miércoles, 4 de noviembre de 2009

L' UNION SOVIÉTIQUE DANS L' HISTOIRE 20 ANS APRÉS LA CHUTE DU MUR DE BERLÍN

20 ans après la chute du mur de Berlin (1):

L’Union soviétique dans l’histoire L’Union soviétique dans l’histoire par Michel Buenzod membre du Comité de rédaction de Gauchebdo (hebdomadaire du Parti Suisse du Travail)

Repris par http://solidarite-internationale-pcf.over-blog.net/ depuis le site du Parti Suisse du Travail

Le poids du passé:: On pouvait penser que le socialisme succéderait à un capitalisme développé, tel qu’il existait en Occident au XIXe siècle.

Or, c’est en Russie, son maillon le plus faible, que le système a cédé d’abord, comme on voit qu’il a tendance à le faire aujourd’hui dans certains pays pauvres d’Amérique latine.

Contrairement aux autres grandes puissances, ce pays est sorti très tard de la féodalité. Le servage n’a été aboli qu’en 1861, soit approximativement quatre-vingt ans après sa disparition dans le autres Etats dominants. A la veille du nouveau siècle, la paysannerie représentait environ 80% des sujets du tsar. Au moment de la Révolution de 1917, 90% de la population rurale était analphabète. Ainsi près des trois quarts des gens ne savaient ni lire ni écrire.

Pour gouverner cet immense pays centralisé, la classe dirigeante avait besoin d’une énorme bureaucratie, notamment policière, et excluait tout recours, sinon cosmétique, à des institutions démocratiques même bourgeoises, telles que les connaissaient des nations comme l’Angleterre ou la France. Les massacres de paysans, les déportations collectives, l’envoi des opposants en prison et en Sibérie, les pogroms contre les juifs, les pendaisons constituaient des caractéristiques de la politique des tsars. En outre, dans la « Sainte Russie », l’Eglise, mystique et primaire, était un précieux auxiliaire de l’autocratie qui, d’une façon générale, exploitait la servilité envers les riches et les puissants.

Certes, des entreprises capitalistes importantes se développèrent rapidement, exploitant une classe ouvrière très combative, mais encore proche de ses origines paysannes. Aux alentours des grands centres urbains (notamment Moscou et surtout Saint-Pétersbourg), les travailleurs étaient pour la plupart concentrés dans de vastes usines. A la veille du premier conflit mondial, le pays était la cinquième puissance industrielle du globe.

La guerre, à laquelle participe la Russie dès 1914, aggrave encore la situation : le chômage s’étend, la misère et les famines deviennent endémiques ; le conflit est une boucherie pour l’armée russe.
Une première question se pose d’emblée.

Fallait-il entreprendre une révolution socialiste dans un tel contexte ? Les bolcheviks, les communistes, n’ont-ils pas commis une erreur en prenant le pouvoir en octobre 1917, alors que les conditions de succès à long terme étaient si précaires ?

Pour les mencheviks, de tendance social-démocrate, il aurait été préférable de s’abstenir et d’attendre que le développement du capitalisme en Russie permette le passage à une société plus juste. Autrement dit, de prolonger les souffrances du peuple des décennies encore.

La Révolution a été le dernier acte d’une crise sociale très profonde qui mûrissait depuis plus d’une quinzaine d’années et qu’avait déjà révélée la révolution vaincue de 1905. Les premières organisations syndicales se créent alors. Les grèves politiques, les manifestations ouvrières réprimées dans le sang se multiplient en de nombreux endroits.

C’est aussi à ce moment-là qu’apparaissent spontanément les premiers soviets. (« Soviet » signifie « conseil », dans le sens d’assemblée de délégués.) Cette forme de pouvoir populaire va se développer par la suite : des soviets de représentants d’ouvriers, puis de paysans et de soldats feront leur apparition, pour remplir, en 1917, le vide politique laissé par l’incapacité du gouvernement provisoire formé de bourgeois et de réformistes, mis en place après l’abdication du tsar.

Des Congrès, issus des soviets locaux, vont se réunir, devenant le centre réel du pouvoir. D’abord, les bolcheviks n’y disposent pas de la majorité. Mais, comme ils sont les seuls à répondre aux vœux profonds de la population, ils acquièrent cette majorité, ouvrant la voie à la révolution sociale à laquelle elle aspire.

"Au moment de la Révolution d’octobre, il n’était plus nécessaire de s’emparer du pouvoir : il suffisait de le ramasser là où on l’avait laissé tomber." Eric Hobsbawm

S’il est vrai, sans doute, que des soldats, issus du peuple, ont joué un rôle sur le plan militaire dans la prise du pouvoir, parler de « coup d’Etat », comme le font souvent les historiens de droite, c’est ignorer ces réalités. C’est ignorer que seuls de hauts gradés impopulaires s’apprêtaient, avec le général Kornilov, à donner un coup d’arrêt à la colère des exploités et que, en 1917, la bourgeoisie russe incapable de bâtir un Etat sur les ruines du tsarisme, laissait faire.

L’influence des bolcheviks, au contraire, ne cessait de croître ; au 2e Congrès des Soviets réuni alors, ils sont majoritaires. Ils constituent en effet le seul parti ayant la confiance des masses, parce qu’ils veulent que le pays se retire de la guerre, que les paysans obtiennent la réforme agraire exigée depuis longtemps, et que les banques et les grandes entreprises soient contrôlées par la puissance publique.

L’historien anglais bien connu Eric Hobsbawm le dit en toute clarté :

« A l’automne 1917, une énorme vague de radicalisation populaire, dont les bolcheviques étaient les principaux bénéficiaires, balaya le gouvernement provisoire, de telle sorte qu’au moment de la Révolution d’octobre, il n’était plus nécessaire de s’emparer du pouvoir : il suffisait de le ramasser là où on l’avait laissé tomber. Nous en avons des preuves concluantes. L’idée selon laquelle Octobre n’était qu’une espèce de coup d’Etat mené par des conspirateurs ne tient pas.

»1 .- La Révolution du 7 novembre 1917 fit très peu de victimes, ses adversaires étant extrêmement faibles.

Mais les partisans de l’ancien régime, dirigés par nombre de généraux blancs, entamèrent une guerre civile qui fut rapidement soutenues par les puissances occidentales. Dix sept pays étrangers intervinrent : en particulier, les Anglais dans le Caucase, les Français à Odessa, les Américains (et même les Japonais) en Sibérie.

Le conflit dure jusqu’en 1922. A ce moment-là, la situation économique est catastrophique.

Lénine instaure alors la NEP, une nouvelle politique économique, favorisant le développement des entreprises de taille modeste et préservant la petite propriété paysanne. Lorsqu’il meurt en 1924, le pire a été évité, mais le problème majeur demeure : comment transformer le pays, de telle façon que la misère en soit bannie et qu’une société plus juste puisse grandir ? Constatant l’échec des mouvements révolutionnaires en Europe occidentale, Lénine a toutefois eu le temps de se prononcer en faveur de « la construction du socialisme dans un seul pays ».

Fuente: Repris par http://solidarite-internationale-pcf.over-blog.net/ depuis le site du Parti Suisse du Travail/ Edición:PrensaPopularSolidaria_ComunistasMiranda http://prensapopular-comunistasmiranda.blogspot.com/ Correo: pcvmirandasrp@gmail.com

POR UN PARTIDO COMUNISTA DE ESPAÑA MAS FUERTE Y CON MÁS PRESENCIA EN LA SOCIEDAD

Entrevista con Juan de Dios Villanueva: “apuesto por un PCE más fuerte y con más presencia en la sociedad, e IU más Movimiento y menos partido”

¿Cómo se ha desarrollado la conferencia del PCA previa al congreso? ¿El nivel de participación y debate han sido los esperados?

