embedded in the systemic features of capitalism itself.

The persisting crisis is compounded by significant shifts in the international balance of forces. In particular, there is the on-going relative decline of US economic global hegemony, general productive stagnation in most advanced capitalist economies, and the emergence of new global economic powers, notably China. The crisis has intensified the competition between the imperialist centres and also between the established and emerging powers.

This includes the US-led currency war; the concentration and centralization of economic and political power within the EU deepening its character as an imperialist block led by its main capitalist powers; a distinct sharpening of the inter-imperialist struggle for markets and access to raw materials; expanding militarism, including the strengthening of aggressive alliances (for example, the NATO Lisbon Summit with its “new” dangerous strategic concept), the profusion of regional points of tension and aggression (notably in the Middle East, Asia and Africa), coups in Latin America, the intensification of neo-imperialist tendencies of fanning ethnic conflicts and the increasing militarization of Africa through, amongst other things, AFRICOM.

At the same time it has become clear that capitalism’s trajectory with its profit-maximising, headlong destruction of natural resources, and of the environment in general poses a grave threat to the sustainability of human civilization itself. The political elites in the dominant capitalist states with their various proposals for “green technologies” and carbon trading at best represent adjustments which increase the profitability of capital while deepening the commodification of nature, and the transfer of climate change crises onto less developed countries.

The crisis of the capitalist system that we face as humankind is directly linked to capitalism’s inability to reproduce itself except through a voracious pursuit of compound growth. It is a crisis that can only be overcome through the abolition of capitalism itself.

Faced with these realities, everywhere capital fights back, seeking to preserve profits and to transfer the burden of its crisis onto the working class by intensifying exploitation based on gender and age, the urban and rural poor, and a wide range of middle strata. Exploitation is intensified, the state is used to rescue private bankers and financial houses while exposing future generations to unsustainable levels of debt, and there are intensified efforts to roll back social gains.

In the entire capitalist world, labour, social, economic, political and social security rights are being abolished. At the same time the political systems are being made more reactionary , restricting democratic and civil liberties, especially trade union rights. The retrenchments, including major spending cuts in the public sector are having a devastating impact on workers, especially women workers.

There are also attempts to divert popular distress and insecurity into reactionary demagogy, racism and xenophobia, as well as to legitimise fascist forces. These are expressions of anti-democratic and authoritarian tendencies also marked by the escalation of anti-communist attacks and campaigns in many parts of the world. In Africa, Asia and Latin America we are witnessing the imposition on our peoples of new mechanisms of national and class oppression, including economic, financial, political and military means as well as the deployment of an array of pro-imperialist NGOs.

However, for the mass of peoples, in particular in Africa, Asia and Latin America, it is important to remember that, even before the current global economic crisis, life under capitalism was a continuing crisis, a daily struggle for bare survival. Even before the current global crisis, one billion people were living in squalid slums, and half of the world’s population was surviving on less than $2 a day. With the crisis these realities have been massively aggravated.

Most of these urban and rural poor, along with family members working as vulnerable migrants in foreign countries, are the displaced victims of the accelerated capitalist agrarian development under way in Africa, Asia and Latin America. Global capitalism, spearheaded by the major corporates in the agro-industrial sector, has declared war on nearly one half of humanity—the three billion remaining rural people in Africa, Asia and Latin America.

At the same time inhuman barriers are being set up against immigrants and refugees. There is an ever-increasing mushrooming of urban and semi-urban slums populated by desperate marginalised masses typically involved in a variety of activities for survival. The accelerated capitalist agrarian transformation in countries with a lower level of capitalist development has genocidal implications.


The importance of the resistance struggles of the working class and popular forces

Across the world, capital’s attempts to load the burden of the crisis onto workers and the poor is being met by working class and popular resistance.

Over the past year the anti-people assault on labour rights, social-security rights and wages provoked an escalation of popular struggles notably in Europe.Tshwane Declaration
Imperialist aggression in the Middle East, Asia and Latin America continues to meet resolute popular resistance.

In Africa and Latin America, anti-imperialist forces, trade unions, and social movements have escalated their struggles for the rights of the people and against the plunder by the multinational corporations. These struggles have, in some cases, led to the emergence of progressive, popular national governments that declare programmatically for national sovereignty, social rights, development and for the protection of their natural resources and biodiversity, giving renewed impetus to the anti-imperialist struggle.

