lunes, 18 de agosto de 2008

SUR LE CONFLICT MILITAIRE AU CAUCASE

Dans l’attente d’une éventuelle analyse de la direction du PCF sur le conflit militaire au Caucase, celle de nos camarades portugais, lucide et responsable, donne des repères d'analyse, que nous partageons, sur le conflit militaire dans le Caucase, notamment le rôle criminogène de l’OTAN.
 
Plus que jamais, construisons le rapport de force contre le retour de l’Etat français dans le commandement intégré de l’OTAN, tel que le pouvoir l’a programmé pour 2009 !
 
Un communiqué, signé MG Buffet, daté du 12 août a été mis sur internet aujourd'hui 19 août. Il soutient la position de l'UE défendue par Sarkozy, ne porte aucune condamnation de l'OTAN. Il appelle à des négociations impliquant les USA...
 
Au sujet du conflit militaire au Caucase et les dangers pesant sur la paix et la sécurité internationales.
 
Communiqué du Parti communiste portugais, 14 août 2008.

Traduction par AJ pour vivelepcf.fr

Le Parti communiste portugais déplore la perte de vies humaines et les destructions provoquées par le conflit militaire au Caucase. Il appelle à la fin des hostilités, élément essentiel pour engager des négociations de paix entre la Russie et la Géorgie, qui, pour le PCP, doivent être conduites dans le cadre des Nations Unies suivant les principes du droit international, le respect de la souveraineté et de l’intégrité territoriale des Etats, la non-ingérence dans leurs affaires intérieures.
 
Les développements militaires et diplomatiques des derniers jours confirment que ce conflit ne peut être regardé à la seule lumière des questions touchant aux territoires et à la souveraineté de l’Ossétie du sud et de l’Abkhazie. Il doit être considéré en premier comme l’expression concrète de l’évolution actuelle de la situation internationale, marquée par une nouvelle course aux armements, le renforcement de la militarisation des relations internationales et la prolifération des situations de tension et de conflits armés, suscitée par les membres de l’OTAN et ses alliés en vue de dominer les zones géostratégiques importantes du globe et de contrôler l’exploitation et le transport des ressources naturelles comme le gaz et le pétrole.
 
Voilà longtemps que le PCP a lancé l’alerte. 

L’accentuation du caractère agressif au niveau mondial de l’OTAN, son extension aux frontières de la Russie, la montée de la confrontation des Etats-Unis et de l’OTAN avec la Russie et la Chine, la militarisation de l’Union européenne, la destruction de traités fondamentaux pour l’équilibre stratégique mondial comme le traité ABM [anti-missile balistique] avec l’installation du système de défense anti-missile nord-Américain à l’est de l’Europe, les menaces constantes sur des Etats souverains comme l’Iran, la persistance de guerres illégales et criminelles en Irak ou en Afghanistan, ou encore le transfert d’armements en Géorgie depuis les Etats-Unis et Israël, tous ces facteurs d’instabilité sont d’une façon plus qu’évidente à la racine du conflit actuel.
 
Tout en réaffirmant ses positions de principe contre les violations de la souveraineté et de l’intégrité territoriale des Etats, pour la prédominance de la diplomatie dans le règlement des conflits, le PCP rappelle dans le même temps que c’est la Georgie, principal allié des Etats-Unis dans la région du Caucase, où sont stationnés d’importants contingents nord-Américains, dont le territoire, incluant l’Ossétie du Sud, a une valeur stratégique importante comme point de contrôle de l’oléoduc Bakou-Tbilissi-Ceyhan, qui a engagé les hostilités militaires en attaquant un territoire où se trouvait, sous les auspices de l’OSCE et le mandat de la Communauté des Etats Indépendants, une force de stabilisation internationale composée de soldats russes, ossètes et géorgiens. 

Cette manœuvre n’a pas pu être décidée sans l’information et l’accord préalables des Etats-Unis.

Elle illustre la politique de l’actuel gouvernement géorgien de soumission aux Etats-Unis et à l’OTAN, de militarisation croissante de la région, de recherche de conflit avec la Russie voisine, d’instigation de conflits ethniques dans la région.  
Ce conflit armé et les déclarations politiques qu il implique montrent – et servent de sérieux avertissement – la montée des dangers qu’entraîne la politique de mépris systématique du droit international et d’instrumentalisation des Nations Unies par les principales puissances impérialistes mondiales. Ils démontrent les effets concrets sur la situation internationale actuelle des précédents créés par la guerre de démembrement de la Yougoslavie et par l’incitation et de soutien militaire à la sécession du Kosovo de la Serbie. 

Le PCP a attiré l’attention sur ces dangers le moment voulu. Les faits confirment la validité de la revendication du PCP pour que le gouvernement portugais ne reconnaisse en aucun cas la pseudo indépendance du Kosovo.
 
Le PCP alerte sur les dangers d’extension du conflit à toute la région de l’Eurasie et du Moyen-Orient et sur les conséquences qu’une accentuation du bras de fer entre l’OTAN et la Russie ou toute provocation militaire dans le Moyen-Orient pourrait avoir sur la sécurité mondiale.
 
Il demande du gouvernement portugais de prendre position pour la défense de la paix, contre toute ingérence et pour le retrait de toutes les troupes de l’OTAN du Caucase, étape essentielle pour la détente.
 
Il attire l’attention pour que ce conflit ne soit pas utilisé comme prétexte à une nouvelle accélération de la militarisation de la région du Caucase, à une installation sur le territoire géorgien de forces militaires des Etats-Unis ou de l’OTAN ou à une politique d’ingérence politique ou économique et de contrôle géostratégique de la région par les principales puissances de l’OTAN.
 
Fuente:Vive le PCF/Prensa Popular Comunistas Miranda
http://prensapopular-comunistasmiranda.blogspot.com  

domingo, 17 de agosto de 2008

ANTE LA INSISTENCIA ACERCA DE LA DISOLUCIÓN DEL PARTIDO COMUNISTA DE VENEZUELA POR PARTE DEL DIRIGENTE DEL PSUV CHÁVEZ

Partido Comunista de Venezuela, Lucha de Clases, Marxismo Leninismo y Organización Revolucionaria,


Escrito por Faustino Rodrí­guez Bauza, Publicado en Tribuna Popular el 24.07.2007

Recientemente, en lo que parece ser una insistencia programada, el dirigente del PSUV Hugo Chávez Frías repite su solicitud al Partido Comunista de Venezuela de que se disuelva para incorporarse a su Partido, el PSUV, pero, eso sí, despojándose el PCV de su ideología, del marxismo-leninismo , porque, según él, -- Chávez--nos repite que: "el marxismo leninismo ya pasó".- Los comunistas opinamos de otra manera.-


Debido a la repetición de tal situación republicamos ahora en nuestra Página "Prensa Popular Comunistas Miranda" el Artículo que --ante una situación y pedido similar hecho en fecha anterior-- a manera de contestación a Chávez, escribió el camarada Faustino Rodríguez Bauza, cuyo Artículo, a su vez, fue publicado por primera vez en Tribuna Popular Digital con fecha


A Continuación, el Artículo Original:


Partido Comunista de Venezuela, Lucha de Clases, Marxismo Leninismo y Organización Revolucionaria


Por: Faustino Rodríuez Bauza


En algunas reuniones en las que he participado se plantea siempre el tema de porqué el Partido Comunista de Venezuela no se incorporó de una vez al PSUV, a cuya formación llamó el Presidente de la República Bolivariana de Venezuela Hugo Chávez Frías.

Incluso hubo quien dijera que de no hacerlo el Partido Comunista de Venezuela no tendría sentido, sería liquidado en el proceso y reducido a nada, porque la lucha por el Socialismo "quedaría en manos del PSUV".-

Parece un argumento aparentemente lógico, pero a mi manera de ver no lo es. Porque el Partido Comunista de Venezuela lucha y seguirá luchando por el socialismo, independientemente de cuál sea la posición del PSUV, o de cualquier otra fuerza que se proponga la transformación y liquidación del capitalismo.

Y es que para los comunistas el socialismo constituye una etapa de transición hacia una sociedad más justa—a nuestra manera de ver---que es el comunismo.

Entonces, los más férreos y decididos luchadores por el socialismo, somos los comunistas. Alcanzar y construir el socialismo acerca nuestro objetivo, que es construir una sociedad más avanzada que la organización socialista y es el comunismo, la organización comunista de la sociedad.-

Expresado gráficamente: nuestra lucha por el Comunismo requiere una etapa previa que es el Socialismo. En el Socialismo como organización productiva y de distribución social de lo producido se cumpliría con la formulación que le sirve de base que es: "dé cada quien (produzca para la sociedad) según su capacidad, a cada quien según su rendimiento (remuneración por su trabajo), por lo que dio o rindió, o produjo"", que constituye la base para la construcción de la sociedad Socialista.

En el Comunismo la formulación de base es más avanzada y plantea "dé cada quien (produzca) según su capacidad, a cada quien según sus necesidades".- Esto implica un muy alto desarrollo de la sociedad, de la productividad, lo que permitirá satisfacer las necesidades del colectivo.-

Avanzar hacia el primero, el socialismo, requiere de una premisa: eliminar la propiedad privada de los medios de producción. En el capitalismo se tiene propiedad privada de los medios de producción.

Los trabajadores venden su fuerza de trabajo, lo que saben hacer, por lo cual los dueños de los medios de producción les pagan una parte de lo que han producido, mediante el salario. Lo demás queda en plusvalía que se apropia el dueño de los medios de producción y es la base para el crecimiento de su riqueza.-

Asi se establece la sociedad capitalista. Los que tienen los medios de producción se unen entre sí para defender ese orden social que les permite enriquecerse cada vez más. Y quienes son explotados se unen entre sí para defenderse de esa explotación y luchar por otro orden social en el cual no sean explotados.

Esa unión entre los explotadores se conoce como la clase social burguesa, la burguesía, que defiende sus intereses y quiere que las cosas queden así.- Y quienes trabajan y son explotados constituyen la clase obrera, el proletariado, que defienden sus intereses y quieren que la sociedad cambie, salga de la propiedad privada, la explotación y el capitalismo,

Los intereses de ambas clases son antagónicos. Por eso luchan entre ellas, fundamentalmente por manejar el poder de gobernar la sociedad en su conjunto. Y eso es lo que se denomina la lucha de clases. Que es precisamente lo que los marxistas-leninistas consideramos como el motor de la historia. Porque no es el marxismo-leninismo el motor de la historia, sino la lucha de clases.-

El marxismo leninismo, sus formulaciones teóricas, son solo un instrumento de interpretación de realidades cambiantes, un instrumento de interpretación y orientación para la lucha, para estudiar la lucha de clases en determinados momentos históricos y por tanto no sustituye a la lucha de clases como motor de la historia.