Te refieres al congreso, a la primera fase del congreso del PCA. Se ha desarrollado con mucha tranquilidad, con asambleas de todas las agrupaciones que se han reunido de forma muy natural y sin necesidad de estar encima. Y ocho congresos provinciales y el congreso andaluz con una participación media superior al 90 % de los delegados y delegadas convocados (sólo entre los ocho congresos provinciales hablamos de de más de mil delegados que han culminado en un congreso del PCA con 317 delegados y delegadas). Por otro lado, algo que hay que destacar es el grado de atención del debate habido sobre las enmiendas que han ido subiendo desde las agrupaciones de base a los congresos provinciales hasta llegar al Congreso andaluz.

La federación de Andalucía sin duda es la más fuerte en militancia del PCE ¿sois conscientes de lo que ello supone? ¿lo entiendes como algo positivo o como una responsabilidad?

Supone una gran responsabilidad, aunque siempre es mejor asumir la responsabilidad desde el dato positivo de un gran número militantes que no puede suponer nunca caer en la autocomplaciencia, ya que en Andalucía también sufrimos problemas derivados de la debilidad que afectó al PCE en los últimos años.

¿En qué radica la base de esa fortaleza?

Repito, más que de fortaleza, yo hablaría de menor debilidad. De todas maneras, el PCA siempre destacó por estar muy enraizado en numerosas comarcas y decenas de pueblos de Andalucía. También ha influido mucho la gran voluntad política de las direcciones del PCA, desde el XIII Congreso, para no dejarse diluir en IU y tener un partido visible en la sociedad y cohesionado, desde el debate y el acuerdo político, en IULVCA.

De cara al XVIII Congreso ¿Cuáles son tus expectativas?

Salir del mismo con el objetivo colectivo de acentuar el proceso de Reconstrucción del partido iniciado en el XVII Congreso y conferencias realizadas en el último periodo.

¿Debe el partido recuperar el centralismo democrático o al menos caminar en ese sentido?

Yo me conformaría con que todos los miembros del partido asumieran que la posición política de los comunistas se construye en el seno del partido.

Se habla mucho de reconstrucción del PCE ¿qué pasos debieran darse para que esa reconstrucción sea efectiva?

--En primer lugar, tener la voluntad política de crecer.

--En segundo, tener un partido con capacidad de intervención social en el Movimiento obrero, los nuevos movimientos y el movimiento feminista (o lo que sería la concreción práctica de lo que llamamos alianza de lo rojo, lo verde y lo violeta).

--En tercer lugar un partido que funcione desde la elección de los comités a todos los niveles, la entrega de los carnés, periodicidad de reuniones, la comunicación de los acuerdos y actas, las cuotas fluyendo, presupuestos.

-- En cuarto lugar un partido visible, no oculto, debemos mostrarnos ante la sociedad y difundir nuestras posiciones. Aunque el paso más importante para que sea efectiva la reconstrucción es la asunción colectiva de que somos un partido político con todas las funciones de un partido político y con las únicas limitaciones que nosotros soberanamente nos pongamos.

Y hay que abordar de una vez el debate PCE-IU. Llevamos desde el XIII Congreso hablando del “PCE de IU”, del “PCE en IU”, años después de “un PCE fuerte para una IU fuerte” y del PCE como garante de la existencia de la izquierda transformadora. Es decir, de un partido siempre en función de IU. Hemos llegado a confundir al proyecto del partido con la estrategia y a ésta con el instrumento de la misma. Ya va siendo hora de que el PCE sea lo que tiene que ser: un instrumento de la lucha de clases al servicio de los trabajadores.

¿Por qué modelo de convergencia debe apostar el PCE? ¿Recuperar las siglas, refundar IU o apostar por un proyecto que supere la actual Izquierda Unida incluso con un cambio de siglas?

Yo apuesto porque el PCE sea más fuerte y con más presencia en la sociedad e IU más Movimiento y menos partido. A mi juicio reconstrucción del PCE y refundación de IU no deben ser proyectos enfrentados. No es posible la refundación de IU sin la reconstrucción de un fuerte partido comunista y no son viables ni una cosa ni la otra sin el desarrollo de la política de convergencia que aprobó el PCE hace mucho tiempo, en el XI Congreso.

El partido ha de poner en marcha todas su funciones. IU debe reforzar todos los aspectos relacionados con la elaboración colectiva, las áreas, el encuentro programática y en la movilización con lo que históricamente llamamos el Bloque Social Crítico. Al mismo tiempo, IU debe ir despojándose, paulatinamente, de todos los elementos actuales que en su estructura, nomenclatura y funcionamiento lo asemejan a un partido.

Para partido ya tenemos al PCE, no se concibió la política de convergencia para absorber ni sustituir al PCE. Tenemos que ser valientes para desandar algunos de los pasos andados.

Con las premisas anteriores, la denominación IZQUIERDA UNIDA sigue teniendo plena validez. IU no puede refundarse, junto a otros (si es que existen) en igualdad de condiciones. IU tampoco puede ser la base sobre la que comience la refundación. IU debe ser el lugar en el que se sigua desarrollando la convergencia y en el que se haga la refundación.

Todo lo que haya en el campo del anticapitalismo, el sindicalismo crítico, la lucha por la III República, etc…tiene cabida en un nombre tan genérico: Izquierda Unida. Nadie tiene que dejar de ser lo que es ni de existir para estar en IU.

¿Qué opinión te merece la candidatura de José Luís centella como aspirante a la secretaría general del PCE?

José Luis ha sido valiente, se cree el proyecto y se lanza. Debe contar con el poyo de todo el partido y el arrope del próximo Comité Federal en una dirección colectiva.

¿Cómo valoras su gestión al frente del PCA?

Ha estado al frente del PCA en un periodo en el que hemos sufrido el intento, en dos asambleas consecutivas, de hacer una IU sin comunistas y esos intentos han sido derrotados en Andalucía de manera estrepitosa. Al mismo tiempo se ha mantenido la actividad y la visibilidad del PCA. Eso lo dice todo.

Fuente: Portavoz del Comité Local Sevilla_del Partido Comunista Andaluz PCA:del Partido Comunista de España_PCE/La República.es/ Edición de: PrensaPopularSolidaria_ComunistasMiranda http://prensapopular-comunistasmiranda.blogspot.com/ Correo: pcvmirandasrp@gmail.com

OEA. "UNICA SALIDA DE PAZ ES RESTABLECER A ZELAYA"

SANTIAGO DE CHILE, 3 (ANSA)- José Miguel Insulza, secretario general de la Organización de Estados Americanos, OEA, urgió a los congresistas hondureños a que "se dejen de retórica", instalen ya un gobierno de unidad nacional y restituyan al depuesto presidente Manuel Zelaya.

"La única salida de paz es restablecer al Presidente (Manuel) Zelaya por el escaso tiempo que le queda en la presidencia", declaró hoy Insulza a radio Cooperativa desde Ecuador, donde asistirá a una reunión de ministros de defensa y relaciones exteriores de Colombia y Ecuador.

Insulza subrayó que el primer punto acordado por los representantes de Manuel Zelaya (presidente constitucional) y Roberto Micheletti (presidente de facto) es "instalar un gobierno de unidad con un gabinete que va a representar a todos los sectores de Honduras para que conduzca al país durante los dos meses que quedan antes del fin de la presidencia de Zelaya".

"Todo el mundo espera que el Congreso decida el tema porque fue el Congreso, el 28 de junio, el que tomó la decisión finalmente de nombrar al señor Micheletti", insistió el secretario general de la OEA. "Yo espero que lo hagan pronto. No creo que lo vayan a hacer hoy día, pero lo ideal sería que lo hicieran ya", insistió.

"Los tiempos apremian y ojalá que (los congresistas) hagan lo que quieren los hondureños. En Honduras la gente quiere que esto se termine. Esta mesa de dialogo todos dicen que la empujó Estados Unidos y la OEA, pero en realidad la empujó la gente de Honduras que no quería que se rompiera y que quería que hubiera un acuerdo", explicó Insulza.

Insulza dijo que la OEA quiere efectuar una asamblea general el 16 de noviembre e "incluso la queremos hacer en Tegucigalpa si es posible, para levantar las sanciones a Honduras".