In the current reality, it is an historic imperative that as Communist and Workers’ Parties we participate, to strengthen and transform these popular defensive battles into offensive struggles for the acquisition of broader workers’ and people rights and for the abolition of capitalism.
In advancing this strategic agenda, communists stress the significance that the organisation of the working class, and the development of the struggles of the labour movement in a class-oriented direction, have in the struggle for the acquisition of political power by the working class and its allies.

Within the framework of this struggle we attach particular importance to

• the defence, consolidation and advance of popular national sovereignty

• the deepening of social alliances


• strengthening the anti-imperialist front for peace, for the right to full-time stable work, labour rights and social rights such as free health and education.


The defence, consolidation and advance of popular sovereignty

In the face of the intensified aggression of transnational capital, the struggle against imperialist occupation of countries, against economic and political dependency and to defend popular sovereignty has become increasingly salient. In these struggles it is important for communists to integrate these struggles with the struggle for social and class emancipation.

Communists, fighting against imperialism, struggle for equitable international relations between states and peoples on the basis of mutual benefit.

The defence, consolidation and advance of popular sovereignty is of particular importance in Africa and for other peoples that have experienced decades and even centuries of colonial and semi-colonial oppression. 2010 marks the 50th anniversary of the commencement of the formal decolonisation of Africa. Yet everywhere, including in the African diaspora, the grim legacy of the slave trade, of colonial dispossession and plunder persist. Notwithstanding 50 years of formal decolonisation, everywhere imperialist interventions are reinforced, the dominance of the monopolies is being strengthened with the aid of domestic capital. The struggle against them requires the active protagonism and unity of the popular masses, and the broadening of popular democratic rights.

Deepening social alliances

The ongoing crisis of capitalism and its anti-civilisation fight-back are creating the conditions to build broad social, anti-monopolistic and anti-imperialist alliances capable of gaining power and promoting deep, progressive, radical, and revolutionary changes.

Working class unity is a fundamental factor in ensuring the construction of effective social alliances with the peasantry, the mass of urban and rural poor, the urban middle class strata and intellectuals. Particular attention needs to be paid to the aspirations of, and challenges confronting youth.

The land question, agrarian reform and rural development are important issues for the development of popular struggle in lesser developed countries. These are inextricably linked to food sovereignty and security, sustainable livelihoods, the defence of bio-diversity, the protection of national resources, and the struggle against agro-industrial monopolies and their local agents.

In these struggles, the legitimate and progressive aspirations of indigenous peoples in defence of their cultures, languages and environments have an important role.


The role of communists in strengthening the anti-imperialist front
for peace, environmental sustainability, progress and socialism


Imperialism’s crisis and counter-offensive are leading to the broadening and diversification of the forces that objectively assume a patriotic and anti-imperialist stand. Everywhere, in our diverse national realities, Communists have a responsibility to broaden and strengthen the anti-imperialist political and social front, the struggles for peace, environmental sustainability, progress, and integrate them in the fight for socialism. The independent role of Communists and the strengthening of the Communist and Workers’ parties is of vital importance to ensure a consistent anti-imperialist perspective of broader movements and fronts.

Special attention must be given to the existing relation between various resistance struggles and the necessary ideological offensive for the visibility of the alternative of socialism and to the defence and development of scientific socialism. The ideological struggle of the communist movement is of vital importance in order to repulse contemporary anti-communism, to confront bourgeois ideology, anti-scientific theories and opportunist currents which reject the class struggle, and combat the role of social democratic forces that defend and implement anti-people and pro-imperialist policies by supporting the strategy of capital. We have a key role to play in drawing the critical links in theory and above all in practice between different arenas of popular struggle in the development of internationalist class solidarity.

We are living in an historic epoch in which the transition from capitalism to socialism has become a civilisational imperative. The all-round crisis of capitalism once more underlines the inseparable nature of the tasks of national liberation and social, national and class emancipation.
In the face of deepening capitalist crisis, the experiences of socialist construction demonstrate the conditions of the superiority of socialism.

The strengthening of the cooperation among Communist and Workers’ Parties and the strengthening of the anti-imperialist front, should march side by side.