Y esto es—el marxismo leninismo— un instrumento profundamente enriquecido a través de la historia, por apoyarse en la dialéctica, que le permite su renovación permanente.- Que lo usó Marx, en su momento, en las condiciones imperantes entonces. Que lo usó también Lenin, en su momento, en las condiciones imperantes entonces.-

Y que actualmente le sirve de guía a los Partidos Comunistas de todo el mundo para el estudio de las condiciones económicas y sociales, del desarrollo respectivo de la lucha de clases, y para la formulación de sus políticas a partir de la lucha de clases y de la defensa de los intereses de la clase obrera. del proletariado en las luchas inmediatas en cada país, proyectadas en su avance hacia el socialismo y el comunismo.-

No puede hablarse entonces del Marxismo Leninismo como " dogma", ni de dogmáticos, ni de que "ya pasó" el marxismo leninismo..- No pasó sino que se renueva, se actualiza, se aplica continuamente de acuerdo a las realidades. Es dialéctico, dinámico, en permanente interpretación de las realidades de la lucha de clases.

Y en esto los marxistas leninistas tomamos partido por las luchas del proletariado y la clase obrera contra el capitalismo. Somos anticapitalistas en contra de todas las formas capitalistas, o que generen capitalismo-

Si, como se ha dicho, el nuevo Partido, " no va a tener las banderas del marxismo-leninismo porque es un dogma, porque ya pasó", eso no se decreta, habría que demostrarlo científicamente, y eso nadie lo ha hecho ni podrá hacerlo, porque ni ha pasado ni es dogma.-

Que no lo tome el nuevo Partido PSUV, que no lo use, que lo extrañe o expulse de sus filas ya es cuestión de quienes conforman ese Partido. Donde, de paso, se ha dicho repetidamente que la adopción de sus orientaciones teóricas, políticas, modelo organizativo, etc., serán horizontales y colectivas, discutidas por los candidatos a miembros, convertidos en miembros plenos en el proceso de reuniones de batallones, en los cuales discutirán y adoptarán colectivamente las orientaciones teórico-doctrinarias, de la línea política, sindical, etc., de los estatutos, organización, y funcionamiento y eso no ha ocurrido. Es decir, eso está por verse y discutirse horizontalmente, según se ha dicho.-

En todo caso hubo muchos llamamientos hacia el Partido Comunista de Venezuela para que se disolviera y se integrara en el PSUV.- Era para esto, para decirnos después que nos despojáramos de nuestra condición de comunistas y de marxistas leninistas así nomás?.- Esto en realidad viene a demostrar la necesidad de la existencia del Partido Comunista de Venezuela, como Partido de la clase obrera, del proletariado venezolano, como garantía del uso del marxismo leninismo en la orientación de las luchas de clases y por el Socialismo, y plantea la necesidad de su fortalecimiento ideológico, político y orgánico. De construir un gran Partido Comunista de Venezuela, venciendo todos los obstáculos.-

Y si la cosa es que "el que no esté de acuerdo con eso y si no quiere estar aquí que se vaya al Partido Comunista de Venezuela" estoy seguro que igualmente no ha sido una decisión de las bases del PSUV, como se dice que serán manejadas sus políticas.-Pero, de todas formas, como se trata de una virtual expulsión de marxistas leninistas del seno del PSUV, habrá muchos que quedarán fuera, muchos marxistas leninistas, que antes no estaban en el PCV. Queda en manos de ellos venir o no al PCV, según se les recomienda.

Y de quienes dejaron al PCV, para emprender la vía del PSUV, es bastante lamentable su situación actual. Esperamos que reflexionen y sean objetivos en su decisión.

De todas maneras esto no es nuevo. Ya en la formación del PDN, en la época de López Contreras, se produjo una situación similar, de la cual salieron hacia el PCV Eduardo Gallegos Mancera, Pedro Ortega Díaz, y otros valiosos cuadros revolucionarios. Argumento: uno muy parecido al actual, pero dicho con una mayor parafernalia semántica, o quincalla verbal, como la llamó Uslar Pietri: la de que el marxismo leninismo estaba "obsoleto y periclitado".-

El imperialismo está al acecho. Los peligros de la Revolución Bolivariana están presentes. El Plan Golpista sigue meneándose por todas partes. Se habla con militares. Se traen paramilitares.- Se traen, transportan y reubican armas. Se acrecienta la preparación de nuevas actividades de calle.
Se incorporan en el Plan nuevas vedettes extranjeras con sus declaraciones.- Se repiten las declaraciones de los funcionarios del Departamento de Estado.- Se agitan dentro del país las cantaletas de la prensa y la TV acerca del argumento de la reforma constitucional. Se preparan para Septiembre los nuevos desafíos de los institutos educativos.-

El imperialismo se moviliza con todas sus fuerzas. Y ahora en Venezuela tienen Embajador y medio.

Porque el anterior mudado a Colombia, no es otra cosa que dejarlo indirectamente aquí, manejándose en el Plan contra Venezuela. Seguramente con López Sisco cerquita y a la orden, y operando contra Venezuela directamente, más que embajadoreando en Colombia, donde ya EEUU tienen y le basta con su control a través de las fuerzas militares acantonadas allí.-

Siguen con su mismo Plan—del que dimos detalles en nuestros artículos "Campaña de Desestabilización contra Venezuela conducen Gobernantes de EEUU" y otros, publicados en http://www.tribuna-popular.org/

De todas formas, lo importante es la unión de todos los venezolanos antiimperialistas para defender el gobierno bolivariano y al Presidente Chávez de todos los peligros y acechanzas imperialistas, incluso el magnicidio. Y a esa unidad de antiimperialistas sobre todas las cosas llamamos los comunistas, para defender la patria venezolana.-

El PCV lo ha planteado continuamente en diferentes documentos y llamamientos de su Comité Central y Buró Político. Así que, seguro que los comunistas estaremos en primera fila contra cualquier intento desestabilizador, precisamente porque somos marxistas leninistas y la aplicación de éste a la realidad nacional actual nos indica que la defensa de la revolución bolivariana, y la participación en el proceso revolucionario del PCV, es una condición necesaria para salvar la revolución y avanzar en el camino hacia el Socialismo.-

Y esa es una realidad histórica que no puede torcer ni un colectivo político, ni menos la voluntad de una persona, por más poderosa o poderes que ella tenga.-


Fuente: Tribuna Popular/Prensa Popular Comunistas Miranda
http://prensapopular-comunistasmiranda.blogspot.com/
Correo: pcvmirandasrp@gmail.com

DESDE 1.897 FUNCIONA E INFLUYE EN EL MUNDO EL GRUPO DE LOS "TRESCIENTOS" O GRUPO BILDERBERG

by Svetlana Kuzina Source > Вернуться на главную

Traducción: Pier Coulange/Ferrebé


Fue Svetlana Kuzina , periodista, quien desde una publicación en su idioma ruso, tomó un informe del libro del Agente de Inteligencia R. Coleman, y luego lo revisó y comparó en su versión en inglés, acerca de la existencia de "un grupo restringido de personalidades de varios países, sumamente influyentes que gobiernan subrepticiamente al mundo".


Con los datos e informaciones tomadas del Libro-Informe del Agente de Inteligencia R. Coleman, quien, habiendo llegado a tener informaciones acerca del funcionamiento de un "selecto" grupo--- integrado por las trescientas personalidades mas influyentes del mundo, procedentes del mundo de la economía, principalmente--, decidió dar a publicidad todo lo concerniente a tal situación y sus implicaciones para el mundo.


Los integrantes de ese grupo, la mayoría de ellos, son:


---los dueños de las empresas más poderosas del mundo,


---también se integran algunos procedentes del mundo del poder político de los principales países : Reyes, Presidentes, Primeros Ministros,


---junto con teóricos, periodistas,


---y otros, quienes reunen en sus manos verdadero poder de decisión.


De la publicación en inglés del artículo de Svetlana Kuzina, los camaradas Pier Coulange ( Juan Molina) y Ferrebé han realizado la traducción al Castellano, con la cual hemos publicado en varios Artículos, los aspectos recogidos por Kuzina. En verdad que a través de toda la información que Coleman entrega al mundo se presentan muchas coincidencias entre algunas "Recomendaciones" ,"Resoluciones", y hasta "Ördenes" --por así llamarlas-- mediante las cuales se han producido muchos hechos de gran relevancia mundial.


Incluso declaraciones de guerras, solución de algunos diferendos, imposiciones a países, aplicación de líneas políticas, que indican como de lo estudiado por ese grupo y salido como recomendaciones a aplicar , en la práctica se ha cumplido y aplicado, cualquiera haya sido la forma de aplicación: por la fuerza, por sugerencias, chantajes, imposiciones "diplomáticas", uso de los mecanismos diplomáticos mundiales, y otros, lo que determina entonces como existe un dominio real sobre el mundo, de ese grupo, quienes-- según denuncia Coleman-- de hecho han gobernado el mundo desde l.897.


El grupo como tal se ha ido adaptando a todas las circunstancias y situaciones, tomando distintos nombres y apariencias, pero siempre con la misma finalidad de gobernar el mundo. Coleman tomó la decisión, a todo riesgo, de informar al mundo para sacarlo de la ignorancia acerca del tema.


Señaló: "Imagínese usted un poderosísimo grupo que no reconoce fronteras nacionales, que ve el mundo como un todo, con todo el poder económico y de dominio científico, técnico, con influencia en los gobiernos dominantes del mundo, grupo que además se crea y está dispuesto a dominar a todo el mundo, a ser el "gobierno" de todo el mundo, grupo formado por los dueños del podeer financiero, de los seguros, economía minera, farmacéutica, industria petrolera, bancaria, poder militar decisivo, dominio político de países decisivos, control de la diplomacia del mundo, cuyos miembros no responden sino únicamente a las decisiones de ellos mismos"


Este es el Comité (o Grupo) de los Trescientos, un grupo de élite que ha gobernado el mundo desde 1.897. Su columna vertebral la integran las 300 personas más influyentes. Poderosos conspiradores, escribe Coleman, para ellos trabajan organizaciones secretas, tanques de pensamiento, especialistas y factores infiltrados en gobiernos y estructuras de manejo de poder.

Coleman da una descripción de los integrantes componentes del grupo, de las formas tomadas en cada caso, en sus distintas reuniones y planificaciones, con referencias desde 1.897, y con mayor detalle un seguimiento sistemático de sus integrantes desde 1.921.

Para ese año, 1.921, el llamado para entonces CFR ( Council on Foreign Relations ) ha tenido a los individuos más influyentes de los Estados Unidos y del mundo "Occidental" , incluyendo a importantes factores de la CIA, para ese momento incorporados en empresas. Para aquél momento el CFR fue establecido bajo la égida de los banqueros, y controlaba la " U.S. Federal Reserve system", el "New York Stock Exchange" y los propietarios y líderes más importantes de los mass media de entonces.


El Grupo Bilderberg

Es en su versión de reunión de 1954, cuando estuvieron reunidos en el Hotel Bilderberg, en Oosterbeek, de Netherlands (Holanda), cuando toma su forma de "Bilderberg Group " . Entonces se produjo la Conferencia en que inicialmente se unifican las "Ëlites" de los Estados Unidos y de Europa. Para ese momento ya se produce la construcción de mecanismos estables de funcionamiento, secretos, bajo dirección directa de los conductores principales.


Entre otros elementos, o instrumentos de trabajo, desde 1.968, el llamado "Club de Roma", ha constituído una de las más importantes herramientas del Club de los Trescientos o Grupo de Bilderberg.Esta primera Organización unifica a componentes "élite" de varias ramas de estudiosos de la "globalización", estudiosos del "futuro", "internacionalistas" , conferenciastas de diversos temas: economía, comunicaciones, estudios sociales, históricos y otros temas.