"Yo pedí autorización al Consejo (de la OEA) para empezar a preparar la misión electoral que va a ir a observar las elecciones en Honduras. Todavía tengo que decidir quién encabeza esa misión. Pero para eso necesitamos levantar las sanciones, por cierto, y para eso hay que cumplir el acuerdo", detalló.

Insulza agregó que "en la mesa de dialogo se habló mucho de la creación de este gobierno de unidad nacional y de la búsqueda de un cierto pacto nacional para sacar adelante al país" donde el 60% está bajo la línea de pobreza.

"Honduras es el tercer país más pobre de América, un poco por encima de Nicaragua y ambos bastante por encima de Haití, lo que genera mucho de estas situaciones que tienen que ver con la situación social que se vive", aseveró.

Fuente: Agencia ANSA/ Edición de: PrensaPopularSolidaria_ComunistasMiranda http://prensapopular-comunistasmiranda.blogspot.com Correo: pcvmirandasrp@gmail.com

INFORME AL XVIII CONGRESO DEL PARTIDO COMUNISTA DE ESPAÑA ( V ).. BALANCE POLÍTICO DE CUATRO AÑOS

( V )

España: Impacto de la Crisis Capitalista Global y Consecuencias de la Crisis Propia por el Modelo Productivo Desequilibrado

En España, además de sufrir el impacto de la crisis capitalista global y sus consecuencias económicas y sociales, hay la propia crisis, fruto del tipo de crecimiento basado en un modelo productivo desequilibrado, especulativo e irracional.

Un modelo que ha hecho subir el paro al 20% (+ de 4 millones), que ha hecho subir la vivienda en 300 por 100 (poco bajará en relación a esta subida), que ha destruido zonas enteras por la especulación, que ha generado un sistema de financiación atrofiado y un mercado de trabajo contradictorio con las necesidades del país y que, en consecuencia y fruto de la crisis propia, ha hecho retroceder al conjunto de sectores productivos, especialmente en todo lo que afecta a la modernización de productos y servicios y al intercambio con el exterior.

Los dos partidos mayoritarios, PP y PSOE, más los nacionalistas y minoritarios que les han apoyado por coincidir con sus políticas, o por oportunismo interesado, son los responsables de esta realidad. Han apoyado, defendido, o tolerado las políticas neoliberales fundamentadas en el modelo productivo que se ha derrumbado.

Ahora, el gobierno del PSOE habla de cambios, de un nuevo modelo. Sin banca pública, sin empresas básicas públicas (energía, aguas…) sin una política de planificación democrática a medio-largo plazo de necesidades y posibilidades, sin una política industrial y de I+D+I, que no sea un “plan renove” tras otro, no es posible sentar las bases para un nuevo modelo, ya no solo productivo sino económico, basado en un fuerte impulso de los servicios esenciales para reforzar su carácter público y su eficiencia y para que sirvan de motor económico, junto al desarrollo de formas productivas y energéticas cada vez menos destructivas.

Esta política, que debe defenderse también en Europa, diseñada a largo plazo, debe ir acompañada de cambios sustanciales en las costumbres y en el sistema de recaudación. En las costumbres, poniendo en marcha un nuevo concepto del bienestar, basado en la austeridad frente al gasto consumista, siempre de carácter parasitario y depredador.

La felicidad no se crea con la posesión de muchas cosas inútiles, sino con la utilización sabia de las útiles para hacer la vida más agradable. Los recursos públicos para hacer frente a las necesidades deben salir de toda la sociedad en una proporción progresivamente creciente de su nivel de rentas y beneficios, es decir, con una progresividad fiscal.

Los impuestos no tienen un sexo ideológico abstracto, sirven para que el Estado, todas sus administraciones, tengan capacidad presupuestaria para hacer frente a las necesidades sociales de forma justa y solidaria, con igualdad básica para todos y todas.En España, y en Europa, se debe dar la batalla por una nueva concepción de la economía, de los derechos sociales y de la democracia.

Esto no va a hacerlo la socialdemocracia, en retroceso por haber aceptado y defendido la misma política que la derecha (Alemania y el Reino Unido son el ejemplo más claro), ni las organizaciones a medio caballo entre el neoliberalismo y un progresismo evanescente, como es el caso del Partido de la Democracia, en Italia.

Mucho menos la derecha que es más neoliberalismo, más de lo mismo y más conservador, con matices, según el país y los intereses nacionales a defender.

Fuente: Portavoz del Partido Comunista de España PCE.es/ Edición de PrensaPopularSolidaria_ComunistasMiranda http://prensapopular-comunistasmiranda.blogspot.com/ Correo: pcvmirandasrp@gmail.com

martes, 3 de noviembre de 2009

HONDURAS..MIÉRCOLES CUATRO ( 4 ) DE NOVIEMBRE ¡TODOS A TEGUCIGALPA!

VAMOS TODOS A TEGUCIGALPA, TODOS AL CONGRESO NACIONAL

TODOS A DEMANDAR LA RESTITUCIÓN DEL PRESIDENTE MANUEL ZELAYA, MEL

LA LUCHA CONTINUA,
AQUI NO SE RINDE NADIE


La Resistencia, Honduras

L' UNION SOVIÉTIQUE DANS L' HISTOIRE 20 ANS APRÉS LA CHUTE DU MUR DE BERLÍN

20 ans après la chute du mur de Berlin (1): L’Union soviétique dans l’histoire

L’Union soviétique dans l’histoire

par Michel Buenzod membre du Comité de rédaction de Gauchebdo (hebdomadaire du Parti Suisse du Travail)

Repris par http://solidarite-internationale-pcf.over-blog.net/
depuis le site du Parti Suisse du Travail


L’URSS n’a-t-elle été, selon la formule d’un historien, qu’une « illusion » ? Ou s’agit-il d’enraciner l’idée que le capitalisme est indépassable et d’éradiquer ainsi tout espoir ? Il est indispensable aujourd’hui de rétablir les faits.

Le 9 novembre 2009, tous les défenseurs du capitalisme se mobilisent pour fêter le vingtième anniversaire de la chute du mur de Berlin, le « mur de la honte ».

Merveilleux symbole de la victoire de la « liberté » sur le « totalitarisme » !
Mais on ne peut comprendre les ressorts réels des événements, sans un bref retour aux réalités politiques de la fin de la guerre. Vainqueurs de la Wehrmacht hitlérienne qu’ils avaient combattue presque seul jusqu’à l’ouverture du second front en 1944, les Soviétiques occupent toute l’Allemagne orientale.

En juillet 1945, à la Conférence de Potsdam, les vainqueurs établissent les règles de leur cohabitation dans l’Allemagne occupée. Bien qu’ayant été les seuls à libérer Berlin, les Soviétiques acceptent que l’ancienne capitale du Reich soit divisée en quatre secteurs, comme le reste du pays.

Cette décision était conforme à la politique générale de l’URSS : l’union de toutes les forces opposées au fascisme devait se poursuivre dans la paix.

Pourtant, en mars 1946, Churchill prononce à Fulton , aux Etats-Unis, un discours qui est considéré comme le point de départ de la Guerre froide.
Dès lors, le problème de Berlin va se trouver au cœur du conflit est-ouest.
Nous ne pouvons ici entrer dans les détails : chars américains et soviétiques face à face, pont aérien occidental, mesures d’apaisement dues à la politique ouverte de Willy Brandt, etc.

Sur le fond, il faut se poser la question de savoir quel est, aujourd’hui, le but du battage entrepris, vingt ans plus tard, autour de la chute du mur.
Toute réponse documentée exige qu’on comprenne q’elle a été la véritable place de l’Union soviétique dans l’histoire.

L’URSS a-t-elle été uniquement, selon l’expression de l’historien français de droite François Furet, « une parenthèse », « une illusion » ?