We, the Communist and Workers’ parties meeting in Tshwane, in a situation marked by a massive onslaught against workers and popular forces, but also with many possibilities for the development of the struggle, express our profound solidarity with workers and peoples and their intense struggles, reiterating our determination to act and struggle side by side with working masses, youth, women, and all popular sectors that are victims of capitalist exploitation and oppression.

We reaffirm our appeal to the widest range of popular forces to join us in a common struggle for socialism which is the only alternative for the future of humankind.

We point to the following main axes for the development of our joint and convergent actions:

1. With the capitalist crisis deepening, we will focus on the development of workers’ and peoples’ struggles for labour and social rights, the strengthening of the trade union movement and its class orientation; the promotion of the social alliance with peasants and the other popular strata. Particular attention will be given to the problems of women and youth who are among the first victims of the capitalist crisis.

2. In the face of the all-round imperialist aggression and the sharpening of the inter-imperialist rivalries, we will intensify the anti-imperialist struggle for peace, against imperialist wars and occupation, against the dangerous “new” NATO strategy and foreign military bases, and for the abolition of all nuclear weapons. We will extend active internationalist solidarity with all people and movements facing and resisting oppression, imperialist threats and aggression.

3. We will resolutely fight anticommunism, anti-communist laws, measures and persecution; to demand the legalisation of CPs where outlawed. We will defend the history of the communist movement, the contribution of socialism in advancing human civilisation.

4. We affirm our solidarity with the forces and peoples engaged in and striving for socialist construction. We reaffirm our solidarity with the Cuban people and their socialist revolution, and we will continue vigorously to oppose the blockade and to support the international campaign for the release of the Cuban Five.

5. We will contribute, within the specific context of our national realities, to the reinforcement of international anti-imperialist mass organizations like WFTU, WPC, WFDY, WIDF. We particularly welcome and salute the 17th World Festival of Youth and Students to be held in South Africa from 13 to 21 December 2010.

Fuente: Página del Partido Comunista de Irlanda/PrensaPopularSolidaria
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Correo: pcvmirandasrp@gmail.com

PARAGUAY::PARTIDO COMUNISTA PARAGUAYO LE RETIRA EL APOYO CRÍTICO AL PRESIDENTE FERNANDO LUGO

Defender el proceso de cambio es denunciar el incumplimiento del programa de cambios.

El pleno del Comité Central (CC), reunido el 18 y 19 de diciembre, ha tomado algunas decisiones en torno:

-- a la situación nacional,

--el proceso de cambio.

-- y el Gobierno,

EL GRUPO DE DECISIONES TOMADAS POR EL COMITÉ CENTRAL DEL PARTIDO COMUNISTA PARAGUAYO ESTÁN COMPUESTAS POR:

1- El Partido Comunista Paraguayo (PCP), en enero de 2008 como miembro de la Alianza Patriótica Socialista, en relación las elecciones de abril de 2008 firmó un acuerdo con el candidato Fernando Lugo, sobre tres puntos programáticos: La profundización democrática, la soberanía nacional con énfasis en la cuestión energética y la Reforma Agraria integral con participación popular. Sobre este acuerdo, se decidió dar un apoyo crítico a Lugo, llamando a votar por él.

2- Desde el inicio del Gobierno hasta estos días, el PCP ha defendido el proceso de cambio de los ataques de la derecha golpista y de los desvíos que tuvo el propio Poder Ejecutivo, asumiendo con total responsabilidad la colaboración con la gestión del Gobierno participando de la elaboración de numerosos documentos que fueron presentados al Presidente Lugo y de una gran cantidad de reuniones con el mismo.

3- Nuestro Partido valora el triunfo del 20 de abril de 2008, que ocasionó un desbloqueo del escenario político, la apertura de posibilidades de cambios democráticos, patrióticos y populares, y el surgimiento de nuevas figuras vinculadas al movimiento popular progresista y de izquierda. Igualmente aprecia los avances en cuanto a participación de sectores populares en espacios de discusión gubernamental, varios pasos que se han dado en cuanto a salud pública, los adelantos en la renegociación de Itaipú y la cobertura social a familias en situación de pobreza extrema así como a niñas, niños y adolescentes en situación de calle.