Al mismo tiempo, la estructura monta su segundo componente de trabajo: sus propios servicios de inteligencia secretos, y acopia información "sucia" (comprada), y extraída subreticiamente por sus agentes ubicados estratégicamente en Interpol , FSB, Mossad, CIA, FBI, y otras Agencias de Inteligencia de los Países más importantes, que onstruyen de heho ramificaciones en todos los órganos de inteligencia en todos los países del mundo por pequeños que sean, con sus respectivos planes para dominarlos y/o "regularlos".


En 1.973 el Comité de los Trescientos --grupo Bilderberg--monta una tercera e importante estructura --la Comisión Trilateral-- que consiste en representación de los Estados Unidos, Europa y Japón. La meta de esta Organización es garantizarle al grupo de los Trescientos : " un mecanismo de planificación y distribución global por un largo tiempo de los recursos universales" , por supuesto bajo el control del grupo.

El control de estas actividades quedó bajo el dominio del ejecutivo millonario David Rockefeller. Un listado incompleto de organizaciones periféricas que garantizan asistencias a estos grupos comprenden a: Round Table, David Millner Group, Order of St John, The German Marshall Fund of the United States, The China Fund, Inc., Fabian Society, Black Nobility, Mont Pelerin Society, Hellfire Club and the Masons.

La "madre" de todos los "tanques de pensamiento" y de "institutos de investigación" es el Tavistock Institute of Human Relations, el cual está ayudando al Stanford Research Institute. Coleman escribió señalando que entre los pasados y presentes miembros del Comité de los Trescientos están: las Reinas de Inglaterra, Holanda, Dinamarca, integrantes de familias reales europeas, George Bush (padre), Edward Carter, Houston Stewart Chamberlain, Winston Churchill, Francois Mitterrand, Jean Monet, Ernest y Henry Oppenheimer.


En los años 90 Rusia fue invitada a participar en el establecimiento de la plataforma de " un solo mundo", o "un Estado mundial". Señala Coleman que Boris Yeltsin se adhirió al planteamiento hecho por el Comité de los Trescientos, de experimentar acerca de la inclusión de integrantes "élite" de Rusia en el Comité de los Trescientos, en un experimento de llevar a Rusia a la élite gobernante del mundo..

Agrupamiento de Planes: Coleman describe el nuevo orden mundial según la "visión" del Comité de los Trescientos.


--Habrá un sistema único mundial de regulación monetaria.

Estará regido por un grupo oligárquico no electo y correspondiente a las formas sucesorales del linaje "real" para colocar a los "sucesores" de poder, donde los jefes anteriores serán quienes ubicarán líderes de su propio rango en los cargos regentes, tal como se hacía en la edad media.


--Religion: Solamente será permitida una Religión en la forma de una Religión de Estado. Tal Religión ya ha existido en secreto desde 1.920.Todas las Religiones cristianas serán prohibidas

--Control: El control de identificación de las personas individualmente se hará por números de identificación para cada persona. Los números de cada quien con su dossier de datos de vida será ubicado en los archivos de la NATO en Bruselas con todos sus detalles.

--Familia: Los matrimonios serán serán cancelados. Los niños serán tomados de sus padres desde una temprana edad, y levantados, educados, en isntituciones especiales como una propiedad del Estado. La actividad sexual libre será compulsoria.


--Niñez, nacimientos: Si una mujer sale embarazada después de haber tenido otros dos niños, ella será enviada inmediatamente a abortar y al mismo tiempo será esterilizada.


--Recursos Naturales: Solamente los miembros del Comité de los Trescientos y las individualidades "selectas" escogidos por ellos tendrán el derecho de hacer uso de los recursos naturales.


--La Agricultura: será controlada únicamente por el Comité de los Trescientos, y el procesamiento de alimentos será controlado estrictamente

--Política Social: Al menos 4 (cuatro) billones de individuos "inusables" inútiles, deberán ser exterminados para que, hasta el 2.050, como resultado de guerras por territorios, epidemias de exterminación, enfermedades mortales de rápida propagación en espacios y o países especialmente "escogidos" y el hambre, se haya reducido la población a la cantidad prevista escogida, regulada y dominada para lograr el cumplimiento de los objetivos del grupo.


--La energía eléctrica, alimentos y agua será provista suficientemente para las población blanca de la Europa Occidental y Norteamérica en primer lugar, y solamente los sobrantes irán a otras "razas".


--Las poblaciones de Canadá, Europa Occidental y los Estados Unidos deberá disminuir progresivamente con control natal con mayor rapidez que en los otros continentes hasta alcanzar el nivel controlable de un billón. De esta cantidad de personas, 500 millones serán chinos y japoneses, quienes a su vez serán escogidos y estarán sujetos a estrictas regulaciones y que incuestionablemente deberán obediencia a la autoridad (única mundial) por centurias.

Desarrollo de la Situación


Coleman afirma que individuos que forman parte de ese único equipo que se arroga la dirección del mundo están íntimamente relacionados con la preparación de programas y la ejecución de lavado de cerebros sobre grupos dirigentes y la población, reescritura de la historia, creación de valores e ideales individuales manejables, y trabajo para hacer decrecer la población.


Manejo de Perfiles:


El manejo del método de creación de "perfiles" adecuados para las personas, tal como le interesan que sean al grupo de los Trescientos, es un método desarrollado desde 1.922 por una orden del Real Instituto de Asuntos Internacionales. El método está basado en principios similares a los que hoy usa el NLP, el cual influencia a las personas en asumir ideas y en la toma de sus decisiones.


El método fué usado por el mayor John Riz , especialista conductual militar británico, quien experimentó sobre 80.000 "guinea pigs"(soldados de origen educativo muy primitivo) del Ejército británico y en prisioneros de guerra, quienes fueron objeto de diferentes pruebas psicológicas. Mas tarde, un centro especializado en lavado de cerebros para la población civil fue establecido en la Universidad de Sussex.


Esta organización super secreta fue llamada Instituto de Ciencias Políticas. La Fundación Rockefeller subsidia estudiantes y trabajos de investigación, trabaja para reformular la historia y crear una historia "ideal" acerca de la segunda guerra mundial, y sobre todo del final de la guerra, en la cual las tropas angloamericanas denben aparecer como los decisivos y "ganadores" de la guerra.

La Fundación Rockefeller es también patrocinadora de la investigación de mapas genéticos con las cualidades de un ser humano ideal, hecho en investigaciones en laboratorios cerrados sobre la base de un genoma desarrollado en tubos de prueba, para crear soldados geniales e invencibles.


Un programa para regular el crecimiento de la población fue aprobado en una reunión del equipo del "estadode gobierno mundial". Su principal meta es asegurar un nivel bajo de nacimientos en países que están fuera del "mundo occidental".

El programa cubre a 100 países y utiliza medidas tales como la esterilización forzada de los hombres y las mujeres. En opinión del Oficial Militar Vladimir Nikiforov, antiguo Coronel de la KGB, Oficial intermedio de la Primera División del Quinto Departamento del Comité de Relaciones Económicas del Extranjero, dice que los participantes del Comité Directivo del Programa han comprado cualquier cosa que les sea necesaria, cualquiera sea el costo contando siempre con inmensos recursos. Señala el mismo Nikiforov que él fue supervisor en el Asia Sureste y también ha trabajado en Laos, Vietman, Cambodia y China.

De seguro, dice, yo me reunía con mis colegas oficiales de inteliugencia y trabajé cerca del estado de estas naciones. En numerosas ocasiones pude enterarme de la existencia del comité mundial en conversaciones personales.Todos los presidentes resisten a esta dictadura, pero ellos saben que largamente son muñecos de este sistema de regulación compuesto por solamente el dos por ciento de la población mundial, los más ricos individuos del mundo. Yo se con certeza que la Reina de Inglatrerra y el Rey y la Reina de España forman parte de este grupo.

Este así llamado gobierno del mundo ha comprado y manejado cualquier cosa de su interés. Ellos han promovido guerras que estaban relacionadas con el interés y seguridad del grupo y desarrollo de sus planes. Han inventado y propagado enfermedades tales con la del Bird Flu para controlar el crecimiento de población mediante la mortandad de una masa humana. Como resultado he sido informado de que este equipo de gobierno mundial secreto está buscando crear una masa controlable de población.

El centro de la organización está en Nueva York, en la quinta Avenida, en un gran establecimiento localizado no lejos de las torres gemelas que fueron destruídas en el 2.001. Ellos se reunen de tiempo en tiempo de acuerdo a un programa.


Fuente: Вернуться на главную/Prensa Popular Comunistas Miranda


MANIFIESTO INICIAL DEL PARTIDO COMUNISTA DE VENEZUELA_ PCV

La lucha por el pan y la tierra.

Manifiesto del Partido Comunista al pueblo trabajador de Venezuela
1931


Índice

--¿Qué quiere el pueblo trabajador?

--¡La victoria pertenece a los trabajadores!

--Clase media o pequeña burguesía

--Trabajadores: ingresad en vuestro partido de clase, el Partido Comunista

--Conclusión

Compañeros:

Sofocado y aterrorizado por la tiranía que domina a Venezuela desde hace tantos años, el pueblo trabajador venezolano que tantos esfuerzos ha hecho para librarse de su verdugo está encaminándose para hacer un nuevo esfuerzo en pro de conseguir la libertad. Sin embargo, la ignorancia en que la tiranía de Juan Vicente Gómez ha mantenido al pueblo ha impedido ver a muchos trabajadores el hecho de que la mayoría de aquéllos que pretender ser «revolucionarios», como el general Arévalo Cedeño y otros caudillos, sólo representan los intereses de los hacendados y de la burguesía, es decir, de los ricos del país, y no son otra cosa que nuevos tiranos que se disfrazan con la bandera revolucionaria para adueñarse del poder y continuar por su propia cuenta la explotación de los trabajadores.

Los trabajadores del mundo entero saben que existen dos clases de gente: los que trabajan y los que explotan, pero la verdad evidente y palpable de que nada hay de común entre estas dos clases, de que los intereses entre explotados y explotadores son irreconciliables, no ha sido comprendida por muchos de los trabajadores venezolanos de la ciudad y del campo.

En todos los países del mundo los obreros y los campesinos, que son los que con su labor producen todas las riquezas, están organizados en sus propios partidos de clase, en sus propios sindicatos y ligas campesinas que representan y defienden sus intereses. Los capitalistas y los hacendados, esto es, los ricos dueños de las fábricas, empresas y tierras, también están organizados en sus propios partidos de clase y bajo la protección militar de su estado tratan de perpetuar la explotación de los que trabajan.

Si en Venezuela existe una lucha entre los ricos partidarios de Juan Vicente Gómez y su familia y los ricos partidarios de otros caudillos que representan sus intereses, esto se debe a que cada uno de ellos quiere más, quiere apoderarse de todo para sí, quiere llevarse lo que el otro tiene, quiere ser el único explotador y se disputan el privilegio de exprimir al pueblo trabajador con los mismos métodos y con el mismo fin. Los que están en el poder como el tirano Gómez hablan de «paz y orden», y los que como Arévalo Cedeño y otros quieren obtener el poder hablan de la «revolución», pero en verdad sólo hay entre ellos una diferencia de palabras, pues todos son enemigos encarnizados del pueblo trabajador.