Parenthèse, illusion qui ont duré trois quarts de siècle ! Aucune analyse sérieuse ne peut accepter un tel point de vue dont le but est de détacher de leurs combats ceux qui, en ce début du XXIe siècle, ont été profondément désorientés par la disparition de l’Union soviétique : non seulement des communistes, mais des progressistes partout dans le monde. Il s’agit d’enraciner l’idée qu’aucune société plus juste n’est capable de succéder au capitalisme.

Il s’agit d’éradiquer l’espoir.

Il est donc indispensable de rétablir les faits, en prenant en compte les réussites comme les échecs, la face sombre comme la face positive de ce que fut l’URSS - laissant de côté les polémiques intéressées comme les explications dogmatiques sujettes à caution.

Fuente: Repris par http://solidarite-internationale-pcf.over-blog.net/ depuis le site du Parti Suisse du Travail/ Edición:PrensaPopularSolidaria_ComunistasMiranda http://prensapopular-comunistasmiranda.blogspot.com/ Correo: pcvmirandasrp@gmail.com

RESISTENCIA HONDURAS PLANTEA:: RESTITUCIÓN DE ZELAYA DEBE SER ESTA SEMANA

Resistencia: restitución de Zelaya debe ser esta semana

Tegucigalpa.

PL. 3 noviembre del 2009

El Frente Nacional contra el Golpe de Estado en Honduras, advirtió este martes que la restitución del presidente Manuel Zelaya debe concretarse esta misma semana para evitar una profundización de la crisis.

La organización, que agrupa a sindicalistas, campesinos, indígenas, mujeres, políticos progresistas y otros sectores, mantendrá plantones permanentes frente a la sede del Congreso Nacional para exigir la aprobación del retorno de Zelaya al poder.

Los acuerdos firmados el 30 de octubre entre el gobierno constitucional y el régimen de facto dejan en manos del Parlamento la facultad de restablecer el poder ejecutivo existente antes de la asonada del 28 de junio.

Sin embargo, líderes populares manifestaron su preocupación porque algunos sectores políticos y aliados de la dictadura pretenden desconocer el espíritu de lo pactado a través de tácticas dilatorias o negando el cumplimiento de los puntos esenciales.

"Esto es muy peligroso porque estamos a menos de un mes del proceso electoral", advirtió el coordinador general del Frente, Juan Barahona.

La organización reiteró su decisión de no reconocer los comicios del 29 de noviembre, si no se restablece el orden institucional.

De acuerdo con el cronograma, hoy deberá quedar instalada la comisión verificadora de los acuerdos, mientras que para el jueves está prevista la conformación de un Gobierno de Unidad y Reconciliación Nacional.

"La crisis generada por el golpe de Estado se acabará cuando se cumpla lo acordado", indicó Carlos Eduardo Reina, uno de los líderes del movimiento de resistencia que mantiene ya 129 días de manifestaciones en demanda del retorno a la institucionalidad.

Fuente: P.L./Radio La Primerísima Managua/ Edición de: PrensaPopularSolidaria_ComunistasMiranda http://prensapopular-comunistasmiranda.blogspot.com/ Correo: pcvmirandasrp@gmail.com

HONDURAS...LA VERDADERA INTENCIÓN DE LA OLIGARQUÍA: TODO CONTRA LA PARTICIPACIÓN DEL PUEBLO

Por: Ricardo Arturo Salgado

Honduras: La verdadera intención de la Oligarquía; todo contra la participación del pueblo

Las tesis sobre las causas mediatas e inmediatas que produjeron el golpe llegan normalmente a la conclusión de que el mismo fue ejecutado contra la posibilidad de que el pueblo hondureño alcanzará mayor poder a través de su participación en la toma de decisiones relevantes en el país. En otras palabras, había que detener la posibilidad de que el pueblo refundara la nación.

En este afán, la oligarquía y sus sirvientes de siempre no solo recurrieron al golpe, sino también a las tácticas mas salvajes heredadas del fascismo latinoamericano de los años setenta y ochenta, con el fin supremo de “persuadir” al pueblo de que es mala idea cuestionar la autoridad de los que mandan; de desafiar eso a lo que periodistas fascistas hondureños llaman paz, democracia y armonía social.

El 28 de junio, después de un largo y detallado proceso de planificación, tanto a nivel local como internacional, y con al menos el consentimiento de la administración norteamericana, o parte de ella, se ejecutó el golpe de estado que para la oligarquía significa mantener sus obscenos privilegios dentro de Honduras, y para el imperio y su derecha servil del continente como un ensayo para practicar la nueva visión de la democracia de los que tienen mucho.

Entonces el propósito ha sido detener la lucha del pueblo hondureño, y la eventual resistencia de los pueblos latinoamericanos. Sin embargo, el escenario que se presentó en Honduras después del golpe fue muy desfavorable para los golpistas que siempre supieron que podían burlarse de la comunidad internacional mientras contaran con el apoyo de los halcones.

La reacción popular ha demostrado que los planes de los enemigos de los pueblos son una cosa, y la reacción de los pueblos es otra. En nuestra Honduras, los cuatro meses de resistencia popular no solo han servido como una gigantesca escuela política para el movimiento social, sino también ha puesto en evidencia la posibilidad real de tomar el poder para el pueblo en lucha.

La estrategia de la derecha, en busca de esquivar el impacto de sanciones internacionales ha concentrado sus esfuerzos en la realización de unas elecciones que realmente no desean. Las ven, o por lo menos las han visto hasta ahora, como un mal menor que ellos pueden controlar electrónicamente, con el complemento eficaz de su maquinaria represiva.
Sin embargo, en las últimas semanas se les ha visto urgidos por descartar la participación de las candidaturas populares a los cargos en juego en esa elección. Es evidente que su carta electoral funciona si no participan las fuerzas progresistas en el proceso. Hoy la restitución meramente simbólica del presidente constitucional les sirve para alargar la tensión y someter a presión a nuestros candidatos para que pronuncien su renuncia públicamente.

El presidente Zelaya sabe y entiende que el camino trazado por los golpistas mas temprano que tarde los llevaría a un callejón sin salida; su argucia electoral terminaría acorralándolos, porque su misión NO ES EVITAR QUE EL PRESIDENTE RETORNE; ES EVITAR QUE EL PUEBLO TOME CUOTAS DE PODER REAL. Las arengas sobre la participación de un “mosaico” de ideologías que proclamaba Micheletti hace dos meses, se ha desvanecido y se ha puesto en tela de juicio la intención sincera de los golpistas de llevar a cabo un proceso electoral que incluya los candidatos en resistencia.

Si revisamos rápidamente lo que esta en juego nos daremos cuenta de verdades que siempre están presentes, pero que tendemos a obviar o ignorar:

El congreso nacional tiene la potestad de elegir: La Corte Suprema de Justicia (cada siete años); Fiscal general y Fiscal adjunto (cada cinco años); Procurador General de la República (cada 5 años); Tribunal Supremo Electoral (cada 5 años); Tribunal Superior de Cuentas (cada 5 años); Comisionado Nacional de Derechos Humanos (cada 5 años). Un poder importante el que tiene dicho congreso.

Durante los 30 años de vida electoral (no democrática) el control de todos estos entes (los que curiosamente tienen hoy periodos de ejercicio mas largos que el del propio presidente), el control del poder se ha centrado justamente en repartir esas instituciones entre representantes de los diversos grupos que conforman la oligarquía.

Siempre estos cargos han sido electos por consenso bipartidista y nunca ha habido ninguna disputa mayor sobre su repartición. La Corte Suprema y su famosa proporción 8-7 (Ocho magistrados del partido en el poder y siete del otro partido tradicional) patentizan la maquinaria de la impunidad y el soporte de la corrupción.

Por esta razón priva en honduras la arbitrariedad por encima de la legalidad; por eso los bancos pueden rematar lo que quieran cuando quieran; por eso existen grandes negocios con bases de datos sobre los historiales de las personas (centrales de riesgo); por eso los cambios de velocidad en la aplicación de la justicia entre muy lenta para los casos mas terribles de corrupción hasta muy rápida contra funcionarios de la administración Zelaya y los presos políticos de la resistencia.