4- Ya a finales del 2009 el CC advirtió que existían señales claras de restauración conservadora en el Gobierno, identificando que dicha restauración iría teniendo un tinte represor-terrorista, atendiendo la ofensiva y la penetración del imperialismo norteamericano en el Ministerio del Interior, la Fiscalía, el Poder Judicial y la Cancillería entre otras instituciones que fueron intervenidas abierta o solapadamente por la USAID, a través del Plan Umbral y de la Embajada norteamericana.

5- Asimismo, en junio de este año, el CC del PCP emitió un documento en el que mencionó la agudización de la tendencia derechista en el gobierno de Lugo y por lo tanto la necesidad de relativizar el apoyo y acentuar la crítica, insistiendo en una actitud militante y propositiva para colaborar con la reorientación de la política del Gobierno.

6- Lastimosamente, pese a nuestros intentos, a las numerosas reuniones que tuvimos con el Presidente Lugo, no logramos influenciar para una rectificación del rumbo y una recuperación del programa de cambios votado en abril de 2008.

No solo eso, el gobierno continuó y continúa su política de derecha, cuyos inicios se ubican en el convenio de setiembre de 2008 firmado con el narcoterrorista Pdte. de Colombia, en ese entonces, Álvaro Uribe.

--con la implementación del Plan Umbral de los yanquis;
--con grandes represiones al movimiento popular;
--con la presentación al Congreso de la Ley antiterrorista;
--con una política social conservadora y desmovilizadora;
--con una política exterior entreguista; con una política económica continuista y concentradora de riquezas;
--con un enorme descuido de los pueblos originarios y con un discurso y una práctica con las que no se priorizan la recuperación de las tierras y los bienes mal habidos.

Entre estas acciones equivocadas se encuentra la destitución del Ministro de Defensa, Gral. (SR) Luis Bareiro Spaini, cuya conducta intransigente en defensa de la soberanía contra la descarada intervención de la embajadora norteamericana Liliana Ayalde, fue y es sumamente justa y patriótica.

7- Podemos sintetizar diciendo que el Presidente Fernando Lugo prefirió la gobernabilidad entre cúpulas inclusive dejando de lado la ética y la justicia, pactando con el oviedismo fascista y con toda esa derecha que en su práctica se muestra totalmente indiferente a las grandes injusticias que sufre nuestro pueblo en lo que se refiere a acceso a la tierra, alimentación vivienda, salud, educación y trabajo. En ese sentido, Lugo retrocedió ante las presiones de una derecha criminal y vendepatria que domina el Congreso, cuya función es determinante puesto que la Constitución Nacional de 1992 le otorga superpoderes.

8- Entre las grandes entregas antinacionales y antipopulares del gobierno, en estos días, podemos mencionar: el proyecto privatizador de rutas, ríos y aeropuertos que el Poder Ejecutivo envío al Congreso y que fue aprobado, para luego avanzar más y enviar el proyecto específico de privatización de aeropuertos (incluido el aeropuerto de Mcal Estigarribia, que es militar).

A esto podemos sumar que el propio Poder Ejecutivo opera a favor de la instalación de la transnacional de aluminio Río Tinto Alcan, que además de generar escasas fuentes de trabajo, es altamente contaminante, utiliza igual energía que el conjunto de la industria nacional y encima pide un subsidio del precio de costo de dicha energía.

De concretarse ese negociado se estaría dando otro gran despojo de nuestra soberanía, mucho más grande que Itaipú. Sobre este punto queremos resaltar que la iniciativa para la instalación del la transnacional del aluminio guarda relación con la política de dominación imperialista para el saqueo de nuestros recurso naturales, atendiendo a que está comprobada la existencia de miles de toneladas de oro en Paso Jobai, como también de Titanio (en el Ybytyrusu) y de Uranio (en Caazapa) en otras regiones de nuestro país.

9- Entonces, al hacer un balance del Gobierno podemos evidenciar claramente que existen más medidas contrarias a nuestro pueblo y forman nada más que un puñado las que le favorecen, de modo que en coherencia con la defensa del proceso de cambio, que en su momento dijimos que se llevaría adelante con Lugo, sin Lugo y aun contra Lugo, el PCP decide retirarle el apoyo crítico al Presidente de la República.