¿Qué quiere el pueblo trabajador?

El pueblo trabajador quiere librarse de la explotación y de la tiranía de Gómez y por lo mismo tampoco quiere que lleguen al poder otros caudillos como los Arévalo Cedeño, Olivares, Ortega Martínez, etc., pues esto significaría continuar en la misma esclavitud. Los conuqueros, los peones de las haciendas, los arrendatarios, a quienes pertenece la tierra por derecho natural, pues son ellos quienes la labran y la hacen fructificar a fuerza de sudores y fatigas, quieren que ésta pertenezca a ellos y no a los ricos.

Los obreros de las minas y de las grandes empresas y fábricas quieren que el resultado de su labor y las máquinas con que trabajan estén bajo su control, quieren trabajar menos horas y recibir mayores salarios y que se les trate bien, quieren vivir como hombres libres y no vilmente explotados desde que nacen hasta que mueren lo mismo que esclavos. Todo esto es exactamente lo contrario de lo que quieren los patrones y los caudillos que representan sus intereses. Por eso el general Arévalo Cedeño que actualmente combate contra Gómez, temiendo que los trabajadores logren librarse de la explotación ayudados por los trabajadores verdaderamente revolucionarios que son los COMUNISTAS, dijo que cuando el llegara al poder «no habría bastantes árboles en las riberas del Orinoco para colgarlos».

Gómez los asesina con torturas y trabajos forzados en las carreteras y Arévalo Cedeño quiere colgarlos; ésta es la única diferencia que existe entre los dos, ambos quieren ver verdugos de los trabajadores, ambos son enemigos del pueblo.

Venezuela no está explotada solamente por los ricos venezolanos, sino también por los ricos extranjeros: los americanos del Norte, los ingleses, los franceses y otros. Esto es lo que se llama la explotación imperialista. Los grandes hacendados y los capitalistas venezolanos cualesquiera que sean sus caudillos están unidos con los imperialistas.

Tanto aquéllos como éstos están de acuerdo en explotar a los trabajadores de Venezuela y se apoyan unos a otros en contra de éstos. Gómez o cualquiera de los caudillos que pretenden suplantarlo, negocian gustosamente y en cualquier tiempo con aquellos de los imperialistas que les ofrezcan mejores gangas. Todos, pues, son traidores del pueblo que venden diariamente al país o que pretenden venderlo al mejor postor imperialista.

¿Qué quiere el pueblo? El pueblo quiere echar a los imperialistas del país y aplastar a sus servidores nacionales como Gómez y Arévalo, quiere librarse de la explotación de unos y otros. Por esta razón el pueblo trabajador es antiimperialista.

¡La victoria pertenece a los trabajadores!

La inmensa mayoría de los venezolanos son los trabajadores. Los ricos son una minoría insignificante. Tan pronto como los trabajadores comprendan sus intereses de clase y se organicen tendrán el poder en sus manos. ¿Qué derecho tienen los ricos enemigos de Gómez de apoderarse de las tierras, empresas, fábricas y otras riquezas que el tirano sanguinario ha acaparado? Pues ninguno, sólo los trabajadores tienen ese derecho y para conseguirlo les basta con organizarse en su propio partido de clase y luchar por sus propios intereses.

En Rusia, el país más grande del mundo, y con una población cincuenta veces mayor que la de Venezuela y que estuvo sometida durante siglos a una tiranía tan sangrienta como la de Gómez, al régimen de los Zares, los obreros y campesinos hace ya trece años derrocaron este gobierno e implantaron el gobierno de su propia clase, el gobierno obrero y campesino llamado SOVIÉTICO.

Se han repartido las tierras de los grandes hacendados entre aquéllos que las trabajaban directamente, y las fábricas, minas y empresas pasaron a ser propiedad colectiva de los obreros bajo el control del gobierno soviético. Los trabajadores de la Rusia Soviética trabajan actualmente sólo siete horas diarias, cada cuatro días de trabajo tienen uno de descanso, fuera de dos semanas de vacaciones cada año con salarios completos. Los salarios aumentan, y los precios disminuyen y no hay trabajadores desocupados.

En las escuelas, colegios y universidades se da la preferencia a los trabajadores y a sus hijos y el gobierno sostiene de todo a todos los estudiantes. La mujer goza exactamente de los mismos derechos y de las mismas ventajas que los hombres y se le concede un descanso absoluto con salario completo durante dos meses antes y dos meses después del alumbramiento. Bajo el gobierno obrero y campesino se construyen en la Rusia Soviética casas cómodas e higiénicas para los obreros, magníficos edificios para sanatorios, hospitales, clubes, bibliotecas y escuelas para los trabajadores, los cuales gozan de una libertad y bienestar nunca conocido en el mundo por la clase que todo lo ha producido.

Los trabajadores del mundo entero están luchando y organizándose para hacer lo mismo que sus hermanos de clase en Rusia. Los trabajadores venezolanos no han de faltar en esta lucha gloriosa por la libertad y el derecho de vivir bien. Ellos también se solidarizaran con todos los trabajadores del mundo para aplastar a sus propios tiranos e implantar el gobierno soviético de los obreros y campesinos en Venezuela.

¡A la lucha, trabajadores venezolanos!

Organizaos para conquistar el pan, la sierra y el bienestar de hombres libres. Derrocad la tiranía e implantad vuestro propio gobierno de clase, el gobierno obrero y campesino.

Clase media o pequeña burguesíaHay gentes como los pequeños comerciantes, los dueños de talleres pequeños y otros que no son ni trabajadores ni ricos. Ellos también son perjudicados por el régimen de Gómez, y por la competencia que les hacen los ricos extranjeros y nacionales en sus negocios. Pero como no son ni trabajadores ni burgueses no saben con quién irse. Hablan mucho de la revolución, pero como ellos también quieren ser ricos mediante la explotación del pueblo trabajador, casi siempre se van con los caudillos de la burguesía.

Esta clase vacilante, esta clase media entre los trabajadores y los ricos se llama la pequeña burguesía. Entre ellos se encuentran políticos muy peligrosos para los trabajadores, porque con sus pretensiones de «revolucionarios» y su contacto directo con el pueblo en sus negocios tienen facilidad para engañarlos e inducirlos a seguir a los caudillos en contra de sus propios intereses de clase. Entre la pequeña burguesía se encuentran también intelectuales, doctores, ingenieros, empleados, estudiantes y otros que en su mayor parte se benefician del régimen general de explotación de los trabajadores.

Éstos, cuando están contra Gómez, se adhieren a los caudillos de los ricos y pretender ser «revolucionarios», pero con muy raras excepciones son enemigos de la verdadera revolución de los trabajadores de la ciudad y del campo y terminan siempre por traicionar el movimiento revolucionario de los trabajadores. El pueblo trabajador debe desconfiar de esta gente en general y no permitir que tome la dirección del movimiento obrero.

Entre esta pequeña burguesía o clase media hay que contar sólo con aquellos que estén dispuestos a apoyar la lucha de los trabajadores y su partido de clase el Partido Comunista de Venezuela, por emanciparse totalmente del yugo de la burguesía, es decir, de los ricos, ya estén con Gómez o contra Gómez, pero a los que quieren desviar a los trabajadores de la lucha revolucionaria por sus propios intereses en favor de la burguesía, hay que rechazarlos rotundamente como a traidores del pueblo trabajador y sirvientes de los explotadores.

Hay solamente dos campos: los explotados y los explotadores; los que no están con los explotados están con nuestros enemigos. No hay un terreno intermedio en la lucha entre estas dos clases. Trabajadores, alerta contra los traidores.

Trabajadores: ingresad en vuestro partido de clase, el Partido Comunista

Por primera vez en la historia de este país se ha formado en Venezuela con su sede en Caracas un comité organizador de los trabajadores revolucionarios (comunistas) de Venezuela.

Este comité se llamara COMITÉ CENTRAL PROVISIONAL DEL PARTIDO COMUNISTA, SECCIÓN VENEZOLANA DE LA INTERNACIONAL COMUNISTA.

La Internacional Comunista, organización que dirige el movimiento revolucionario del proletariado mundial, y que ha tomado la iniciativa de ayudar a los obreros venezolanos a organizarse en su propio partido de clase, tiene secciones en todos los países de la América Latina y del mundo entero, se compone de unos cinco millones de obreros y campesinos organizados, controla la Rusia Soviética con sus 150 millones de habitantes y una parte considerable de China con más de 100 millones de habitantes, lo que hace un total de mas de 250 millones en un inmenso territorio donde los explotadores han sido aplastados y los obreros y campesinos tienen el poder.

La Internacional Sindical Roja, organización que lucha por el mejoramiento inmediato de la situación económica de los trabajadores, y que cuenta con 16 millones de miembros también os ayudará a organizaros en sindicatos en cada industria, empresa, mina, fabrica o hacienda para defender vuestros intereses materiales diarios contra la avaricia de la clase patronal. Ésta es la ayuda que los trabajadores organizados del mundo os aportan para organizaros a fin de libraros del yugo de los explotadores extranjeros y venezolanos.

El Partido Comunista es el partido de los obreros, defiende los intereses de todos los explotados cualesquiera sea su nacionalidad, color, raza o religión y tiene como su programa lo siguiente:

--Lucha insurreccionaria contra los grandes hacendados y la entrega y distribución de la tierra entre quienes la trabajan sin pagar indemnizaciones a los antiguos dueños.

--Toma de todas las grandes empresas, fábricas, minas y transportes y nacionalización de éstos para los obreros bajo el gobierno obrero y campesino.

--Desconocimiento de todas las deudas a los imperialistas y a los bancos y acaparadores ricos.

--Desconocimiento de todas las concesiones y privilegios de explotación a los imperialistas.

--Exención de impuestos a los campesinos pobres, pequeños comerciantes y dueños de pequeños talleres.

--Implantación de la jornada de 7 horas en todas las grandes empresas, fábricas y minas y la jornada de 8 horas en general.

--Igual salario por igual trabajo para las mujeres y los jóvenes.

--Mantenimiento por cuenta del Estado y de las empresas de los desocupados y de los incapacitados para el trabajo por enfermedad, vejez o accidentes.

--Educación elemental y superior gratuita y ayuda del Estado para el mantenimiento de los estudiantes.

--Entrega de la tierra decomisada a los indígenas, los cuales tendrán derecho a gobernarse a sí mismos.

--Supresión de todos los arriendos y alquileres.

--Las madres recibirán salario completo con derecho a descanso absoluto durante 8 semanas antes y 8 semanas después del alumbramiento y asistencia médica gratuita.

¡Trabajadores!

Los beneficios aquí enumerados los obtendréis solamente luchando vosotros mismos por ellos, con vuestra propia organización clasista. La emancipación de los trabajadores tiene que ser la obra de ellos mismos. Los caudillos sólo os traicionarán y engañarán. Vosotros mismos tenéis que libertaros y para ello es menester organizaros y controlar vosotros mismos estas organizaciones para que no se apoderen de ellas los verdugos y explotadores.

Solamente así organizados y dirigidos por vuestro propio partido de clase el Partido Comunista de Venezuela, podréis luchar efectivamente y con buen éxito contra todos los atropellos de los ricos, logrando arrancarles mejoras económicas inmediatas mientras os libráis definitivamente del yugo de los explotadores implantando vuestro propio gobierno de clase (soviético! constituido por delegados de los obreros, campesinos, indios y soldados.