Esta maquinaria de impunidad ha sido manejada por unos cuantos durante todos estos años: Los “Capos” de esta mafia del tráfico de influencias se cuentan con los dedos de la mano: Carlos Roberto Flores Facussé (quien ha ubicado su gente en todos los órganos mencionados); Ricardo Maduro Joest; Rafael Leonardo Callejas, y otro par de miembros de este selecto grupo de Corleones politicos

Vemos pues que lo que esta en juego para la derecha es sencillamente el mecanismo que le permite vivir bajo condiciones de dueños del país. Está claro que si los grupos populares ocupan posiciones dentro de esta estructura, esa manipulación se acaba; se posibilita la revisión del sistema en si; se abre el camino a la asamblea nacional constituyente y con ello la revisión de la duración y formas de elegir estos importantes estamentos auditores y administradores de la justicia.

Se ve muy obvio que el propósito de estos señores es EVITAR LA PARTICIPACION DE LOS CANDIDATOS DE LA RESISTENCIA en el proceso electoral. Por eso el análisis de la coyuntura es de suma importancia para los dirigentes populares, sus candidaturas, y el mismo presidente Zelaya. Las decisiones que tomen pueden tener consecuencias por años para la vida nacional.

El proceso de unidad de todos los grupos integrados en la resistencia es valioso para nosotros y preocupante para los oligarcas golpistas. Es imperativo encontrar las vías para un análisis profundo y unitario de las acciones a seguir. Se deben encontrar las vías para llegar a conclusiones valiosas entre los líderes políticos en resistencia y el presidente de la república.

En cualquier caso, sin importar cual sea la decisión final, todos estamos obligados a sumarnos a procesos de organización para enfrentar la eventual participación en el proceso electoral.

Mas allá de las consideraciones de tipo ético, moral (de las que carecen los golpistas), y políticas; y considerando las experiencias de los procesos populares en América Latina, luce de gran relevancia la utilización de los propios medios y reglas de la derecha para ganar los espacios que necesitamos para garantizar el avance de nuestros proceso de liberación.

Así pues, debemos apoyar las decisiones de nuestros dirigentes, conscientes de que la responsabilidad de estas revisten una importancia capital para nuestro propio futuro. Hoy la unidad es la herramienta de la victoria.

Fuente: PrensaPopularSolidaria-ComunistasMiranda

http://prensapopular-comunistasmiranda.blogspot.com/ Correo: pcvmirandasrp@gmail.com

NUESTRA RAZÓN DE SER NO ES ANALIZAR LA REALIDAD PARA TOMAR NOTA DE LO QUE OCURRE, SINO PARA TRANSFORMARLA". DOCUMENTO BALANCE DE CUATRO AÑOS_ PCE

( IV )

Las tres partes anteriores del Informe al XVIII Congreso del PCE presentaron los elementos principales que abarcan el balance político de cuatro años desde el XVII Congreso.

Hay otros elementos en la vida social del país y del mundo a las cuales se requiere igualmente pasarle revista.

( IV )

Las páginas anteriores han querido centrarse en los elementos principales que deben abordarse en un balance político de cuatro años.
Hay muchas más cosas de la vida política y social de España, Europa y el mundo, pero saber qué decidimos en el XVII Congreso y qué hemos hecho es la más importante ya que no puede impulsarse el futuro sin conocer bien el pasado y el presente.

Nos queda un gran asunto a debatir, la política de alianzas, buscando una posición unida de todo el partido, ya que la dispersión es lo más conflictivo y contradictorio cuando deben tomarse decisiones en torno a acuerdos, pactos, alianzas, en los diversos niveles de la vida política. Desde la soberanía e independencia del PCE, preciso es encontrar las tácticas para hacer avanzar nuestras propuestas.

Así mismo, saber qué ocurre en el mundo de la economía y actuar en consecuencia es, no solo necesario para un partido marxista, sino imprescindible. Nuestra razón de ser no es analizar la realidad para tomar nota de lo que ocurre, sino para transformarla. Tampoco somos, o tampoco podemos ser, un colectivo ensimismado en una dialéctica estéril en las instituciones, en las cuales derrochemos esfuerzos inútiles.

Ni mucho menos los representantes de un pequeño espacio de “poder” desde el cual no puedes cambiar la realidad pero ésta sí puede cambiarte a ti.Todo esto viene a cuento de la posición anticapitalista del partido y de las posiciones en contra de los enemigos y adversarios y hasta de algunos de los teóricamente amigos internos, que creen que el PCE debe desaparecer y que IU debe ser una especie de organización respetable que busca los resquicios que dejan los partidos del sistema para tener un lugar al sol que permita a unos/as cuantos/as estar presentes en los salones oficiales. Incluso algunos que ven el lenguaje de Cayo Lara inoportuno y primitivo.

El partido debe utilizar todos los resortes para hacer políticas que hagan la vida de la gente más humana y para cambiar a fondo las cosas. Una y otra cosa son inseparables de las ideas y de la acción del partido. Por ello hemos puesto énfasis en la principal tarea del partido: hacer frente al capitalismo, que es la causa de la crisis, de las hambrunas, de las guerras…

En el momento de celebración del Congreso nos encontramos con un mundo de profundas brechas, por no decir abismos, entre los que comen y los que mueren de hambre e inanición, entre los que derrochan y los que sobreviven, entre los que tienen maravillosos colegios particulares y los que no pueden aprender las cuatro reglas, entre los que gozan de todos los adelantos médicos y los que no disponen de una medicina contra la diarrea. Entre u nos y otros, en el mundo y dentro de cada país, esto es la desigualdad normal que impone el capitalismo a través de un mercado fundamentado en la rapiña.

Continúan las guerras, los choques étnico-religiosos, que esconden la lucha de los grupos transnacionales y de los corruptos locales (en todas partes y), especialmente, en África, en Oriente Medio, en Asia. Siembran el terror con teóricas o reales pandemias que sirven para los grandes negocios farmacéuticos. En Iraq hay guerra, humillación, odios, miseria, retroceso en salud y educación. Es el resultado de la guerra iniciada por la parte más fascista del capital, y continuada por todos.

En Afganistán hay guerra, de los EEUUU, de la OTAN y sus países. En Palestina hay guerra permanente del estado criminal de Israel contra el pueblo palestino, al que conducen progresivamente a la muerte, a la miseria, a la desesperación, al enfrentamiento, a rasgos de fanatización religiosa. En el norte de África el pueblo saharaui continúa desposeído de su tierra.

En la América del Sur y del centro continúa habiendo la intervención imperialista contra Cuba, contra el desarrollo económico, social y cultural de Venezuela, Bolivia, Ecuador. Hoy, la intervención general es aparentemente menos brutal que antaño (salvo en Honduras) pero utiliza todos los recursos para intentar imponer su dominio económico, financiero, tecnológico y militar, aunque todo ello se disfrace de lucha por la democracia. La democracia en el capitalismo, es necesario repetirlo, puede ser el narcótico que duerme al paciente mientras se le quita la cartera pero también puede ser un instrumento para superarlo.

El capitalismo es la crisis. Nunca estará de más recordarlo, ante el lavado de cerebro permanente y la amnesia colectiva que ello genera.En medio de esta realidad caótica e insegura, crecen las peores costumbres en todas partes. No crece el reparto justo de la riqueza, la igualdad y la solidaridad, el encuentro humano y cultural, el desarrollo equilibrado que no destruye sino que alimenta, cura y educa.

Hace una eternidad que despareció la Unión Soviética. Debía reformarse y se destruyó. Los saqueadores de fuera y los canallas de dentro se repartieron el botín. El mundo fue a partir de entonces más peligroso, no más seguro.

No valen lamentos de lo que debía haber sido y no fue y tampoco vale tolerar, aceptar o encajar las permanentes campañas anticomunistas que derecha, centro, seudoizquierda y elementos retorcidos y claudicantes de la izquierda promueven.