10- Aclaramos que nuestra apuesta es incondicional en cuanto a la defensa del proceso de cambio y que no dudaremos un instante en defender al Gobierno constitucional ante un posible golpe de la derecha patrocinado por los yanquis. Del mismo modo, seguimos identificando a la derecha defensora de la oligarquía mafiosa como títere del imperialismo yanqui y en consecuencia como nuestro principal enemigo, al cual combatiremos en todos los escenarios en los que desarrolla su política de saqueo, explotación, exclusión y muerte.

Nos referimos a escenarios como Congreso Nacional, Fiscalía, Poder Judicial, Vicepresidencia de la República, Direcciones políticas de los partidos tradicionales y dentro de varios ministerios del Poder Ejecutivo. En todos esos lugares haremos presencia, movilizados y organizados, con propuestas concretas de cambio democrático y popular.

11- Por último, llamamos a todas las organizaciones políticas del campo popular, a los movimientos sociales, sindicatos y al pueblo en general, a luchar durante el 2011 con movilizaciones y debates permanentes por la construcción de la democracia y del poder popular, confrontando sanamente con un Gobierno cuyas señales son contrarias a los cambios prometidos, a la vez de aportar con nuestra colaboración ante alguna medida democrática y patriótica que adopte el gobierno, que entendemos será como consecuencia de la presión y de la movilización popular. Mientras tantos nos vemos obligados a continuar defendiendo el proceso de cambio desde una perspectiva patriótica y revolucionaria.

¡Por la defensa incondicional del proceso de cambio!

¡Por la unidad y la construcción de poder popular!

¡Por un 2011 de movilización y lucha!

¡Por un bicentenario patriótico y popular, antimperialista, para conquistar nuestra segunda y completa independencia!

Comité Central
22 de diciembre de 2010


Fuente: Blog de la Secretaría de Prensa del Partido Comunista Paraguayo/PrensaPopularSolidaria
http://prensapopular-comunistasmiranda.blogspot.com/
Correo: pcvmirandasrp@gmail.com

EL SALVADOR:`JOSE FELICIANO AMA, EL LIDER DE LA INSURGENCIA INDÌGENA, MARTIR Y HEROE COMUNISTA DE EL SALVADOR

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El Camarada J.F. Amas, un hèroe Comunista de El Salvador. Fuè el Jefe de la insurrecciòn de los trabajadores, indìgenas y campesinos del año 1.932. Es un ejemplo hoy para los revolucionarios  y comunistas salvadoreños en su diario trabajo revolucionario en las luchas del pueblo de El Salvador.



Por: Oscar Martínez Peñate 
 

Josè Feliciano Ama nació en Izalco, Departamento de Sonsonate, en 1881, y murió linchado por una turba enardecida y xenofóbica de ladinos, prodictadura y terratenientes, luego fue colgado de un árbol con un lazo, para dar la impresión que había muerto ahorcado el 28 de enero de 1932. Usaba pelo corto, bigote y barba bien recortada, vestía camisa y pantalón de manta, caites de cuero y sombrero de palma, fue un hombre humilde, respetuoso, de voz apacible, firme y convincente, no hablaba mucho castellano sino en su lengua natal —el náhuat—, trabajó de jornalero, gustaba sembrar maíz negro, era devotamente cristiano, querido y apreciado por los demás indígenas.
 
Casado con Josefa, hija de Patricio Shupan, quien era mayordomo principal de la cofradía del Corpus Christi (Espíritu Santo) y a la vez cacique de Izalco. Feliciano Ama recibió de su suegro respaldo y apoyo, él lo ayudaba a recibir a los mandaderos de la cofradía, recolectar las ofrendas y lo acompañaba a las reuniones importantes. Patricio Shupan murió a causa de un sorpresivo fortísimo dolor de estómago en 1917, luego de asistir a un almuerzo en la residencia presidencial con uno de los presidentes de la dinastía Meléndez-Quiñónez, Carlos Meléndez.

 
Para esos años Patricio Shupan ya reclamaba la expropiación de las tierras comunales que el gobierno le había arrebatado a los indígenas, la expropiación de éstas por parte del gobierno, el maltrato inhumano y la extrema explotación de que eran víctima los indígenas fue la semilla de la discordia que desembocó en la insurrección indígena y en donde la fuerza armada cometió el peor etnocidio del siglo XX.