Si no queréis morir como esclavos, subyugados por el terror y el látigo, sin esperanzas para el porvenir, si no queréis que vuestros hijos e hijas padezcan la misma miseria y tiranía que vosotros sufrís hoy, hay que luchar para realizar el programa comunista. Sólo los cobardes se resignan a morir bajo los latigazos del déspota explotador. Los verdaderos hombres que quieren luchar para salir de este infierno a que estamos condenados en vida los trabajadores bajo el dominio de los ricos que todo lo deben a nuestra labor, se organizaron para libertarse.

¡Para qué os sirve la vida si tenéis que pasarla sofocados por la opresión, alimentados con miserables mendrugos y tratados como perros! Solo tenéis que perder en la lucha las cadenas que los explotadores os imponen.

Conclusión

El dominio de la burguesía o capitalistas ha llegado a su última etapa. El régimen capitalista se está hundiendo mortalmente herido por las propias contradicciones del sistema y por la violenta lucha de clases que de ellas se deriva. La decadencia se manifiesta palpablemente en la crisis espantosa que sufren todos los países en donde gobiernan los ricos. Hay 30 millones de hombres sin trabajo, sin pan y sin techo, condenados a ser mendigos con sus familiares.

Los salarios de los que aún tienen trabajo son reducidos por los ricos que quieren echar sobre la clase trabajadora todo el peso de la crisis, de la quiebra del sistema de explotacion capitalista. Se aumentan las horas de trabajo, los impuestos y los precios de los artículos de primera necesidad. Los capitalistas de todos los países luchan unos contra otros para arrebatarse los restos del botín y se preparan a la guerra engañando a los trabajadores para que les sirvan de carne de cañón y defiendan los intereses de sus propios explotadores.

Los trabajadores que ya no pueden aguantar más el yugo que les imponen los ricos explotadores se están organizando en todo el mundo para sacudirlo y librarse de un sistema que convierte a la mayor parse de la humanidad en bestias de carga de unos pocos privilegiados. El proletariado mundial se prepare para seguir el ejemplo de los trabajadores de la Rusia Soviética, único país donde no hay crisis ni desocupación.

Fuente: Documentos del Partido Comunista de Venezuela/Prensa Popular Comunistas Miranda
http://prensapopular-comunistasmiranda.blogspot.com/
Correo: pcvmirandasrp@gmail.com
¡Trabajadores venezolanos! Organizaos. Todos los que no seáis cobardes suscribios al programa de liberación obrera de este manifiesto en sodas las empresas, minas, fábricas y haciendas. Es necesario organizaros en pequenos grupos clandestinos unidos entre sí y elegir delegados en comités locales afiliados al Partido Comunista y bajo la dirección del Comité Central provisional que os va a enseñar cómo se procede en la lucha por vuestra liberación. Cuidaos de los espías y traidores. No recibais en vuestras filas sino a aquellos trabajadores que sabéis bien son sinceros adherentes de la causa del pueblo trabajador.
¡Trabajadores! Luchando vosotros mismos con la ayuda del proletariado (los trabajadores) mundial, sin caudillos, ni generales extranjeros, ni nacionales, sabréis derrocar la tiranía y el régimen explotador.
¡Adelante, compañeros! Vivan los trabajadores! Viva el Gobierno Obrero y Campesino! Viva la Rusia Soviética! Viva el Partido Comunista! ¡Mueran los verdugos del pueblo trabajador!
El Comité Central Provisional del Partido Comunista Venezolano, Sección de la Internacional Comunista.
Caracas, 1º de mayo de 1931
El fusil en el hombro de un obrero es la unica garantía de la democracia. Lenin.

HIROSHIMA::BOMBARDEAMENTOS DE HIROSHIMA E NAGASAKI, UM CRIME CONTRA HUMANIDADE EXEMPLO DE TERRORISMO DE ESTADO PERPETRADO PELO ESTADOS UNIDOS

Por: Ängelo Alves

Assinalando os 63 anos dos bombardeamentos de Hiroshima e Nagasaki, Ângelo Alves (Comissão Política) abordou questões da actualidade internacional nomeadamente o armamento nuclear, reafirmando a posição do PCP de defesa do «desarmamento nuclear e simultaneamente o inalienável direito de qualquer país e povo de decidir de forma soberana sobre a sua política energética»

Conferência de Imprensa sobre a actualidade internacional

Declaração de Ângelo Alves, da Comissão Política do PCP

Há 63 anos, a 6 e 9 de Agosto de 1945, as cidades japonesas de Hiroshima e Nagasaki foram reduzidas a fogo e pó. Os bombardeamentos de Hiroshima e Nagasaki com armas atómicas são um elucidativo exemplo de terrorismo de Estado perpetrado pelo governo e forças armadas dos Estados Unidos da América e configuram um crime contra a humanidade. Nunca é demais lembrar que tal crime não correspondeu a qualquer estratégia militar para a vitória dos aliados na II guerra mundial.

A rendição da Alemanha Nazi estava já assinada e a derrota militar do Japão era já um dado adquirido. Por mais que se tente mitigar esta verdade com alterações da História é impossível ocultar que a decisão do uso da arma nuclear contra civis serviu essencialmente para os EUA afirmarem o seu poderio militar e capacidade destruidora e para sinalizar uma política de crescente confrontação com a União Soviética.

Jamais se conhecerá com exactidão o número das vítimas directas e indirectas desse hediondo crime, bem como jamais será possível conter nas palavras a verdadeira essência do horror vivido nesse e nos dias imediatos aos bombardeamentos, bem como nas décadas vindouras. Ao assinalar mais uma vez estas datas negras da História mundial pretendemos prestar uma sentida homenagem a esses milhares de homens, mulheres e crianças que pereceram sob a bomba atómica e aos que, 63 anos depois, enfrentam ainda, directa ou indirectamente, as consequências das radiações.

Mas não basta homenagear. O melhor tributo às vítimas de Hiroshima e Nagasaki é o prosseguimento e o reforço da luta contra o militarismo, a escalada armamentista, a proliferação nuclear e a agressão e ocupação imperialistas.

Segundo dados da ONU, presentemente permanecem nas mãos de oito países mais de 26.000 ogivas nucleares com capacidade destruidora incomensuravelmente superior às utilizadas em 1945. Destas, 10.200 estão completamente operacionais e na sua esmagadora maioria são detidas pelas potências da NATO. Associada a esta capacidade demolidora, a adopção de novos conceitos estratégicos - particularmente por parte dos EUA, da NATO e de várias potências europeias - abertamente ofensivos e em que o uso da arma nuclear em ataque militar é admitido - aumenta a inquietação em torno da possibilidade de o mundo vir novamente a testemunhar o terror nuclear.

Poderá parecer que Hiroshima e Nagasaki são meros horrores do passado. Mas quando a situação internacional, marcada por enormíssimas e crescentes desigualdades e por uma profunda crise económica mundial, aconselharia à aposta na diplomacia, na cooperação, no diálogo entre nações em condições de igualdade mútua e numa aposta séria no desarmamento, a retórica de paz das principais potências militares é desmentida pela profusão de conflitos militares e de guerras de ocupação e pelas permanentes ameaças de novas intervenções militares contra países e povos.

O facto de as despesas militares mundiais terem aumentado desde 1998 cerca de 45% e de os orçamentos militares do EUA e dos principais países da NATO atingirem valores recorde - com os EUA com um orçamento previsto para 2009 na ordem dos 711 mil milhões de Dólares, o maior orçamento militar dos EUA desde o fim da II guerra mundial - demonstram bem a aposta no militarismo feita pelos EUA e seus mais directos aliados e que está na origem de uma nova corrida armamentista mundial como o comprovam os dados que apontam para aumentos na ordem dos 8% das vendas das 100 maiores companhias produtoras de armamento no ano de 2007.

A situação internacional tem sido crescentemente marcada pelos atropelos constantes ao direito internacional, pela subversão do papel da ONU, pelo rasgar de tratados internacionais, pelo ataque cerrado á soberania dos países e pelo total desrespeito pelos inalienáveis direitos nacionais e sociais dos trabalhadores e dos povos. Constituem factores de grande inquietação os sinais que apontam para uma solução no Iraque que pode passar pela mitigação da ocupação estrangeira e pelo maior envolvimento da ONU e de potências europeias numa solução neo-colonial para este país; a concordância entre as elites políticas e militares norte-americanas e europeias de intensificar a guerra no Afeganistão.

A convergência, expressa no seio da NATO, entre potências europeias e os EUA, em torno do projecto do sistema anti-míssil e de uma linha de progressiva confrontação com a Rússia e China; o "regresso a África" de várias potências militares com destaque para os EUA e a instalação do AFRICOM; a reactivação da IV Esquadra norte-americana na América Latina numa linha de crescente confrontação com países como a Venezuela, a Bolívia e Cuba, e de forma geral com as forças progressistas revolucionárias deste sub-continente.

Sinais e decisões, que vistas no seu conjunto, constituem um poderoso libelo acusatório contra os EUA e seus mais directos aliados na NATO. NATO, que na sua reunião de Riga, em Novembro de 2006, consumou a sua transformação numa organização global de carácter ofensivo, sentindo-se "legitimada" para intervir em qualquer parte do mundo e sob qualquer pretexto e preparando-se para uma nova expansão que incluiu a zona ocidental dos Balcãs, o Cáucaso e a Ucrânia.

A União Europeia, não obstante a rejeição pelo povo irlandês do Tratado de Lisboa - com uma marcada vertente militarista que inclui a adopção do conceito de "guerra preventiva" como política oficial da UE - prossegue a formação de grupos de combate e prepara novos grupos navais de chamada intervenção rapida. Parte da estratégia militarista e securitária das principais potências imperialistas mundiais é justificada com um suposto combate ao terrorismo. Mas a realidade aí está a demonstrar que é essa mesma política de militarismo e mesmo de terrorismo de Estado, como é o caso gritante de Israel, que alimenta uma situação explosiva internacional, o caldo perfeito para o desenvolvimento do terrorismo.

É em nome desse suposto combate ao terrorismo que as nossas sociedades são cada vez mais empurradas para a banalização da violência e para a restrição das liberdades. A forma vergonhosa como vários governos, incluindo o português, assobiam para o lado relativamente ao envolvimento dos seus países em autênticos crimes como o transporte ilegal de prisioneiros é sintomático do ambiente de impunidade que as grandes potências - especialmente os EUA - gozam na actualidade. Facto aliás eloquentemente demonstrado na notícia veiculada ontem de que o Pentágono se sentiu livre para afirmar que a maioria dos prisioneiros de Guantanamo não serão nem julgados, nem libertados.

O tema nuclear tem ocupado a atenção da opinião pública internacional e dos Media. No dia de hoje são esperados novos desenvolvimentos em torno do chamado "dossier nuclear do Irão" e nos últimos dias têm-se multiplicado as expressões políticas da estratégia de "pau e da cenoura" dos EUA, de Israel e de várias potências europeias face a este país.