En la historia los intentos de construir una nueva realidad pueden triunfar o fracasar, totalmente o a medias, aunque si el intento ha sido serio siempre queda una base de reflexión y una conciencia, además de una cultura más social y solidaria.

Si las ideas que dieron vida a los procesos revolucionarios de orientación socialista eran válidos, son válidos, de nada sirve el lamento sobre las dificultades para defenderlos. Solo vale la convicción, la inteligencia para entender qué ocurre y porqué, las propuestas para hacer frente a una realidad angustiante, la movilización y organización de los sectores más conscientes, activos y decididos de la sociedad.

Nuestra tarea, la de cada comunista, la de cada organización del partido es entender esto y actuar. Sin actuar el partido no crece, no se fortalece, no coge confianza como colectivo. IU se diluye y debilita.

Fuente: Portavoz del Partido Comunista de España_ PCE.es/ Edición de PrensaPopularSolidaria_ComunistasMiranda http://prensapopular-comunistasmiranda.blogspot.com/ Correo: pcvmirandasrp@gmail.com

DEFENDER LA ALEGRÍA...CONSTRUÍR EL PAÍS DE PRIMERA

Defender la alegría

El Comando Político del Frente Amplio resolvió emprender acciones en dos líneas de trabajo, se desarrollaran agendas paralelas: una de la Fórmula Presidencial y otra de dirigentes y legisladores frenteamplistas.

José Mujica y Danilo Astori recorrerán el país, visitarán emprendimientos gubernamentales y mantendrán encuentros con sectores sociales y empresariales.

Se resolvió crear cinco grupos de trabajo para comenzar a preparar las las primeras medidas que implementará el segundo gobierno frenteamplista que asumirá el primero de marzo de 2010.

El Comando Político también resolvió dar todo el respaldo posible al accionar de las redes frenteamplistas y su convocatoria en “defensa de la alegría”.

Asimismo, el martes 3 de noviembre la Fórmula Presidencial se reunirá con los ocho intendentes y con los parlamentarios frenteamplistas actuales y recientemente electos.

Fuente: Frente Amplio, Uruguay/ Edición: PrensaPopularSolidaria_ComunistasMiranda http://prensapopular-comunistasmiranda.blogspot.com/ Correo: pcvmirandasrp@gmail.com

POR LA UNIDAD DE LOS COMUNISTAS DE CANARIAS SE PRONUNCIAN LAS BRIGADAS COMUNISTAS CANARIAS ( BRCC )

Por la Unidad Comunista Brigadas Comunistas Canarias (BRCC)

Es cierto que la existencia de varios colectivos comunistas en Canarias que trabajen de forma aislada, lo único que provoca es el empobrecimiento ideológico y la dificultad de configurar a una auténtica izquierda combativa.

Desde Brigadas Comunistas Canarias, hemos trabajado incansablemente dentro de nuestras posibilidades por la superación y concienciación de los trabajadores y las trabajadoras en Canarias.

Con una actitud solidaria y científica, realizamos los mayores esfuerzos revolucionarios en base al objetivo de la Independencia de Canarias y el socialismo, entendiendo la independencia como símil de Soberanía Popular, ya que no lo comprendemos de otra forma.

Por eso continuamente hemos apoyado y abogamos -y así seguiremos haciéndolo-, por la creación de un Estado socialista soberano: la República Socialista de Canarias. Y para que este proyecto se haga realidad, es necesario impulsar la unión de los comunistas canarios y el fortalecimiento de las políticas necesarias para tal fin.

Tras reflexionar que al margen de las diferencias tácticas, a los comunistas nos unen los mismos principios revolucionarios y solidarios como vanguardia organizada del proletariado, valoramos positivamente el proceso de unidad de acción, al cual nos sumamos, entre los partidos PCC, PCPC, PRCC, propuesto por esta última organización.

Consideramos que esta puede ser la plataforma de encuentro entre los comunistas que propicie un salto cualitativo indispensable para crear verdaderas bases con conciencia de clase entre nuestros/as trabajadores/as.

Este frente comunista garantiza la lucha anticapitalista, antirracista y anticolonialista. Brigadas Comunistas Canarias no puede quedar al margen de la unión de los comunistas que implica la unidad de los trabajadores.

Queremos participar en la construcción del socialismo en Canarias que ayude al avance del movimiento comunista internacional. Seguir otro camino y obstaculizar la unidad de los comunistas sólo sirve a los intereses de los dogmáticos y sectarios, de los anticomunistas, de los chovinistas reaccionarios y la burguesía española.

Los comunistas aglutinados en BRCC nos desmarcarnos radicalmente de ese sentir contrarrevolucionario y antiobrero opuesto a la unidad.

Por el triunfo de la revolución, apoyamos decididamente la creación de un Frente amplio de comunistas en Canarias y humildemente proclamamos que trabajaremos aportando nuestro esfuerzo para caminar en esa dirección.

¡INDEPENDENCIA Y SOCIALISMO!
Lanzarote, Arrecife a día 28 de octubre de 2009.

Fuente: Independencia y Socialismo, Portavoz del Partido Revolucionario de los Comunistas de Canarias ( PRCC)/ Edición de: PrensaPopularSolidaria_ComunistasMiranda http://prensapopular-comunistasmiranda.blogspot.com Correo: pcvmirandasrp@gmail.com

DAR VUELTA A LA RESTITUCIÓN DE ZELAYA, APUESTA DE LOS GOLPISTAS

03/11/ 2.009/ Por: Arturo Cano, Enviado de La Jornada

Shannon llegó a Honduras con una lista de 6 acciones de EU en caso de no haber acuerdo

Estamos frente a otra maniobra para ganar tiempo, acusa Víctor Meza, representante zelayista

El apoyo internacional depende de un pacto político antes de la elección: enviado estadunidense


Tegucigalpa, 2 de noviembre. Honduras ya vio esta película. En julio, el presidente de facto Roberto Micheletti se llenó la boca con la palabra diálogo, se sentó a hablar con el mediador Óscar Arias, presidente de la vecina Costa Rica, y regresó a esta capital para decir que, en aras del respeto a los poderes del Estado y bla bla bla, el acuerdo de San José debía ser consultado con la Suprema Corte, la fiscalía, el Congreso, la sociedad civil y Perico de los Palotes.

Ahora, tras haber firmado el acuerdo de Tegucigalpa/San José, con la pelota caliente de la restitución de José Manuel Zelaya en la presidencia en manos del Congreso, los múltiples voceros de Micheletti invocan de nuevo la división de poderes y hacen que los diputados hablen de consultar a la Suprema Corte, al Tribunal Superior de Cuentas, al Colegio de Abogados y a la Niña de los Peines. Estamos simplemente frente a otro modo de ganar tiempo de parte de los golpistas, dice Víctor Meza, jefe de la delegación que representó a Zelaya en el diálogo.

El acuerdo firmado cerca de la medianoche del jueves 29 de octubre pasado ata de pies y manos a Zelaya, pero aun así los golpistas le dan vueltas a la restitución del terrateniente de Olancho, refugiado desde el 21 de septiembre en la embajada de Brasil.

Punto espinoso

El punto que se acordó al final fue el más espinoso: la restitución del presidente.

Al final, la delegación de Zelaya aceptó que la decisión quedara en manos del Congreso, que dirá sí o no a la posibilidad de retrotraer la titularidad del Poder Ejecutivo a su estado previo al 28 de junio hasta la conclusión del actual periodo gubernamental, el 27 de enero de 2010.

La elasticidad de la fórmula se acompañó de un párrafo que ahora tiene locos a los golpistas y que fue aceptado por sus representantes en la mesa al cuarto para las doce. Dice así: La decisión que tome el Congreso Nacional deberá sentar las bases para alcanzar la paz social, la tranquilidad política y gobernabilidad democrática que la sociedad demanda y el país necesita.