 
Fueron masacrados más de 30 mil indígenas; este hecho histórico es conocido y denominado por los historiadores gobiernistas como los "sucesos de 1932". Al fallecer Shupan, en 1917, Ama se convirtió en el cacique de los indígenas de Izalco y dirigente de la cofradía del Espíritu Santo, constituida en su totalidad por indígenas.
Continuó él la demanda por la devolución de las tierras comunales, la denuncia y la condena por la violación de los derechos humanos cometida contra su pueblo.

 
Mario Zapata y Alfonso Luna, jóvenes universitarios, al enterarse de los preparativos de la insurrección indígena liderada por el cacique Feliciano, llegaron a Izalco como dirigentes del Partido Comunista de El Salvador (PCS), con el interés de que el PCS ayudara políticamente a encaminar la situaciòn y colaborara en  la dirección.

 
Pero era ya demasiado tarde, Feliciano y los otros dirigentes indígenas tenían previsto el levantamiento indígena y al PCS no le quedó otra opción que adherirse a la revuelta indígena ya en marcha. En la noche del 22 de enero de 1932, Feliciano Ama ingresó a Sonsonate con centenares de indígenas, pero en la madrugada llegó gente extraña al movimiento, proveniente de Juayúa y ésta hizo destrozos, mataron al alcalde, cometieron acciones vandálicas y toda la responsabilidad se la atribuyeron injustamente al líder indígena Feliciano Ama, quien luego se replegó a unos huatales en las afueras de Izalco.

 
Los ladinos comenzaron a pedir su cabeza y desarrollaron un racismo paranoico.
La misión de atrapar a José Feliciano Ama fue encomendado a Cabrera, comandante de la guarnición de Izalco y reconocido como un matón que odiaba a los indígenas. Él salió con varios perros hacia los alrededores de Izalco, iba con varias decenas de soldados armados "hasta los dientes" vestidos de paisano y cuando llegaron al lugar donde se encontraba el líder indígena, lo emboscaron, lo capturaron y amarrado se lo llevaron. a la alcaldía.

 
Ama gritaba: ¡vivan los indígenas!, ¡las tierras son nuestras¡, con su asesinato quisieron de esta forma apagar su voz por la justicia. Feliciano quedó suspendido de una ceiba frente a la Iglesia de la Asunción, como ejemplo de lo que le podía suceder a todo aquel que reclamara lo que le habían robado los terratenientes y los altos funcionarios de la dictadura de Maximiliano Hernández Martínez y de otros gobernantes anteriores

 
  En toda esa etapa el campesinado y los indìgenas reclamaban la expropiación de las tierras comunales que el gobierno le había arrebatado a los indígenas, la expropiación de éstas por parte del gobierno, el maltrato inhumano y la extrema explotación de que eran víctima los indígenas fue la semilla de la discordia que desembocó en la insurrección indígena y en donde la fuerza armada cometió el peor etnocidio del siglo XX. 


Fueron masacrados más de 30 mil indígenas; este hecho histórico es conocido y denominado por los historiadores gobiernistas como los “sucesos de 1932”.

Josè Feliciano Ama, màrtir y hèroe Salvadoreño de las luchas de los indìgenas y el campesinado sigue siendo un ejemplo, un estìmulo y apoyo para la combatividad en el trabajo de reconstruìr el Partido Comunista de El Salvador y en las luchas en general del pueblo salvadoreño y por el avabce al socialismo_comunismo.

Fuente: PCS/PrensaPopularSolidaria
http://prensapopular-comunistasmiranda.blogspot.com 
Correo: pcvmirandasrp@gmail.com

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La Organización Intermunicipal Miranda Centro del Partido Comunista de Venezuela invita a nuestra militancia, afiliados, amigos y simpatizantes a los Actos de Celebración del 80 Aniversario de nuestro Glorioso Partido Comunista de Venezuela, a realizarse según datos ubicados en la Gráfica. Los esperamos para nuestra celebración, con espíritu y combatividad comunista, revolucionario y patriótico!!! Asiste!!

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