O PCP tem sobre o tema do armamento nuclear um património de posições políticas que não deixam margem para dúvidas. Defendemos, há muito, o desarmamento nuclear defendendo simultaneamente o inalienável direito de qualquer país e povo de decidir de forma soberana sobre a sua política energética, incluindo o direito de produção de energia nuclear. O braço de ferro com o Irão é um exemplo elucidativo da hipocrisia com que as principais potências imperialistas e mesmo a ONU olham o tema do militarismo e especialmente das armas nucleares.

Quando se ameaça o Irão com o aprofundamento de sanções económicas e se adensam os perigos de um ataque militar dos EUA ou de Irsael ao Irão é necessário relembrar que aqueles que hipocritamente acusam este país de tentar produzir a arma nuclear são exactamente aqueles que mantêm intactas as suas ogivas nucleares operacionais.

São exactamente aqueles que como Israel agem na ilegalidade e fora dos tratados internacionais para se armarem com arsenal nuclear e que, sem pejo, afirmam publicamente poder usar essa mesma arma. São exactamente aqueles que, como os EUA, a Grã Bretanha ou a França sob a capa de uma redução formal das suas ogivas nucleares investem milhares de milhões de dólares na manutenção e desenvolvimento tecnológico dos seus arsenais nucleares e não hesitam, como os EUA, em usar armas proibidas nas guerras que conduzem.

Às acusações de que o Irão estará a tentar ter acesso à arma nuclear há que contrapor, a bem da verdade, que ao mesmo tempo que o Irão - membro do Tratado de não proliferação - é sujeito a sucessivas e draconianas exigências de supervisão do seu programa nuclear civil, vários países como Israel, a Índia e o Paquistão - não membros do Tratado TNP e detentores de arsenal nuclear - beneficiam de apoio militar e de fornecimento de tecnologia nuclear, como o revelou recentemente o acordo nuclear entre EUA e Índia duramente criticado pelas forças comunistas e progressistas indianas e que desencadeou uma crise política no País.

Aqueles que hoje acenam com o perigo nuclear iraniano para justificar novas manobras de ingerência e para tentar alterar o quadro altamente comprometedor para o imperialismo no Médio Oriente são os mesmos que com a instalação do sistema anti-míssil norte-americano rasgam o Tratado anti-mísseis balísticos (ABM), pedra angular do equilíbrio estratégico militar mundial.

Se a administração Bush e seus mais directos aliados quiserem contribuir para a paz no Médio Oriente e Ásia Central e se de facto estiverem interessados na não proliferação de armas nucleares só têm um caminho a percorrer. Deixar de injectar armas no Médio Oriente; terminar as guerras em curso no Iraque e no Afeganistão; terminar com o apoio, político e militar à política de terrorismo de Estado de Israel contra o povo palestiniano e abandonar a política de ameaça e de descarada ingerência contra países soberanos como o Líbano ou a Síria.

O risco de novos países do Médio Oriente se armarem com arsenal nuclear existe. Mas existe porque ao longo de décadas a intervenção e presença estrangeira transformou aquela zona do globo na zona mais violenta do mundo. Se se quiser criar no Médio Oriente uma zona livre de armas nucleares, proposta defendida pelas forças progressistas do Médio Oriente há muito tempo, só há um caminho. Pressionar pela negociação política para que aqueles que já têm a arma nuclear a deixem de ter. Ou seja pressionar a potência nuclear da região - Israel - a desarmar-se. O resto serão exercícios de táctica diplomática e militar e de hipocrisia.

O mundo conheceu progressivamente as mentiras que sustentaram a guerra de ocupação do Iraque. São lições que constituem património de reflexão em torno do que se está a passar com o chamado "dossier nuclear" do Irão. É dever de todos os amantes da paz afastar todo e qualquer perigo de um novo conflito militar no Médio Oriente.

Será essa a melhor forma de honrar a memória das vítimas de Hirsohima e Nagasaki. Por isso, ao assinalar os 63 anos do crime nuclear o PCP saúda simultaneamente todos aqueles que em Portugal e por todo o mundo prosseguem a luta pela paz, justa e duradoura, pelo desenvolvimento, a cooperação e o progresso social, contra o imperialismo e a sua política de guerra.

Fuente: Avante/PrensaPopularSolidaria
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EL FUTURO REVES DE LOS ESTADOS UNIDOS SERA EN EL SALVADOR

Por. Ernesto Carmona

Mauricio Funes es un periodista del Frente Farabundo Martí para la Liberación Nacional (FMLN), nacido en 1959, que según todas las encuestas resultará elegido presidente de El Salvador en la elección presidencial del 15 de marzo 2009. Previamente, el 18 de enero, habrá elecciones parlamentaria y municipal que, según todas las encuestas,también las ganará el FMLN.

A 12 años del término de la guerra civil de dos décadas, a comienzos del 2009 puede comenzar a escribirse un nuevo capítulo en la historia de este país, destruido por la intervención de EEUU durante la segunda mitad del siglo 20.

Primero, las corporaciones que se adueñaron de la tierra para cultivar el banano y otras especies, luego destruyeron el ambiente y cometieron incontables abusos contra los trabajadores de El Salvador. En seguida, irrumpieron los escuadrones de la muerte y EEUU llevó sus recetas de contrainsurgencia, los tratados comerciales dañinos y el bloqueo de los movimientos democráticos.

Y ahora, por primera vez desde los Acuerdos de Paz que en 1992 dieronf in a la brutal guerra civil de doce años, el progresista FMLN tiene una opción razonable de ganar el poder en las próximas elecciones. En todas las últimas encuestas de 2008, el Frente exhibe una cómoda ventaja sobre el partido derechista ARENA, que ha perpetuado las mismas políticas dañinas que condujeron a la guerra civil en 1980.

Se espera que el FMLN detenga la desastrosa privatización del acceso al agua y el cuidado de salud, restaure los derechos de los trabajadores, luche por enmendar los acuerdos de comercio para un reparto más equitativo que beneficie menos a las corporaciones, ponga fin a la participación de El Salvador en la ocupación de Irak.

Y, en general, también se espera que siga la trayectoria pavimentada por los gobiernos progresistas latinoamericanos que muestran distintos grados de distanciamiento de EEUU, con diferentes matices, desde Brasil a Cuba, pasando por Venezuela, Ecuador, Argentina, Bolivia, Nicaragua y otros, cuyos gobiernos que se muestran más bien “descomprometidos” con la suerte del imperio en esta parte del mundo, como Guatemala, Honduras y otras naciones.

Mauricio Funes ha dicho con claridad que Washington no está yendo a ninguna parte y que, a pesar de las cicatrices del pasado, está dispuesto a trabajar con quien suceda a Bush.

Comentando 'La necesidadde un cambio en el gobierno', el editorialista Salvador Ventura, del diario Colatino de San Salvador, afirmó ayer 11 de agosto: 'Las encuestas, mapa del momento, dicen que el FMLN y su candidato Mauricio Funes ganarán las elecciones. Eso, en primera instancia, llena de optimismo a los salvadoreños'.

Luego añadió: Un segundo instante sostiene que la derecha, si se puede hablar de un sector reflexivo, ha entendido el mensaje y la necesidad de un cambio de rumbo en la manera de administrar la cosa pública. Y una tercera etapa, que la izquierda se encuentra preparada para aceptar el reto, asumir el gobierno y eventualmente el poder'.

Al parecer, la suerte está echada... Mauricio Funes llevará a vicepresidente al ex-combatiente Salvador Sánchez Cerén.

Fuente: De Envíos a Nuestro Correo/Argenpress/PrensaPopularSolidaria
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Correo: pcvmirandasrp@gmail.com

viernes, 15 de agosto de 2008

EL ANÁLISIS DEL TRABAJO DE LOS INTELECTUALES Y EL PARTIDO

Por: Ferrebé

En fecha reciente, en actividades relacionadas con el propósito que tiene nuestro Partido Comunista de Venezuela en el Estado Miranda, de proceder a la atención permanente y ampliación de nuestro trabajo en los cinco Municipios del Centro Urbano del Estado, que hemos denominado Miranda Centro, actualmente dirigidos en su Poder Municipal por la oposición, y en reuniones de la organización comunista de una parte de este sector, en uno de estos Municipios, el de Baruta, se han presentado interesantes discusiones acerca de lo que debe constituír el trabajo del Partido entre los intelectuales, y como realizarlo, incluyendo las formas organizativas que se pueden aplicar.

Hemos hecho algunos planteamientos, que ahora considero es importante recalcarlos, y es el propósito de este artículo y posiblemente de otros u otros posteriores si fuere el caso. A mi juicio debemos partir de clarificarnos acerca de lo que es "un intelectual".

Porque trabajo intelectual es la aplicación de nuestra capacidad de razonar, de pensar, de articular ideas en relación con una actividad cualquiera, incluída la de un trabajo de los que denominamos "manuales"-- que también tienen siempre una parte o componente de orden "intelectual"--, y el mismo trabajo que denominamos "intelectual", generalmente, o en la totalidad de los casos, tienen también una parte o aplicación no intelectual.

Entonces no podemos hablar de que exista un "intelectual" puro, o un "trabajasdor manual" puro.Pero si existe quien sea principalmente una persona dedicada al trabajo intelectual, que querría decir que está dedicado a estudiar, analizar, extraer ideas, pensar sobre ellas, y producir nuevos contenidos "intelectuales" Es decir trabaja principalmente en esa área. Incluso llega a vivir de ella, se convierte en su trabajo de subsistencia, bien en algún trabajo de aplicación inmediata, bien en la producción independiente y posterior aprovechamiento económico: escribe novelas, poemas, ensayos, los ordena en un libro y los vende.

Progresivamente, a medida que la sociedad se desarrolla, el trabajo intelectual se ubica en dos áreas bien definidas:

a) Lo que generalmente es conocido popularmente como "trabajo intelectual" es lo que se conoce como la "creación artística", que son los productores del campo artístico y de ideas y expresión de temas relacionados al pensamiento humano sobre la sociedad, la expresión individual, lo social, lo productivo artístico, donde la forma de expresión puede ser la palabra, u otros como el pincel, la piedra,instrumentos musicales y otros, o sea: literatura, música, artes, teatro, como ejemplos. Es a lo que denominamos comúnmente "intelectual" propiamente dicho, que incluye a escritores y artistas, y donde generalmente también se considera ubicado el trabajo docente o de los educadores, periodistas y trabajos similares, así como "artistas" de diferentes campos.

b) Otro grupo, cuyo trabajo intelectual corresponde a las actividades de carácter técnico y de las ciencias, el trabajo científico técnico, cuya acción intelectual está ligado directamente a los procesos productivos, al trabajo en la dirección y administración más amplio de actividades de investigación científica, la administración privada o pública, y en la investigación y desarrollo de las ciewncias de distintos campos. Aquí podemos considerar dos niveles: el científico, más elevado, en cierto sentido, por el objetivo del trabajo, y el de los técnicos, en vario niveles.

La actividad organizativa comunista parte, como base fundamental para su trabajo, de la organización de la producción en el capitalismo y por ello nuestra organización principal es en las empresas, en las fábricas, que es donde se produce en mayor medida la diferencia entre los capitalistas y la clase obrera, donde se da el proceso de explotación, y por consiguiente la lucha de clases. Así, cualquier intelectual, que esté ubicado en un centro productivo o de servicios, deberá ser un militante como "trabajador" allí donde labora, así su trabajo sea fundamentalmente intelectual. No será sujeto a que, debido a que es un "intelectual", deberá ser sacado de su centro "natural" de militancia, por así decirlo, para llevarlo o ubicarlo en un organismo básico, o célula "especial", por encima de su posición de explotado.