En todos los tonos, los sectores involucrados en el golpe argumentan que Zelaya debe aceptar que el Congreso no lo restituya en el poder, así sea por un periodo muy corto o, en el mejor de los casos, juegan a prolongar la decisión para llegar a una fecha lo más cercana posible a los comicios del 29 de noviembre.

¿Por qué entonces los golpistas firmaron el acuerdo?

Porque no podían dejar de hacerlo, dice Meza, quien, en un extenso relato para La Jornada, cuenta que el 7 de octubre la delegación del gobierno golpista se sentó a dialogar con la plena seguridad de que el ejercicio iba a fracasar. La estrategia del gobierno de facto consistía en instalar la mesa para tranquilizar a la comunidad internacional, y ganar tiempo mientras acusaban al presidente Zelaya de no querer dialogar.

Atorados en el punto de la restitución, los negociadores decidieron avanzar en el resto de los temas. Al segundo día ya habían caminado en cuatro puntos, incluyendo la eliminación de la amnistía y la formación de un gobierno de unidad y reconciliación nacional. El avance en esos dos puntos tuvo respuesta inmediata la noche del 8 de octubre cuando, dice Meza, se recrudeció el hostigamiento contra Zelaya y sus acompañantes en su refugio en la embajada de Brasil.

Al tercer día, las comisiones anunciaron que llevaban un avance de 60 por ciento en los temas de la agenda.

Entonces sonaron las alarmas en la casa presidencial, asegura Meza. Políticos y empresarios golpistas opuestos a la negociación y los más aferrados al disfrute del presupuesto público llamaron a la delegación de Micheletti a una reunión para exigir cuentas.

El gobierno de facto dio marcha atrás. Micheletti envió a la vicecanciller Martha Lorena Alvarado al hotel donde se realizaban las pláticas. La ex diputada Alvarado es, además de la voz dura de los golpistas, militante del Opus Dei, amiga del embajador mexicano Tarcisio Navarrete –un panista de Jalisco, a quien Alvarado conoció en la iglesia– y cabeza visible de las fuerzas Provida de Honduras. En el Congreso, promovió con éxito la prohibición de la píldora del día siguiente, decreto vetado por Zelaya en mayo pasado y publicado por Micheletti esta semana.

Alvarado llegó al hotel con arrogancia burocrática, sólo para mostrar a la prensa que los negociadores recibían línea del sector duro del golpismo, dice Meza.

A partir de la visita de Alvarado, los negociadores del gobierno de facto comenzaron a poner en la mesa propuestas insultantes, de las que Meza elige dos: que los zelayistas declararan públicamente que no hubo golpe de Estado, y que Zelaya acudiera a la Suprema Corte a pedir su reinstalación, lo que equivale a que la víctima vaya a suplicar al victimario.

Los zelayistas leyeron esas propuestas como tácticas dilatorias y pusieron un plazo para llegar a un acuerdo. La negociación se estancó. Sólo la llegada de una comisión de alto nivel del estadunidense Departamento de Estado, encabezada por el subsecretario Thomas Shannon, lograría deshacer el nudo. Shannon, claro, trajo unas tijerotas para cortarlo.

Las tijeras de Shannon

¿Por qué aceptó Roberto Micheletti firmar el acuerdo? ¿Por qué ofreció un mensaje en cadena nacional la noche del jueves 29 de octubre, para anunciar el acuerdo una hora antes de que se firmara, cuando aún se afinaban los últimos detalles?

Una razón, explican fuentes diplomáticas que siguieron paso a paso la negociación, fue una llamada telefónica de la secretaria de Estado, Hillary Clinton. El presidente de facto y Clinton hablaron durante media hora el lunes 26 de octubre. “Mientras Clinton insistía en hablar del futuro, Micheletti se empeñaba en referirse al pasado, en el tono de ‘usted no sabe lo que nos hizo Zelaya’”, se cuenta en la casa presidencial.

La secretaria de Estado tuvo incluso que tragarse la historia del despilfarro de Zelaya en la alimentación de su caballo, de nombre Café, queja que ya Micheletti había dispensado a los cancilleres de los países miembros de la Organización de Estados Americanos (OEA).

Otra razón del viraje de Micheletti, quizá de mayor peso, fue el filo de las tijeras que trajo Shannon, quien además vino acompañado de Dan Restrepo, asesor del presidente Barack Obama para América Latina.

Según las mismas fuentes, el funcionario puso en la mesa de Micheletti una lista de seis acciones que Estados Unidos podría emprender de no haber acuerdo:

1) Excluir a Honduras del Tratado de Libre Comercio Centroamérica-EU.

2) Quitar a Puerto Cortés, la principal terminal marítima de la región, ubicada en el norte del país, el certificado de puerto seguro.

3) Suspender la ayuda para el programa Merienda Escolar.

4) Cancelar los recursos del programa Educación para todos.

5) Retirar de manera definitiva al embajador Hugo Llorens (actualmente sólo Estados Unidos, Japón y Taiwán mantienen aquí a sus embajadores),

y 6) Incluir a Honduras en la lista de países que cometen graves violaciones a los derechos humanos.

¿No pudo Estados Unidos amenazar desde julio con poner en práctica las seis medidas que finalmente parecen haber destrabado el conflicto?

Víctor Meza, quien de ser restituido Zelaya seguramente reasumirá como ministro de Gobernación, piensa que Estados Unidos volteó a ver seriamente el conflicto hondureño sólo cuando se convirtió en un problema doméstico.

El fracaso de los lobbystas

Entre los amigos de Micheletti en Washington se cuentan senadores republicanos que mantienen bloqueados importantes nombramientos del gobierno de Obama. De ahí que, tras la firma del acuerdo, el demócrata John Kerry, presidente del Comité de Relaciones Exteriores del senado estadunidense, dijera: Con esta crisis resuelta, espero la confirmación veloz en el Senado de Thomas Shannon como nuestro embajador en Brasil y de Arturo Valenzuela como subsecretario para América Latina.

El frente de Washington, efectivamente, se ha instalado en esta ciudad. Este martes llega Hilda Solís, la hija de padre mexicano y madre nicaragüense que ocupa la cartera del Trabajo en el gabinete de Obama, y quien integrará la Comisión de Verificación del acuerdo, junto al ex presidente chileno Ricardo Lagos. Los otros dos miembros de dicha comisión son nacionales: el democristiano Arturo Corrales, por Micheletti, y Jorge Arturo Reina, embajador de Honduras ante la Organización de Naciones Unidas, por Zelaya.

Pero también han andado por aquí los cabilderos contratados por el gobierno golpista para, a cambio de cifras de cinco ceros, mejorar la imagen de la administración de Micheletti. Según Meza, los lobistas estadunidenses –de la firma Chlopak, Leonard, Schechter & Asociados, con lazos estrechos con Clinton y John Mc Cain, según The New York Times– se instalaron en el segundo piso del hotel durante el diálogo y buscaron que Micheletti rechazara la firma del acuerdo.

Querían que Shannon regresara con las manos vacías, porque el acuerdo es un espaldarazo a la política de Obama, asegura Meza.

Pero las tijeras de Shannon, quien llegó a Tegucigalpa el miércoles 28 de octubre, lograron la magia de que la delegación de Micheletti retomara las pláticas con la orden de no levantarse de la mesa hasta completar el acuerdo.

Apenas bajó del avión, Shannon convocó a las partes a un almuerzo en la embajada estadunidense. A los negociadores de ambas partes les dijo que había dos maneras de que Honduras llegara a las elecciones del 29 de noviembre: sola o acompañada por la comunidad internacional (lo que implica, dijo, ayuda técnica y financiera, observadores, reconocimiento).
El apoyo internacional a los comicios, siguió Shannon, depende de una sola cosa: de un acuerdo político antes de las elecciones.

Meza no dejó pasar la variación sensible en el lenguaje, porque Shannon ya no habló de restitución.

Entre el miércoles 28 y el jueves 29 de octubre, Shannon sostuvo reuniones con los negociadores, con los candidatos presidenciales y, por separado, con Zelaya y Micheletti.