Que conozcamos, siempre, nuestros intelectuales comunistas, en un momento en que tuvimos una influencia muy importante entre ellos, fueron militantes comunistas en Células de: los Institutos Científicos, Educativos, como Universidades, Liceos, Escuelas. En Plantas de TV y o Emisoras, Periódicos, Museos, Hospitales, Clínicas, Ministerios, Empresas, Bibliotecas, junto, en las Células, a los empleados y obreros o trabajadores en general también militantes Comunistas de esas instituciones, e incluso en Fábricas.

Otros, no organizables por centros de trabajo, iban a cumplir su trabajo de militantes Comunistas por sitios de viviendas, en las células respectivas, o, en todo caso, a la organización Comunista allí donde desarrollaban su trabajo profesional, generalmente por cuenta propia, como médicos, pintores, dentistas, abogados, y otros, si este implicaba una relación de tal naturaleza que allí pasaba la gran mayoría de su tiempo y además tenía una gran influencia y conocimiento en el sector.

Es decir, los intelectuales, de cualquier tipo, deberán estar ubicados en la organización Comunista igual que cualquier otro militante, en su Célula de Empresa o en su Célula de sitio de vivienda.

Todo esto surgió por una discusión, que derivó hacia analizar la importancia del trabajo del intelectual en el proceso revolucionario, y el mantenimiento de "células de intelectuales", o una célula de intelectuales, para hacer el trabajo entre los intelectuales, apoyados en el artículo de los Estatutos que autoriza o permite, que existan células especiales dependientes incluso, de la propia dirección nacional, para determinados trabajo.Creo que eso no se refiere a un caso como este de una célula para el trabajo intelectual. Hay otras vías que son las correctas para tal trabajo, y están previstas en los Estatutos.

Independientemente de que sea muy estimulante, o sabroso, o como le queramos decir, depender o estar controlado directamente por la dirección nacional, el Buró, o como sea, pero no es correcto organizativamente. Para eso existen otros instrumentos, como son las Fracciones, que están previstas para los trabajos especializados, entre los trabajadores, o entre las actividades en sitios de viviendas, según sean necesarias, entre los intelectuales, y otros.

Es decir, que se organizarán fracciones comunistas de metalúrgicos, donde confluirán los metalúrgicos comunistas que estén en distintas fábricas del ramo, que militen en sus respectivas células de empresa--o de barrio o centro de vivienda si en su Fábricas no hay suficientes camaradas para construír la célula, y eso mientras la construye--, como también fracciones de la construcción, de panaderos, de la confección, de trabajadores del calzado, del transporte,de mesoneros y trabajadores de la Culinaria, aviación, portuarios, marinos, de empleados, y muchas otras similares, como igualmente las habrá de periodistas, educadores, médicos, dentistas, ingenieros y arquitectos, agrónomos, pintores, escritores, de Radio y TV, músicos y otros, e igualmente las puede haber de actividades en los barrios como las tuvimos antes de trabajadores en Centros Culturales, en Juntas Pro Mejoras, Centros Deportivos y otros.

Existen también las Comisiones, que son instrumentos auxiliares, dependientes de las Secretarías de los Organismos Regulares de Dirección de distintas escalas, (Nacional, Regional, Local) que sirven para la ayuda y desarrollo de los respectivos trabajos. Por ejemplo, para el caso de intelectuales, de la Secretaría respectiva. A las Comisiones van generalmente cuadros que tienen ya experiencia de trabajo, que ayudan al Secretario Respectivo, que no deciden, sino que aplican las políticas decididas por los organismos de dirección correspondientes a los cuales están adscritos, entre ellas son posibles Comisiones que tengan que ver con uno u otro aspecto del trabajo intelectual.

Una Célula para "desarrollar" el trabajo intelectual, en general, dependiente del B.P, o de un Regional, tendría que comenzar por plantearse: No hay otros, digamos, intelectuales, en otras Células, a los cuales dejamos por fuera, y nuestro trabajo sería mejor, más grande, incluso, con una Fracción, y a la vez con mayor fuerza?

En el caso concreto del cual salen estos comentarios, nuestro planteamiento es el de que, en la referida célula, existen camaradas ubicados en tres Municipios mirandinos, del área denominada Miranda Centro, cuyos poderes municipales están en manos de la oposición fascistoide, con un plan de fascistización, manejo de violencia basados en introducción y organización de paramilitares, con preparación para ser sujetos de acciones de violencia, guarimbas, cierres de vías, toma y cierres de vías en lo que hemos denominado "Operación Ahogo", de quinta columna, preparados para acciones violentas, en respaldo de otras en otros sitios, en combinación con otras, o en conjunto, en verdaderos "alzamientos" ligados a golpes y todo otro tipo de desestabilización, apoyados incluso desde el extranjero.

Planteamos que estamos obligados a tener aquí un Partido organizado y capaz de orientar a la población en relación a estas políticas fascistoides opositoras, organizar la acción política unitaria revolucionaria, la lucha de masas reivindicativa, organización del poder popular, y organización a todo evento, contra los planes de violencia opositora, desestabilizadora, conspiradora.

Debemos atender la organización de nuestra red de comunicación en Internet, con portavoces que orienten y a la vez hagan planteamientos de los problemas de la población, de las fábricas y otros sectores de trabajo, que contengan temas susceptibles de ser extraídos de los portavoces digitales y llevados a hojas volantes que repartir, participar en Jornadas de Reflexión--ya con experiencia en otros Municipios de este mismo sector con buenos resultados-- y toda otra acción política comunista.

Aplicar esta política significaba que los camaradas de una X Célula serían distribuídos, fortaleciendo con la distribución, al mismo tiempo, la organización de tres Municipios y una Parroquia adicional en otro Municipio muy importante para nuestro trabajo, de inmediato fortalecer cuatro portavoces municipales en Internet, desarrollar y fortalecer, no una "especial", sino a cuatro Células de trabajo diario allí donde tanta falta nos hace. Hubo una interpretación, que no compartimos: la de que se trataba de "disolver" una Célula "muy importante" (En el PCV no hay Células "muy importantes", y otras menos, poco, o no importantes, sino Células de Empresa o de Barrios). No se trata de disolver una Célula, sino de fortalecer "cuatro", fundar una en otro caso.

Porque en todo caso, el mismo grupo de intelectuales ubicados en la X Célula, ya ubicados en otras sus respectivas células como militantes, junto con otros militantes, desarrollarían un trabajo político mucho más amplio, aumentando la cobertura del Partido en varios Municipios, mientras que, paralelamente junto a otros intelectuales, provenientes de otras células, en una Fracción, pueden hacer el trabajo específico para nuestra actividad comunista entre la intelectualidad, y cada quien en su célula hará el trabajo de militante comunista que le corresponda en su célula de barrio.

Proceder de la manera que planteamos lo que hace es fortalecer el trabajo político del Partido en todos los niveles: entre la población en general de los Municipios,--que en los referidos hace tanta falta-- y a la vez entre la intelectualidad. Mantener la situación actual es perder un potencial muy importante y chucutear el trabajo político organizativo del Partido, que tanto necesitamos avanzar.

De todas formas, aplicar esta política--mantener una célula "especial" intelectual, --en vez de distribuirrla a sus sitios naturales de militancia, no nos paralizará, porque de todas formas se seguirá haciendo el trabajo de construcción de Partido, haciéndolo de sí o sí, conscientes de la importancia del sector donde se está haciendo, para defender a la revolución y al Partido, y al mismo proceso, porque estos sectores no deben ser abandonados, y en cierto sentido el movimiento revolucionario hasta ahora lo venía haciendo. Sólo que no aplicar a la militancia a sus células correspondientes por sector retrasará la construcción partidaria tan necesaria.

En cuanto al trabajo Comunista con la intelectualidad en nuestro Partido lo hemos tenido muy efectivo, y en anteriores oportunidades de mucha dimensión, altura y calidad, y como tal lo conocimos, nos tocó trabajr con él, incluso en alguna escala de dirección más o menos importante, donde precisamente la militancia efectiva básica comunista era el punto de partida y la parte específica, especializada, tenía su forma especial, tal como lo hemos descrito, de trabajo de las fracciones.

Nos referimos, entonces, a una experiencia, que en su tiempo, y en todo tiempo, si vamos al caso, debemos reconocer como positiva. Hay otros elementos de trabajo, más especializados, o específico, de la organización del trabajo del Partido entre la intelectualidad, que se derivan de lo antes planteado, al cual nos referiremos posteriormente. Se ha tratado el tema porque entendemos que es una experiencia a tomar en consideración para la buena marcha del trabajo de organización de Partido.

Fuente: Prensa Popular Comunistas Miranda
http://prensapopular-comunistasmiranda.blogspot.com/
Correo: pcvmirandasrp@gmail.com

SOBRE CAMPAÑA ELECTORAL,UNIDAD REVOLUCIONARIA ...Y LOS PELIGROS EN MIRANDA

Por: Ferrebé




Acerca de la presente Campaña Electoral, en algunas reuniones, internas de nuestro Partido Comunista de Venezuela, amplias nuestras con afiliados, candidatos a integrarse al PCV, amigos y simpatizantes, e incluso en conversaciones e intercambios con integrantes de Partidos aliados, hemos planteado que partimos en el trabajo de la campaña electoral con tardanza, en relación a como el enemigo fundamental de clase, representado por la oposición, se ha venido desplegando.




Esto del atraso lo hemos considerado, al menos, en relación al Estado Miranda, y fundamentalmente con lo que tiene que ver con Municipios como los que integramos la Organización Intermunicipal Miranda Centro, donde la derecha fascistizante ejerce el Gobierno de cinco Municipios, y con Municipios como el que forma la Capital del Estado y sus Parroquias--Guaicaipuro--, y sobre todo el Municipio Sucre, donde, en ambos, la derecha ha venido creciendo y estos Municipios están en peligro de perderse, y con ellos también la Gobernación, lo cual sería un descalabro para el movimiento popular, y el gobierno bolivariano en general, en escala nacional.




Mientras desde hace meses los integrantes de la oposición tienen una Campaña en marcha, con propaganda en las calles, de precandidatos, protocandidatos, y candidatos, según los casos, que ya es bastante, desde el campo revolucionario hubo una ausencia real, un atraso, que será difícil recuperar.




Priva en ello la falta de acuerdo, principalmente en cuanto a la formación de la alianza que acudirá al proceso, y principalmente, por el retardo en la discusión y acuerdo para el logro de la Alianza Patriótica, de sus características de no electoralista, sino de su carácter estratégico para constituír el componente de dirección colectiva que tanto necesita el proceso revolucionario, en todas las escalas y frentes de trabajo.




Hemos insistido desde la Organización del Partido Comunista de Venezuela Miranda Centro, de los cinco Municipios que gobierna la oposición fascistizante, en la necesidad de avanzar en el proceso electoral, pero hay una espera en la organización del PSUV a las "órdenes superiores" desde arriba, para avanzar en los acuerdos a niveles de Municipios.