En tanto, en la mesa se ajustaban los últimos detalles del acuerdo. La delegación de Micheletti insistía en que se incluyera que el Congreso decidirá sobre la restitución de Zelaya sobre un dictamen previo de la Suprema Corte de Justicia y en el retiro de la palabra retrotraer.

Finalmente, quizá por la presión de Shannon, aceptaron el texto final, incluido el párrafo que establece que la decisión del Congreso deberá sentar las bases para alcanzar la paz social, la tranquilidad política y gobernabilidad democrática.

En el balance de la negociación que encabezó, Meza se ufana de una victoria: Ellos se concentraron en su obsesión de impedir la restitución, y se olvidaron de todos los demás puntos que ahora los tienen muy preocupados. Ellos se saltaron el punto conflictivo (la restitución), y nuestra estrategia fue ir cercando con los demás ese punto conflictivo.

En contraste, los zelayistas no derraman optimismo sobre lo que podría hacer el presidente constitucional en caso de ser restituido. El próximo jueves 5, según el cronograma del acuerdo, debe quedar constituido el gabinete de unidad y reconciliación nacional. Si ese día Zelaya fuese restituido, sólo le quedarían 24 días en el poder, pues sus mismos seguidores dan por hecho que el ganador de la elección presidencial será el hombre fuerte de Honduras a partir de ese día.

Un poder, además, muy limitado, pues no sólo no tendría control de las fuerzas armadas, sino que la mitad del gabinete habría sido puesta por Micheletti.

Hasta el momento, tanto Micheletti como Zelaya mantienen en reserva los nombres de los probables integrantes de ese efímero gobierno. Los zelayistas hablan solamente de que pelearán las carteras de Gobernación, Finanzas, Salud y el Banco Central, y dan por hecho de que no habrá cambios en Defensa ni en la Policía Nacional.

El gran dilema para ambas partes es quién se avienta a ser ministro por sólo tres meses.

Nos puede caer el cielo y la tierra encima

La junta directiva del Congreso ha sido convocada para este martes, día en que también se instala la Comisión de Verificación.

Aunque los políticos hondureños insisten en la solución catracha, y en que nadie puede imponerles la solución al conflicto, en el acuerdo firmado se expresa claramente que la comisión tiene más que un papel decorativo: El incumplimiento de cualquiera de los compromisos contenidos en este acuerdo, comprobado y declarado por la Comisión de Verificación, producirá la activación de medidas que establecerá la Comisión para el transgresor o los transgresores.

No lo ven así algunos de los diputados que decidieron destituir a Zelaya y ahora deben discutir si lo restituyen: Se puede caer el cielo y la tierra y lo que se nos quiera caer encima, pero la Democracia Cristiana está haciendo lo correcto, dice Lucas Aguilera, quien asegura que los diputados de su partido, al que pertenece Arturo Corrales (aunque aquí se dice que en realidad el partido le pertenece a él), jamás votarán por la restitución.

La apocalíptica visión del diputado Aguilera forma parte de la guerra verbal entre los dos bandos sobre las posibles interpretaciones del acuerdo. La delegación de Micheletti declara que el Congreso no tiene fecha y que Zelaya debe ir resignándose a perder la votación en el Congreso.

Zelaya, por su lado, argumenta que el punto cinco del acuerdo recoge en forma precisa el espíritu del acuerdo y señala taxativamente el procedimiento para revertir el golpe de Estado. Cualquier interpretación fuera de este contexto constituiría una nueva afrenta al pueblo hondureño y a la comunidad internacional.

Fuente: http://www.lajornada.unam.mx/Anmcla

ANTE LAS DISTORSIONES PÚBLICAS EN TORNO AL ACUERDO DE TEGUCIGALPA/SAN JOSÉ

Comunicado del Presidente Zelaya. Ante las distorsiones públicas entorno al acuerdo de Tegucigalpa/San José

Gobierno de la República de Honduras

PRESIDENCIA DE LA REPUBLICA COMUNICADO
NUESTRAS ARMAS SON LAS IDEAS NUESTRA LUCHA ES PACIFICA


Ante las distorsiones públicas realizadas por los miembros de la comisión negociadora que representaba al señor Micheletti en el acuerdo de Tegucigalpa/San José, a la Comunidad Internacional y al pueblo hondureño.

INFORMAMOS:

El Acuerdo Tegucigalpa/San José, constituye el resultado de un diálogo entre Hondureños con el acompañamiento de la comunidad internacional en forma especial, la Organización de Estados Americanos, el Departamento de Estado de los Estados Unidos de América, Acuerdo que tiene por objeto resolver la profunda crisis que vive el pueblo hondureño, atender los mandatos incluidos en las resoluciones de las Naciones Unidas y la OEA, todo dentro del espíritu del Plan Arias para revertir el Golpe de Estado que sorpresivamente rompió el orden constitucional el veintiocho de junio recién pasado.

En este Acuerdo el cargo del Presidente de la República de Honduras, que constitucionalmente eligió el pueblo no está en discusión para el Congreso, sí el hecho de derogar el decreto ilegal que destituyó al mandatario y nombró ilegalmente Presidente de facto de la República de Honduras al del Congreso, hecho que ha sido condenado por todas las naciones del mundo.

Conjurar pacíficamente el golpe de estado o sea retrotraer la situación del titular del poder ejecutivo previo al del 28 de junio como lo reza el acuerdo es la solicitud respetuosa que se le ha hecho al CN y debe de actuar con esa responsabilidad.

Ambas partes convenimos que para terminar con la crisis y afianzar la democracia remitir al Congreso Nacional el acuerdo Tegucigalpa/San José, que contiene doce puntos, de los cuales el número cinco del Poder Ejecutivo recoge en forma precisa el espíritu del acuerdo y señala taxativamente el procedimiento para revertir el golpe de Estado; cualquier interpretación fuera de este contexto constituiría una nueva afrenta al pueblo hondureño y a la comunidad internacional

El pueblo hondureño y la Comunidad Internacional aguarda y dará seguimiento con la Comisión de Verificación, para que en la profunda crisis de la nación en la que el pueblo tiene más de 4 meses de ser víctima y de comprobadas violaciones a los derechos humanos, el Congreso Nacional actué con la diligencia y celeridad requerida y así recuperar el más caro de los intereses de la patria: la Democracia, que está rota.

Que si nos empeñamos todos los hondureños y hondureñas en cumplir el acuerdo nos sujetamos a ratificar su espíritu, para lo cuál ninguna de las partes debe de utilizar juegos sucios, estrategias dilatorias o medidas que nos hagan perder el crédito y el respeto que como pueblo merecemos ante la comunidad internacional, suficiente daño hemos soportado estoicamente como pueblo para pretender seguir manipulando la buena fe que hemos depositado para resolver la crisis.

La Comunidad Internacional, ha recibido con mucho optimismo, la firma del convenio Tegucigalpa/San José, podremos lograr la paz social sin necesidad de mas violencia, la incorporación de nuestro país en el concierto de las naciones, alcanzando el reconocimiento del proceso electoral, y teniendo acceso a la inmensa cantidad de servicios que brindan las relaciones diplomáticas, por lo que no debemos de retroceder en este avance y debemos lograr salir de esta crisis revocando el Golpe de Estado e incorporando a Honduras a la democracia

Tegucigalpa, M. D. C., 2 de noviembre de 2009
GOBIERNO DEL PRESIDENTE CONSTITUCIONAL DE HONDURAS
JOSE MANUEL ZELAYA ROSALES


Fuente:Gobierno Legítimo de Honduras, del Presidente José Manuel Zelaya Rosales/ Anmcla/ Edición de : PrensaPopularSolidaria_ComunistasMiranda http://prensapopular-comunistasmiranda.blogspot.com Correo: pcvmirandasrp@gmail.com

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ORGANIZACIÓN COMUNISTAS MIRANDA CENTRO INVITA A MILITANCIA Y AMIGOS A LOS ACTOS DEL 80 ANIVERSARIO

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