Apoyada esta posición, es cierto, en el planteamiento de las "elecciones internas" de los candidatos, y da la impresión de que, pensando también que esta muestra de "democracia interna", sería como una especie de fórmula mágica para que al estar las candidaturas electas, esta forma de elección será más que suficiente para que se produzca un volcamiento de la voluntad electoral hacia sus candidatos.




Es evidente que todo eso produce retardos, y además han surgido protestas, desacuerdos, acusaciones, planteamientos, de procesos electorales internos non sanctos, con manipulaciones internas, maniobras e imposiciones con participación de la llamada derecha endógena nacional, regional, local, que traen más bien disturbios a las candidaturas, por una parte, y por la otra, una desestimación, a la vez, de los aliados posibles, y a la coordinación y participación común consensuada para el proceso electoral, y sobre todo el peligro de que los desacuerdos internos lleven a la pérdida absoluta de candidaturas, regionales y locales, donde precisamente el Estado Miranda es una de las regiones con mayores dificultades, en lo regional y en algunas localidades de las más importante, como Petare y Los Teques.




Los Comunistas de Miranda Centro, --los cinco Municipios que gobierna la derecha fascistizante--como los Comunistas de Miranda y del país en general, hemos insistido y seguimos insistiendo en dos cosas:. desde un principio en la necesidad de avanzar en el trabajo electoral, la llamada precampaña, desde temprano, para contrarrestar la acción opositora, por la otra, en la necesidad de la unidad desde la base, sin esperar a las "órdenes desde arriba" .




Nuestro trabajo como comunistas parte de un principio fundamental, que quedó establecido firmemente en nuestra posición de Partido ante el llamado a la constitución de "un solo Partido de la Revolución":: el Partido Comunista no se disuelve, no se incorpora a otras filas, por una simple razón: es el Partido de la Clase Obrera, el portador de la ideología proletaria del marxismo leninismo, y no es su misión formar parte de estructuras policlasistas, por muy revolucionario que pueda aparecer su mensaje, y muy buenas las intenciones de quienes formulen ese llamado. Lo cual no significa que no sea un aliado firme y decidido para la lucha y defensa del proceso revolucionario venezolano de liberación nacional y marcha al socialismo y el comunismo, para la lucha por el rescate de los Municipios en poder de la derecha, para la lucha por garantizar que Miranda y sus Municipios gobernados por partidarios del proceso sigan con esos gobiernos y más bien crezca la fuerza electoral, e incluso queremos avanzar en las alianzas correspondientes para la defensa del proceso y el avance electoral.




Hemos planteado nuestra visión de lograr como elemento fundamental y básico la estructuración de la Alianza Patriótica desde la base: en fábricas, centros de producción en general, grandes aglomeraciones de trabajo múltiple, que en Miranda son numerosos, que reúnen actividades de distribución, administrativas, comerciales, profesionales, artesanales incluso, como también en centros educativos, asistenciales y de servicios en general, en barrios y otros sectores de habitación, y por supuesto, en los niveles parroquiales, municipales y hasta regional.




Es decir, un proceso coetáneo, o simultáneo, desde todos los niveles, para la construcción de la Alianza de los revolucionarios, para la defensa de la revolución ante las acechanzas y amenazas de violencia permanente de la derecha y del imperialismo--las cuales hemos denunciado permanentemente, y llamado a la construcción de la defensa unitaria del proceso--, y para la conducción estratégica del proceso, en todos los niveles, cumpliendo así con la conducción por parte de la dicrección colectiva de la revolución.




En este sentido nuestra política electoral la hemos planteado en términos de:




--1) Alianza electoral de todos los componentes o candidatos a componente de la Alianza Patriótica, como lo más conveniente




--2) Alianza de un conjunto parcial donde no sea posible el logro del punto 1.




--3) Participación única del PCV, donde no nos quede más remedio, por no poderse lograr ni 1, ni 2.




Es el caso que hay disturbios en la unidad posible, debido a lo que nosotros consideramos como una especie de fijación, o de orientación, acerca de entender la unidad de una manera unilatertal, como sólo realizable dentro de una sóla organización, el PSUV.
En ese sentido, en reciente intervención el Presidente del PSUV, Hugo Chávez Frías, ha planteado que:
1)---"Nosotros tenemos que ser muy humildes, bueno, pero todos tenemos que ser humildes, los demás partidos también. Yo quiero hacer un llamado a los partidos: al Partido Comunista de Venezuela, el partido Patria Para Todos, el Movimiento Electoral del Pueblo y otros partidos
más, que existen.




"Lo ideal, desde mi punto de vista, es que ellos se hubieran venido aquí, todos, no quisieron algunos, algunos, porque muchos se vinieron para acá. Hay que recordar que muchos líderes y militantes del Partido Comunista, están hoy en el Partido Socialista Unido, como por ejemplo, el ministro del trabajo, Roberto Hernández; del PPT, también, Aristóbulo es un ejemplo, un líder del PPT decidió venirse al Partido Socialista, ojalá los demás hubieran seguido el ejemplo, pero ellos decidieron tener unas estructuras… bueno…que respetamos""Pero ellos tienen que respetarnos a nosotros, también, verdad? El respeto tiene que ser mutuo, sin prepotencia, sin nada, nada" .




Al respecto desde el PCV dejaremos claro lo siguiente:




Hay aquí una insistencia sobre un problema ya resuelto, al menos en cuanto nos toca, por el Partido Comunista de Venezuela. La posición ante la pretensión del Presidente del PSUV, Hugo Chávez, fue sometida a la discusión en el Partido Comunista de Venezuela, usando los métodos democráticos de nuestro Partido, y estudiada en todo el Partido, en todas las Células, Comités Locales y Regionales, en el propio Comité Central, y más aún, se realizó una Conferencia Nacional con ese tema como base. Todo aplicando la muy amplia democracia interna característica de los Partidos Comunistas, basados en el Centralismo Democrático.




Hay además razones estratégicas de carácter mundial como es la necesidad de los Partidos Comunistas como destacamentos claves, vanguardia de la clase obrera en cada país, la coordinación mundial de los Partidos Comunistas, en marcha de hecho hacia un nueva Internacional Comunista adaptada a la realidad actual de avance comunista en todos los países del mundo, que hacen de nuestra presencia como Partido Comnista en Venezuela una responsabilidad ante la clase obrera, no solo de Venezuela sino del proletariado de todo el mundo.




Por otra parte, no fueron "muchos" líderes y militantes del Partido Comunista los que se fueron al PSUV, sino sólo algunos dirigentes nacionales, pocos dirigentes regionales, menos miembros de Comités Locales, y todavía menos militantes de base.




Y en cuanto a que "ellos decidieron tener una estructura", se puede decir que nadie, ahora, puede decidir tener una estructura, o sea, el Partido Comunista de Venezuela, porque este existe desde los años veinte, en células aisladas entre sí, y todavía sin reconocimiento internacional, formalmente organizado y reconocido desde 1.931, y con estructura nacional desde la primera Primera Conferencia Nacional de 1.937 con una trayectoria conocida por todos los venezolanos. Nadie ha decidido "tener estructuras", esas existen desde hace mucho tiempo.




En cuanto al respeto, si algún Partido ha sido respetuoso en nuestro país, lo ha sido el Partido Comunista de Venezuela. Por ello tenemos derecho a exigir respeto, como es, por ejemplo, que debe ser respetada la decisión de mantener nuestra organización, y nadie tie rne derecho --sea quien sea--a estar con esa insistencia de que el PCV se disuelva para incorporarse a otra Organización.




En relación a la Unidad y la Campaña Electoral el dirigente máximo del PSUV planteó que:




2.- "Yo he instruido al General Müller para que se reúna, con una comisión que hemos nombrado del Buró Político, con la Dirección de esos partidos. Bueno, haber… bueno… ¿Cuál es la propuesta que ellos tienen? ¿Cuál es la propuesta? Porque si ellos dicen que van a pelear o que no se van a aliar, por diferencias, de una gobernación o una alcaldía, bueno… ¿Cómo hacemos, pues? Pero aquí están nuestros candidatos. ¡Aquí están nuestros candidatos, nuestras candidatas, pues! ¡Aquí están, lo hemos presentado al país! Y todos tienen una gran legitimidad, todos… todos…




A este respecto debemos decir que ese es el punto de vista del dirigente máximo del PSUV, porque permanentemente oímos opiniones, las leemos, desde el PSUV, donde se cuestionan a sus propios candidatos, y a las formas de escogencia.




Muchas coincidentes con las observaciones que otros Partidos de la posible alianza que estamos construyendo hemos formulado. No creemos que todos..todos, tienen perfecta legitimidad, ni merecen nuestro voto, y en ese sentido es que proponemos revisiones, ajustes, cambios, acuerdos, para acumular en todos los casos la mayor fuerza posible.




Y esto es una posición política y no irrespeto, ni prepotencia, ni menos buscadera de puestos o posiciones, que no constituye nunca una condición de trabajo ni de alianza para los comunistas.




Nosotros insistimos--como lo hemos venido haciendo desde el comienzo del gobierno bolivariano-- en la necesidad de la unidad estratégica para dotar al proceso de su dirección colectiva, para la defensa de la revolución contra las acechanzas y planes de violencia del imperialismo y la derecha fascista vernácula, para la marcha de la lucha por la liberación nacional, en camino al socialismo y el comunismo, para la unidad real y conducción del proceso por el sujeto revolucionario fundamental, la clase obrera, unidad de dirección colectiva que a nuestro juicio ---comunistas--- deberá expresarse en todos los ámbitos de acumulación y presencia de los venezolanos, en sus sitios de trabajo, vivienda, y de participación social en general.




En Miranda, quizás más que en cualquier otro Estado, esta es una necesidad ineludible, porque estamos ante el peligro real de perder posiciones importantes, Municipios, el propio Estado, que es el más importante para la defensa del proceso revolucionario, ante los planes reales del enemigo de apoderarse de esta entidad, como base de sus acciones conspirativas.




Para nosotros, en la organización Miranda Centro del Partido Comunista de Venezuela, es una necesidad vital la unidad y la lucha para arebatarle posiciones al enemigo, que ha constituído --en los cinco municipios mirandinos que ya dominan-- su prinipal base de operaciones, de fascistización, de conspiración, de expansión de sus redes fascistas, de expansión electoral, con la amenaza presente de avanzar mas alla de sus posiciones actuales, incluso hacia la toma de la totalidad del Estado y su Gobernación, y otros Mnicipios de la mayor importancia.





Fuente: Prensa Popular Comunistas Miranda









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ORGANIZACIÓN COMUNISTAS MIRANDA CENTRO INVITA A MILITANCIA Y AMIGOS A LOS ACTOS DEL 80 ANIVERSARIO

ORGANIZACIÓN COMUNISTAS MIRANDA CENTRO INVITA A MILITANCIA Y AMIGOS A LOS ACTOS DEL 80 ANIVERSARIO
La Organización Intermunicipal Miranda Centro del Partido Comunista de Venezuela invita a nuestra militancia, afiliados, amigos y simpatizantes a los Actos de Celebración del 80 Aniversario de nuestro Glorioso Partido Comunista de Venezuela, a realizarse según datos ubicados en la Gráfica. Los esperamos para nuestra celebración, con espíritu y combatividad comunista, revolucionario y patriótico!!! Asiste!!

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